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jeudi 26 janvier 2017

Encore 108 jours ...

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De bien beaux avions. Celui-là vole, pas comme son pseudo rival US.
Durant la guerre d'Espagne, Hitler ne s’était pas fait prier pour y roder son matériel. Les autorités espagnoles, s'était appuyées sur la présence des brigades internationales pour demander l'aide de l'Allemagne. Aujourd'hui c'est Moscou qui montre sa force à la demande de la Syrie, grâce à la coalition dite internationale. L'histoire repasse les plats.
N'allez pas en conclure que je compare les deux chefs d’état. Je n'ai aucune sympathie pour Hitler, je ne me cache pas d'en avoir pour Poutine. Mais les mêmes causes, produisant les mêmes effets, il est légitime de s’inquiéter. Surtout si on se souvient, que ce sont les anglo-saxons qui ont déclaré la guerre à Hitler.

Il est minuit bonnes gens, votez bien ! La phrase du guet, à l’époque ou nos villes étaient vivables. C'est pas fini. Un pour tous, tous pourris ! Disait Coluche, vrai mais il y a un hic, s'ils sont là c'est que nous les avons élu. 628 000 élus en hexagones, tous ayant reçu, plus ou moins les combines, le nombre de bulletins justifiant leur siège. Je continue, il y a 44 000 élus pouvant donner leur aval à un candidat à la présidentielle. Ce qui signifie que nous sommes en droit d'attendre 88 candidats à la dite présidentielle. Alors comment se fait il que nous n'en ayons qu'une poignée, dont 2 seulement seront au second tour. C'est que le système, establishment, état profond, appelons cette mafia comme on veut. Exige qu'aucun candidat ne lui échappe. On voit le résultat avec Trump, pour la mafia c'est une catastrophe. C'est pourquoi elle a phagocyté le système, jusqu'à ce que seuls les candidats agréés, puissent se présenter.
Ça conduit à une petite digression ; En 2012 Marine qui était peut être encore une candidate populaire, n'a pas pu accéder au second tour. Tout l'appareil s'est mobilisé, pour que nous ayons le choix entre la peste et le choléra. Consequence pour Marine, sa campagne de dé-diabolisation, mais attention c'est là que ça devient intéressant. Ce n'est pas la dé-diabolisation vis à vis des citoyens, c'est la dé-diabolisation auprès de la coupole mafieuse. C'est dans ce sens qu'il faut lire le parricide politique de l'année dernière. En somme il faut perdre sa base populaire, pour gagner sa place dans le système dit démocratique. Comme ça on comprend mieux, tous ces sales cons qui braillent après le peuple et le populisme, quand les prolos votent pas comme ils veulent.
Un petit coup de Georges Carlin.


La vieille albright fait exactement ce que j’écrivais hier. L'establishment collabo traître, va monter au créneau pour défendre les ennemis du peuple. Ennemis du peuple me direz vous ? En terme de classe pour les capitalistes, le sous-prolétariat, est l'indispensable ennemi du prolétariat.

La catastrophe Trump à wallstreet. Décidément nos journalopes sont des marchands de bonheur, ou des faiseuses d'anges.

La Chine ne baisse pas les bras au contraire, elle veut se doter d'une armée puissante. D'ici à ce qu'elle installe des bases partout dans le monde, il n'y a qu'un pas. Elle se prépare, à son rôle de première puissance mondiale.

Portez vous bien !

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