157º jour, guerre des étoiles...

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L’Iran s’installe dans la course à l’espace. Il ne s’installe pas, pour faire de la figuration, mais pour y tenir sa place.
- Une connerie, en entraîne une autre. Au jeu du plus con, les Us ont déjà gagnés.
- A propos de jeu, la chine pourrait jouer un tour de cochon au cow-boy et à Israël par la même occasion. Il lui suffit d’équiper la Syrie, avec sa 5G Huawei, pour que les voleurs de pétrole soient chocolat.

Olaf scholz avale son bréviaire vert. L’Europe est très loin, de quelle que forme que ce soit, d'états démocratiques. Toutes nos marionnettes, prennent décisions, sur décisions, sans jamais en référer à personne. Ça concerne pourtant les citoyens ces histoires de nucléaire, de lumière et de chauffage. Ces pas grave les fils de putes, séides des oligarques, savent ce qu’il faut faire. On l’à vu avec la vaccination.

Xinhua ne dit pas un mot de la visite de la vache folle à Taïwan. C’est le troisième jour consécutif sans une ligne sur le sujet.
- Cri.cn fait le même silence.
- Pourtant nombreux sont les observateurs, qui parlent de manœuvres militaires très impressionnantes, dans le détroit de Taïwan. De la à débarquer sur l’île, il n’y a qu’un pas.

La bourse, toujours aussi passionnante. Quel lavement !

Tom Luongo m’inquiète, il parle d’économie américaine, comme si la fed et le gouvernement Us, avaient encore des solutions pour éviter le crash. Il semble bien, que ce soit une chimère, ça n’en fait jamais, qu’une de plus.

Moon of Alabama sur l’opération spéciale en Ukraine. Pas à dire, la victoire de Kiev est pour demain, au plus tard. On comprend que même le gouvernement américain se lasse de toutes ces conneries. Surtout que les temps ayant changés, les crimes de guerre des yankees risquent fort d’être jugés et ça c’est également une nouveauté.

Alastair Crooke parle philosophie, l’homme a-t-il un rôle dans la machine cosmique. Le charlatanisme nous dit que non, affirmant que l’IA fait aussi bien dans X % des tâches. De là sont né Davos, le genre et toutes les aberrations de notre triste siècle. L’humain se suicide joyeusement, au nom de son si peu d’humanité.

Portez vous bien !

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