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mercredi 9 novembre 2016

Peuple 1, establishment 0 !

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La victoire de Trump, pose plus de questions, quelle n'apporte de réponses.
En premier lieu comme le Brexit, cette victoire inattendue montre que la facho-sphère-merdiatique, vit confortablement sur une autre planète. Force est de constater que hors ses émoluments, rien n'a d'importance à ses yeux. L’information aujourd'hui est en ligne et uniquement en ligne, adieux feuilles de choux et journal télé de M … Inutile pour les gouvernements et les bankters de subventionner ce truc has been.
Les peuples, quelque soit le matraquage qu'ils subissent, conservent un minimum de libre arbitre. Certes, celui-ci n'est plus réflexe, mais quand le danger est trop proche, il fonctionne encore.
Dans notre démocrasouille on ne vote pas pour un candidat, mais contre l'autre. C'est un geste de rejet et non d’adhésion. Même si Trump a fait une campagne bien pensée, ce sont surtout les incohérences de la folle, qui ont assuré son succès.
Pour le politiquement correct, c'est un terrible camouflet. Le populisme au pouvoir, dans la plus grande démocratie du monde, bla-bla, etc... On a pas fini d'entendre pleurer au coin de la téloche. Les électeurs sont des cons, des incultes, des pitoyables, et tutti quanti .

Restons sereins.
L'establishment a bien perdu cette bataille, pas encore son pouvoir de nuisance.
Il peut invalider l’élection sous un prétexte quelconque.
Il peut assassiner le futur président, avant même son entrée en fonction.
Il peut à l'aide de ses pions dans l'appareil administratif, mettre des bâtons dans les roues, de toute action présidentielle.
Les têtes chenues, des grands partis vont y laisser des plumes. Chez les démocrates si une commission étudie le cas clinton, elle tombera pas seule. Au GOP  aussi, des têtes vont tomber qui rampaient trop ostensiblement devant le tam-tam. Ce qui rappelle l'attitude débile, de marine devant bourdin.
Ceci est intéressant car ça devrait permettre à de nouvelles têtes de faire leur apparition. Nigel Farage juste un homme politique au sens noble du terme, pas une marionnette pilotée par quelques bruits incongrus.

Ceux qui passent sur ce blog, savent que je n'aime pas l'US. Mais si Trump arrive à lui rendre son way of life d’antan, je crierais ravi ; God bless américa.

Portez vous bien !

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