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Les chiens de garde du système, ont déjà effacé les gilets jaunes de leur mémoire. Pourtant, ils sont toujours actif en Belgique, en hexagone ils sont pas tous morts bien au contraire.
Quelques exemples en Normandie, en Bretagne, en Eure et Loir, en Aquitaine.
Un rapide coup d’œil sur http://fr.kiosko.net/ permet de comprendre que malgré l’omerta parisienne, les gilets jaunes "c’est pas fini". Autre point intéressant on approche de la pénurie de carburant sur beaucoup de pompes un peu partout. Ça me rappelle 1968, les cols blancs comme on les appelait encore, sont évidemment contre le mouvement et stockent de l’essence du sucre et autres idioties. Mais comme en 68, quand ils pourront plus bosser, ils viendront trop tard vers le mouvement, pour découvrir qu’il y allait de leur intérêt d’en être. Prolétaire, a été la pire invention de Marx, les salariés considérant le mot comme dégradant. Il porte en lui le germe de la désunion, dommage !
Nos collabos nous refont radio Paris, de sinistre mémoire ! Le peuple doit n’avoir connaissance, que de ce que la junte veut bien qu’il entende, rien, absolument rien d’autre. C’est la dictature du crétinisme contrôlé. Socialisme utopique que celui des juges.
Elle est coquette la déclaration des droits de l’homme de 89.
Les hexagonaux
sans tête, celui qui jouait le rôle, s’est réfugié dans sa loge dorée.
Il a tort ! C'est loin d'être un lieu sûr, et à la sortie pourrait se
trouver prête à l’emploi, la vielle faiseuse de veuves.
Le coût de la vie indexé sur l’inflation, si, si ! Ce qui est rassurant, c'est que le système ne nous prend pas pour des cons, oh non !
Encore le mur des cons, Roy Bean toujours à la tâche pour piller les hexagonaux.
Rodrigo Dutertre fait le bon choix.
Même si ça leur a pas apporté grand-chose, les Palestiniens ne sont pas tout à fait abandonnés de tous.
Voilà un article bien pessimiste sur les S300 en Syrie.Même si aucune arme n’est imparable. Il y a plusieurs proints qui doivent être pris en compte dans les batailles modernes.
Le premier est le coût de la dite bataille. Investissement en homme en matériel et le montant en espèces de cet investissement.
Le second est l’exploitation médiatique de la bataille.
Or si l’anglo-sionisme attaque la Syrie, il va maintenant y laisser des plumes, combien d’avions, combien de soldats, peut-il perdre sans perdre la bataille médiatique ? C’est cette dernière question qui fait toute la différence.
A moins que les associés décident d’appliquer la solution Massada, en ce seul cas toutes les hypothèses sont permises.
Brandon Smith nous rappelle que l’économie est une jeux dangereux, et que seuls les joueurs qui pratiquent, devraient être autorisés à en parler. Les journalistes aux ordres des banksters, sont eux les propagateurs de fausses nouvelles. Ceux qui les écoutent, devraient se souvenir du Corbeau et du renard.
Autre difficulté du temps, l’affrontement ouvert maintenant, entre Chine et US. Les propos de Xi, sont bien autre chose qu’un simple avertissement. Il s’agit clairement d’une déclaration conditionnelle de guerre. Si … La suite est facile à comprendre. Le risque c'est que le crétinisme américain rend sourd, comme autre chose, que je ne nommerais pas.
La démocrassouille c’est le paradis pour les tripatouilleurs financiers. On comprend mieux, pourquoi ils nous chantent les vertus de cette saloperie, à longueur de temps.
Portez vous bien !
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