Le Boulet ...

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Le boulet confronté au réel ! Soit la pouffe, s’est fait remonter les bretelles par Trump. Soit les appels à sortir du carcan, commencent à être entendus par les parasites de Bruxelles. Faire table rase de toutes ces conneries, les Ue comme les nationales, est pas pour demain. Il fallait prendre des mesures, pour sauver l’économie européenne dès avant-hier.
- En attendant d’être pendus, tous ces salopards vont nous faire les poches. Ukraine, même le mafieux en chef à Kiev, sait pas où passe le pognon. Je vois mal l’utilité de se ruiner pour rien ou presque. Je suis sûr, qu’il y a plein de petits malins qui en croquent, y compris en Ue. Sinon ils feraient pas tant d’efforts, pour trouver du fric.

Le yankisme et ses turpitudes. Il doit maintenant rendre ce qu’il a volé aux Russes. Dieu sait, ce que ces crétins en ont fait ? Mais c’est le premier prix à payer, pour parler de paix. "Quand on est con, on est con" … Chantait Georges Brassens !

Le rassemblement des neuneus, fait le bonheur des pisses copies. C’est là qu’on voit que tous ces parasites ne servent jamais à rien.

Le Parti Communiste Chinois n’est pas une rigolade. Ça a une autre gueule, que nos chambres des représentants d’eux-mêmes.

Comme disent les cons Us ; "les Chinois nous copient". Le hic, c’est qu’ils sont tellement en avance, que ces mêmes cons Us n'arrivent plus à suivre.

Boursorama, oh la belle rouge !

L’AFD, une USAID à la française. Je serais pas étonné si les deux boutiques, se fournissaient chez le même grossiste. CIA, Soros, me paraissent tout indiqués.

James Howard Kunstler, retrouve le sourire. Ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique, va finir par donner des idées aux européens. D’ici à ce que chez nous aussi, la révolution commence. Il n’y a peut-être plus, qu’un tout petit pas.

Moon of Alabama confirme les propos de Clemenceau : la guerre est une chose trop sérieuse pour la confier aux seuls militaires. Pour une fois qu'il ne disait, ni faisait de connerie. S’il avait fait la même chose à Versailles en 18, on évitait la seconde.

Portez-vous bien !

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