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dimanche 31 décembre 2023

Dernier jour on ferme !

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France-Soir, Etienne Chouard rêve. Les banksters lâcheront jamais le pouvoir. Et pour le leur prendre, il faudra autre chose que des syndiqués CGT.
Si les citoyens réécrivaient la constitution, peut être le referendum aurait-il du sens. De même les tenants du referendum d’initiative populaire. Même si la junte le laissait passer, ce ne serait que de la poudre aux yeux. Le dernier referendum a bien montré les limites du truc. N’importe quel petit salaud d’élu, peut réunir le congrès et hop adieux referendum. Là où tous les citoyens devraient rejoindre Chouard, c’est sur les mandats par tirage au sort. C’est le seul moyen de virer tous les arapèdes, qui s’accrochent bec et ongle à la ripoublique.

Kim Jong Un, nous rappelle que gouverner c’est prévoir. Et qui veut la paix prépare la guerre.

L’Ukraine tire sur Belgorod, encore des rêves idiots. Si le con de Kiev, croit changer le cours de la guerre comme ça, il se trompe. Il finira devant un tribunal à Moscou, qui le condamnera à casser des cailloux le reste de sa vie. Ce serait bête, lui qui s’est fait une si jolie cagnotte.

Le con Us a tout compris, il veut maintenant faire la guerre à la Russie. Si son minable poulain, perd la bataille en Ukraine. La "maison blanche", est vraiment devenue un asile psychiatrique.

Le yankee de mierda, voudrait s’installer au Yémen pour mater les Houthis. Il devrait faire attention où il met les pieds. Déjà en Irak comme en Syrie, ses bonshommes sont mal barrés. Mais les Yéménites sont des guerriers autrement dangereux, que les bons pères de famille, du MO.

Le jumeau du précédent, déteste l’ONU presque autant que les Palestiniens, les femmes, les enfants, les journalistes, les juges, la liste est sans fin.

La macronie est encore dans la mouise. Son ersatz de jupiter a fait le nécessaire, pour que plus personne ne sache, ce que veut faire neuneu premier à Gaza.

N’importe qu’elle image de la Chine, on y voit un vrai pays et son président, un vrai président. Rien à voir avec les gugusses débraillés de l’occident, qui ont toujours l’air d’être là, parce qu’ils ont vu de la lumière.

Nicolas Bonnal, nous offre un échantillonage de la poésie de Laurence Guillon.

Portez-vous bien !

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