Ah la belle France que voilà ...

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Chez nos si chers collabos, le marché noir continue à faire flores. C’est juste pour rigoler, le covid et ses dealers, tout le monde s’en tape.
Le ridicule ne tuant plus, nous sommes dans la pantalonnade permanente. Vive la ripoublique, la démocrassouille et toutes ces sortes de choses, qu’ils disent !

Le covid ayant du mal, à imposer la terreur rêvée par nos maniaques ! Yankee de mierda, espère que la guerre en Ukraine, fera plus d’effets. Avec un petit plus, elle emmerdera également les Russes. Il faut dire que le brillant comportement de l’armée US à Kaboul, a donné des ailes aux beaux galonnés de l’état major. Rêver coûte rien, le réveil en revanche, peut être douloureux.

Comme le montrent les Russes, ils sont tellement inquiets. Qu’ils jouent aux petits soldats avec leurs amis, dans le Golf Persique. Juste pour emmerder le cow-boy et ce qui lui reste de séides.

L‘occident, ce continent lamentable, ne motive plus personne. Quand un pays en voie de développement, veut passer à la vitesse supérieure c’est vers l’Eurasie qu’il se tourne. Adieux le Way of life des marchands de bonheur. « Happy days » est perdu dans les cartons, les cheveux qui restent à Fanzy, sont blancs, tout blanc.

Shanghai le nouvel eldorado !

Le volcan aux Tonga, provoque une catastrophe humanitaire, l’aide internationale arrivant difficilement à destination. Le volcan tient à distance, tous ceux qui tentent de s’en approcher.

La bourse le panaché universel ouaf ouaf !

L’Australie va bien, il n’y restera bientôt plus que les Kangourous et les crabes. Tous les cons seront mort.

L’Espagne est sur la bonne voie. Mais Sanchez, semble attendre le bénédiction de l’UEHPAD. Et ça c’est pas du tout, la même histoire. Je rappelle que le mari de la mère sofa, est un des grands bénéficiaires de la technique ARN messager. Seul produit autorisé par la commission de sa bobonne. Sur le Covid je vous invite à lire le Journal.Mobi, c’est son dada. Même si de temps à autres, il nous bassine un peu avec le nain élyséen. Il n’a pas fait sienne, la belle maxime de Soljénitsyne : Ne les croyez pas, ne les craignez pas, ignorez les !

Portez vous bien !

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