Quelques mots sur les donneurs de leçons !

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Aujourd’hui je vais décharger ma bile sur les donneurs de leçons. Tous les grands salopards, qui se pavanent devant nous à la télé, ou ailleurs, pour nous dire ; Que faire, que penser, que dire. Tous les pères, la moraline, tous plus charlatans les uns, que les autres.
En voici deux qui sont bien à la mode en ce moment.
L’un est l’ex-speakrin de la téloche, devenu sinistre de l’écologie. Nous l’avons tous entendu vilipender les énergies fossiles. Pour donner l’exemple voila le bateau du zigoto écolo anti-tout.

Ce machin est mu par un enorme moteur de 225 chevaux, qui bouffe grosso modo 50 litres heure. Voilà un des pères la morale, pris la main dans le sac du tout pour ma gueule, rien pour les autres. Ce que Bernard Mabille nous commente juste pour le plaisir


L’autre est pas mal non plus, dans le genre faites ce que je dis, pas ce que je fais. C’est le voyou US du réchauffement, le jumeau de soros, al gore pour ne pas le nommer. Lui possède un gentil pavillon près d’une plage. On se souvient que ses prévisions alarmistes parlaient d’une montée du niveau de la mer pouvant aller jusqu’à 6 mètres. Bien sûr la encore le réchauffement est produit par l’activité humain, la transformation d’énergie, etc... En Amérique comme en hexagone une grande part de l’électricité est produite par le nucléaire, question réchauffement c’est gratiné. Regardez bien le home sweet home et vous constatez qu’il n’y a pas un panneau solaire, ou une éolienne.

Et cerise sur le gâteau, l’article nous dit que la casba est quasiment les pieds dans l’eau, la montée des eaux n’est pour al gore. Mais pour le Bangladesh n’oubliez pas la sébile. Alors si je peux me permettre un conseil ; Tous les gugusse des associations, des organisations, des clubs, des loges, des ligues, des ... j’en oublie surement. Qui main tendue vous disent faites ceci, faites cela, laissez les crever, passez votre chemin, gardez donc votre petit pognon. S’ils en veulent qu’ils aillent au charbon comme tout le monde.
Il est grand temps, que nous citoyens, cessions d’être volontairement les cocus, de toutes les farces.

Je finis par l’immigration, un vieux projet bien concocté dans notre dos, par des parasites de tous poils. Pas étonnant que cette folie ait eu de tels résultats, elle provient de loin et haut.

Portez vous bien !

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