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Un article US, à lire sur nos zélites ou l'establishment.
A force de s’isoler douillettement dans le politiquement correct, Ils sont passés à coté de la gestion de la cité.
Ce dogme du politiquement correct qui se combine parfaitement avec l’inversion accusatoire. A conduit ses adeptes à prospérer confortablement dans le virtuel. Le réel pendant ce temps est devenu de moins en moins appétissant. Il faudrait à cette caste qui n’est plus qu’un parasitisme, un effort surhumain pour se remettre dans les rails d’un pensée constructive basée sur le réel. Nous approchons de Constantinople, l’establishment concentre toute son énergie à définir le sexe des anges, tandis que les barbares sont sous les murs. Pas besoin d'aller loin pour voir qu'on a déjà vécu la même histoire, quand l’URSS s’est effondrée. Brejnev recadrait le parti des nuages, tandis que les peuples grâce à Soljenitsyne apprivoisaient le plancher des vaches. Eternelle confrontation des dévots majoritaires du virtuel contre ceux minoritaires du réel. Le réel garde en sa défaveur, le fait d’être difficile à appréhender, et plus difficile encore lui apporter le remède approprié. Tandis que le virtuel se plie toujours et sans aucun effort à toutes les exigences.
Cet article typiquement US, résonne étonnamment en UE, qui à force de singer l’amérique, a fini par lui ressembler comme son clone.
Le mur des cons se vautre lui aussi dans le politiquement correct.
Sa manie de racialiser tout propos contre toute institution religieuse, (à l’exception des institutions catholiques), en est un bel exemple. Le but est de nous empêcher de dire d’un djihadiste, qu’il n’est qu’un vulgaire assassin. Surtout depuis que tout le monde a appris que les services occidentaux, ont largement contribué à la formation du dit vulgaire assassin.
Pour finir le politiquement correct par la farce, quand le réel rattrape le virtuel BHL en fait un peu les frais.
Parlez moi de moi, il n’y a que ça qui m’intéresse, disait une chanson. En bien comme en mal, pourvu qu’on parle de lui.
Portez vous bien !
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