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Un constat un peu long qui enfonce des portes ouvertes.
La Fondation Concorde constate enfin que, la chienlit politicarde a tué notre pays. C’est cette raclure immonde de fiscar crétin qui a initié la chose. Son pire outil a été la french american foudation. Laquelle a mis nos dirigeants, directement au service des intérêts américains.
Dans notre paradis pour salopards, la chasse aux lion reste un passage obligatoire pour les grands chasseurs. Sauf que ce sont misérables lâches et qu’en guise de lion, ils agressent des femmes sans défense. Comme il a soit disant dix sept ans, il recevra les félicitations du mur des cons, les plus grands ennemis de leur pays.
J’ai une seule certitude, j’ai bien fait de quitter cet enfer. Ceux qui y restent, n’ont qu’à s’en dépatouiller.
C’est une femme de gôche, on comprend mieux le temps de la réflexion. Son action envers le gommeux de Beauvau, qui ne sait jamais rien. Lui permettra peut être de se faire réélire. C’est que breton tête de con, est un vieux refrain.
L’establishment désigne son ennemi ! Il faut dire que ce dernier empêche Mossieur le Marquis, de digérer son homard sereinement.
L’imagination prend enfin le pouvoir, c’est en Chine bien sûr !
L’armée US en est réduite abattre ses drones, pour terroriser les Iraniens par merdia interposé. Ce qu’il ne faut pas faire, pour inscrire une victoire au tableau de NYT.
Business as usual a de ces continuités, qui font mon admiration. Ainsi vous pouvez constater qu’il n’y a rein de nouveau sous ce soleil là.
Bien entendu, l’industriel a pu couler des jours heureux, polluant sans doute en sus les rivières et l’environnement.
On peut constater ici qu’il n’y a pas qu’en Amérique que la chose se produit.
Un article qui nous rappelle que se fier à Erdogan en quoi que ce soit, est tout à fait grotesque. La question qui se pose est ; Erdogan est-il toujours ballerine à l’opéra d’Ankara, ou chef d’état en Turquie. Bien malin qui peut répondre à cette question.
Les camps de concentrations sont nés aux états unis dès la fin du 18º siècle ! Voilà une vérité qui dérange dans le Landerneau washingtonien. Pas facile d’avoir l’air vertueux, quand on est un salaud !
Portez vous bien !
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