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Boris Johnson, qui voulait pas être le caniche de l’UE, a fini par être le chihuahua de biden
M’est avis qu’il est le premier, d’une longue série de pets européens de washington, à devoir foutre le camp. Sa russophobie maladive, lui aura coûtée chère. S’il s’était consacré aux intérêts des anglais, plutôt qu’à ceux du cow-boy. Il aurait toujours un toit, au dix downing street. Adieux le boris anti-russe, qui fait beaucoup rire à Moscou.
Portez vous bien !
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jeudi 7 juillet 2022
Boris rend son tablier !
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