Erasme défie le temps, un vrai Dieux, quoi !

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Eloge de la folie ordinaire.
Yankee de mierda, c'est à tous les niveaux qu'il est intimement convaincu de son bon droit. Ça va de la torture à Guantánamo, aux sanctions anti-pays économiquement concurrent. C'est ce suprémacisme, que les US nomme démocratie. On comprend pourquoi des pays sont réfractaires.
L'amusant du suprématisme américain, est qu'il n'est pas destiné au peuple américain. Sa vocation première est de servir Usraël, et bien sûr aussi les juifs américains. Lesquels après le prochain Massada, devront diriger les survivants israéliens vers une nouvelle conquête de l'ouest. Partager c'est une toute autre histoire.

Dans cet article Paul Craig Roberts, croque en passant l'éducation nationale US. Elle le mérite tout autant que la nôtre.
Sur la future guerre des fous, je serais pas étonné si le camp Russe ; du ras le bol des yankee, était piloté depuis Washington. En effet depuis des années, Poutine en laissant l'US faire du bruit, a très nettement développé la Russie. L'argument du je peux pas faire autrement, convenait au Russes, les élections le prouvent.
Or on lit ici, ou là, que Poutine ne doit plus s'en laisser compter. Que militairement il est assez fort, qu’économiquement aussi, etc... C'est confirmé dans l'article avec les propos de Monsieur Bogdasarov, qui me parait juste assez va-t-en guerre, pour être collabo.
Il y aurait tentative du bandit US, d’arrêter la montée en puissance de la Russie. Certes un peu tard, mais avant qu'elle atteigne des sommets, je serais pas surpris. Vous me direz ce serait bien futé pour des américains, je vous l'accorde.
Mais visiblement depuis cet été les discours ont changé sur la Syrie. Tout indique que l'affrontement est programmé, que les deux belligérants y sont préparés et que la Chine y tiendra son rôle. Tout ceci était loin d’être le cas, au printemps passé. 

Portez vous bien !
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P.S. Merdia hexagonal, je n'ouvre plus un titre. L'Immonde toujours à vomir, même les dessins de Plantu ne me font plus sourire. Toute la presse pue tellement le pouvoir, qu'elle est devenue irrespirable. Merdia ment, merdia ment, merdia est allemand… Pour ceux qui ont de la mémoire.