France-Soir et sa revue de presse.

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France-Soir nous offre sa revue de presse. Bravo, à lire absolument, c’est excellent !

L’Opération Spéciale par Sputnik.

L’Iran se désassiège. En accédant aujourd’hui à l’OCS et demain aux BRICS+. L'Us ne peut plus étoufffer l'Iran, en paralysant son économie.

Al Manar constate ; la Pologne est bien le pays le plus con d’Europe. Il est accompagné dans ses folies par la Lituanie, autre crétin irrécupérable. Comment ces deux nains vont-ils faire la guerre à la Russie. Ils se leurrent sur les 29 autres andouilles de l’Otan. Si cette ridicule institution avait une quelconque puissance, on s’en serait aperçu, après plus de 400 jours de combats. La chance de Poutine c’est l’incroyable stupidité de ses adversaires. Il va pouvoir démilitariser tout l’occident dans un seul conflit. Bravo, c’est du grand art !

Dans ; piège de la dette, il y a créances et créanciers. Parmi ces derniers il y a les créanciers majoritaires. En Afrique comme partout sur la planète, les deux créanciers majoritaire sont le FMI et la Banque Mondiale. Au Kenya le plus gros emprunteur de la Chine, la créance chinoise représente 21% de l’endettement du pays. Vous ne serez pas étonnés d’apprendre qu’Associated Press, n’est qu’un posticheur de foire, parmi tant d’autres.

Erdogan a toujours autant de mal à se conduire en homme. Il faut toujours qu’il trafique, à gauche et à droite.

La conne de Bruxelles, découvre que le monde ne tourne pas comme elle voudrait. Les pays d’Amérique Latine, ne veulent pas entendre parler de son si cher Ze. Yankee et sa "pet" vont de déconvenues, en déconvenues. Voilà qui met du baume au cœur.

Deux articles à mettre en relation une biostatisticienne. Qui parle de vaccins.
- Et un tueur aux vaccins. Lequel d’ailleurs sévit toujours sur le même terrain, les pays où la vie est sans valeur.

Nicolas Bonnal, le grand remplacement des amérindiens, est le modèle qui nous est appliqué à l’heure actuelle. Il cite Tocqueville, mais il aurait pu citer Xenophon sur la chasse. L’homme assurant sa subsistance avec courage et intelligence, on est loin du consommateur esclave de sa carte bleue. Pour les Indiens le fétichisme de la marchandise n’était pas encore arrivé. Les banksters de la City y ont remédié.

Portez-vous bien !

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