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Les menteurs pros, se font remonter les bretelles.
Ils ont joué le mauvais cheval, ils touchent pas le gros lot. Pour les cocktails et les petits fours ils repasseront. Voilà qui devrait inciter nos journaleux à être plus marioles, moins fainéants, manichéens et serviles.
Il y a sur la toile un discours, faisant de Fillon un Trump hexagonal.
Ils ont certes, le vote du refus en commun, mais c'est tout ce qu'ils ont de commun. La grande différence entre les deux, réside dans le pragmatisme de Trump, qu'aucun pisse copie n'a mis en évidence.
Trump a financé sa campagne et l'a conduite en chef d'entreprise, pas en parasite. En gestionnaire, il a investi chaque dollar dans des outils indispensables, telle que CambridgeAnalytica. Grâce auxquels il a défini ses cibles et les moyens de les atteindre, la base du marketing pur et simple.
Bien entendu, c'est de la démagogie mais démocratie et démagogie sont indissociables, le but étant d'obtenir l'agrément des citoyens.
Il y a eu deux démagogie, celle de Clinton, destinée l'establishment qu'elle voulait séduire et celle de Trump, destinée au peuple qu'il voulait conquérir.
Si les deux candidats avaient été issus de l'establishment, il n'y aurait eu qu'une seule et même démagogie, avec des variantes comme à toutes les autres campagnes.
Trump étant extérieur à l'establishment, n'avait pas besoin de se faire entendre de cette entité. En revanche s'adressant à des cow-boys, il leur a parlé cow-boy et ceux-ci l'ont entendu.
Ça nous ramène a un argument souvent entendu qui est ;
La démocratie c'est le pouvoir de la minorité. Par un artifice, l'establishment c'est à dire la minorité, a accaparé le pouvoir. Disposant pour le conserver, de ses chiens de garde et de tous les abrutis qui les écoutent. Tout ces gens qui après le formatage scolaire, ronronnent à celui de merdia.
Or contrairement au jeux habituel de la fausse majorité 50,.. vs 49, .. . Trump a touché la majorité, la vraie celle qui entend les vrais mots. Celle qui a vocation à être souveraine, mais l'est si rarement.
C'est bien parce que la minorité a perdu le pouvoir, qu'elle fait autant de bruit. Que ses médias sont enragés et que les imbéciles, les mêmes qui étaient Charlie hier, sont anti-Trump aujourd'hui.
C'est la différence des discours, liés à la différence des cibles, qui a fait gagner Trump. Pour une fois le peuple américain avait droit à un discours, qui lui était exclusivement destiné.
On est loin du cas Fillon, qui a certes doublé son ex patron, ce dont on ne le remerciera jamais assez. Mais c'est surtout du, à la répulsion qu'inspire Sarko et au ras le bol de Juppé, qui s'y voit déjà un peu trop.
Fillon a largement démontré, qu'il est un homme du système, européiste, mondialiste, droit de l'hommiste, libéraliste etc... Il n'est porteur d'aucun projet nouveau pour le pays, Dupont Aignan le fait remarquer, à juste titre.
Il y a un papier sur Macron autre suppôt du système, qui sera peut être candidat en 2017. Qui lui non plus n'apporte rien de neuf, juste des virgules par-ci par-la.
Nous n'avons pas de Trump en Hexagone !
Même si nos journalopes en manque d'imagination, vont employer le terme en anathème tout au long de la campagne. Seuls les candidats remettant en cause l'UE, pourront se prévaloir d'un vague rôle d’empêcheur de tourner en rond, à la Trump. Ils seront pas nombreux à se lancer hors des sentiers battus et rebattus.
Portez vous bien !
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