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dimanche 26 février 2012

Tam-tam!

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J'aime bien le réseau Voltaire.


Thierry Meyssan raconte une belle histoire.
http://www.voltairenet.org/Pour-la-liberation-de-nos
Dans Homs en Syrie, il reste des journalistes assez bêtes, pour avoir cru en leurs bobards.

C'est rigolo, voilà des gens qui prétendent informer le monde. Or ils ne voient ce monde que dans le miroir déformant de leurs employeurs.
Quand ils se déplacent c'est avec l'espoir de voir se confirmer leurs aprioris. Lesquels ressemblent beaucoup plus à du S.A.S qu'à une quelconque réalité.

Eux qui viennent sur tous le plateaux de télé dénoncer les complotistes, voient du complot partout.
Ils sont tellement parano, qu'ils ont refusé de quitter une zone dangereuse quand il était temps de le faire. Maintenant ils sont enfermés dans un ghetto, où leurs maitres les obligent à jouer le rôle de bouclier humain, pour emmerder l’armée régulière syrienne.
Laquelle est déjà très largement trainée dans la boue par les médias.
Ça rappelle la diabolisation de l'armée Serbe, on sait maintenant que tout cela n’était que du vent mauvais, ayant facilité bien des saloperies.
Saloperies allant jusqu'au vol d'organes humain, organisé par les OTAN ou ceux qui les servaient.

Ces sales journalistes au service du fric peuvent crever tout le monde s'en fout.

Le travail d'un journaliste consiste à rapporter fidèlement ce qu'il voit sans prendre parti ni inventer, juste raconter. C'est au lecteur de prendre un parti, pas au journaliste d'imposer le sien.
Nos idiots du stylo témoignent que quand une gamine se noie, là pas un n'a bougé le petit doigt

Le plus marrant, c'est que tout le monde sait qu'ils mentent à plein temps.
Personne n'accorde plus le moindre crédit à leurs histoires. Eux si! Ils restent les seuls assez cons, pour croire encore aux ragots qu'ils colportent .

Félicitations et à Dieux.




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