Lettre ouverte à l’ami, qui me trouve bien tiède avec la gauche…
Il y a 170 ans, Marks écrivait le Manifeste du Parti Communiste, qu’il concluait par la plus célèbre des injonctions ;
PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS UNISSEZ VOUS.
170 ans font environ sept générations, que reste t-il aujourd’hui de l’union universelle du prolétariat, prônée par Marks.
Dès la publication du manifeste, les capitalistes ont bien compris qu’il leur fallait réagir promptement. Ils ont donc utilisé massivement, le plus vieux moyen dont dispose tous les pouvoirs ;
Diviser pour régner.
Pour diviser, ils ont divisé ; les pays, les gens, les sexes, les couleurs, les religions, les langues, tout absolument tout y est passé. On a même vu des syndicats (qui se prétendaient ouvrier), refuser de défiler avec d’autres syndicats (se disant également ouvrier), le jour de la fête du travail. Comme si un exploité qui se dit de gauche, pouvait avoir d’autres besoins, qu’un exploité qui se dit de droite.La lutte des exploités contre leurs exploiteurs avait pourtant birn démarrée ; très fort au dix neuvième siècle, encore fort au vingtième pour disparaître complètement au vingt et unième. Aujourd’hui les mêmes qui devraient se battre, pour mater la banksterocratie, défilent dans les rues en braillant "je suis Charlie". se dandinent la "nuit debout", ou sont "indignés" par je ne sais quoi. Des mots, juste des mots !
La derniere blague se sont les femelles qui se réunissent pour dénoncer un harcèlement sexuel dont elles ne sont pas forcement victimes. Au nom de leurs sœurs putes US, qui étaient prête à tout pour devenir vedette, sauf à reconnaître qu’elles n’en avaient pas le talent.
Nous les complices, des macron, puygdemont, trump et autres voyous de la planète, contemplons benoîtement sans rien y changer, le capitalisme s’enfoncer dans ses contradictions. Parce que nous sommes d’éternels optimistes, nous conservons l’espoir, que le capitalisme multipolaire BRICS, sera moins prédateur que son adversaire impérialiste finissant.
Voilà ou nos gauches nous ont menées, avec notre complicité, bien sûr.
Un système politico-economique à bout de souffle et de ressources. Jusqu’à notre démographie qui est altérée par le système des gauches au pouvoir depuis Thiers. A tel point que beaucoup de nos enfants, ne pourront même pas tenter l'aventure d'une vie couple, avec des enfants, sous un toit. Dans quelques années les blancs qui vivront encore en Europe melting-potée, auront le choix entre mourir écrasés, poignardés, ou hachés, au coin de la rue.
Tandis que nos produits seront fabriqués par des gosses du tiers monde, payés à coup de bâtons.
Voilà le résultat des générations de lutte des classes, menées par la gauche occidentale…
Rideau ! comme on dit au théâtre, quand la pièce fait un bide.
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