Liberté, que de crimes on commet en ton nom !

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Pauvres peuples condamnés à errer tous les week-end, par les criminels du pouvoir. C’est valable partout où sévissent des tyrans, minables et corrompus jusqu’à la moelle.
- A Ottawa où le petit assassin envoie ses tontons makoute, pour récupérer son trône. Il pouvait le garder cet étron libre, comme disait une pouffiasse bien de chez nous, pour marquer son entrée en politique.
- A Canberra aussi, les derniers australiens amoureux de la liberté, tentent de se débarrasser du joug de la connerie bien rémunérée.
- Entre corrompus, c’est la sainte alliance. La mère sofa transparent et le clown ukrainien, s’entendent comme larrons en foire, pour nous escroquer.

Les va-t-en guerre sont tous du même tonneau. L’ignoble petit laquet de la city, ressemble comme deux gouttes d’eau à ses prédécesseurs. La guerre est si bonne pour le pognon, croit-il ! Seulement l’en-pire britannique, n’est qu’à peine l’ombre de lui même. Mais ça johnson ne veut pas le voir. Peut être pour de basses raisons électorales, tout simplement. Ceci dit, si ces désirs deviennent réalité, ce ne seront plus des V1, V2, qui tomberont sur Londres. Pas sur qu’il apprécie tellement.

L’allemand est peut être moins bête, qu’il en a l’air. Il faut dire qu’une guerre en Ukraine, offre de grands risques d’éclabousser l’Allemagne.

J.O de Pékin la norvégienne Thérèse Johaug, devient star.

Sans surprise les investisseurs se tournent vers la Chine. L’occident avec sa folie guerrière, a perdu tout attrait.

Où on découvre, pourquoi tous ces fils de putes de médecins, fouillaient les fosses nasales de leurs victimes. Pour leur prélever leur ADN, on a vraiment sombré dans un monde Orwellien. Pas Kafkaïen, il n’y a plus de droit en occident.

Philippe Grasset nous parle de l'amérique. Pas celle qu’on voit à la télé. Non, la vraie, la profonde, la malade mentale. Il s’appuie sur Le Russiagate, cette ignoble farce qui les a tous rendus, complètement cinglés

Nicolas Bonnal, nous parle de Henry David Thoreau. Un inconnu pour moi, qui gagne à cesser de l’être.

Portez vous bien !

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