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dimanche 9 septembre 2012

France, l’impôt nouveau est arrivé !

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Dans l'information on trouve tout et son contraire.

Séparer les nouvelles de la propagande, est loin d’être aisé.
Plus on diversifie les sources et plus on est soumis à des manipulations divergentes. Il faut pourtant essayer de faire la part du vrai et du faux, et comme dirait l'autre objectiver etc...

Voici les grandes lignes d'un texte publié sur IRIB. (http://french.irib.ir/analyses/commentaires/item/210215-aux-usa-on-a-d%C3%A9j%C3%A0-pr%C3%A9vu-un-moyen-orient-sans-isra%C3%ABl-,-par-mireille-delmarre)
--- Le rapport se nommerait <Preparing For A Post Israel Middle East>
les intérêts nationaux américains et israéliens divergent fondamentalement. Les auteurs de ce rapport affirment qu’Israël est actuellement la plus grande menace pour les intérêts nationaux américains car sa nature et ses actions empêchent des relations normales entre les US et les pays arabes et musulmans et dans une mesure croissante avec la communauté internationale--- 
L’énorme ingérence d’Israël dans les affaires intérieures des US par l’espionnage et des transferts illégaux d’armes. Cela comprend le soutien à plus de 60 « organisations majeures » et approximativement 7500 fonctionnaires US qui obéissent au dictat d’Israël et cherchent à intimider les médias et les organisations gouvernementales US et cela ne devrait plus être toléré ;  

Ce rapport constate la dégradation de l'image des USA dans le monde. 
Quel que soit l'aveuglement américain sur ses fondamentaux, n'importe quel abruti peut constater la perte d'influence du géant au pied d'argile depuis la retour de Vladimir Poutine. Il suffit d'un peu de jugeote, pour comprendre qu'un pays qui dégringole en cent jours, traîne un boulet aux pieds depuis longtemps. 
--- Or tout le monde sait, que le boulet US c'est Israël. 
Perte d'influence et de marchés dans les pays arabes, mais la même dégringolade un peu partout dans le monde. Ce qui laisse les coudées franche à la Chine, pour se tailler la part du lion, où les Us reculent. 
--- Résultat une crise économique insoluble, une dette abyssale que les volontaires désignés renâclent de plus en plus à payer. 
--- Le point le plus flagrant du déclin US, c'est l'incapacité militaire. 
Irak, Afghanistan, après le Vietnam, qui peut encore croire à la super puissance militaire Us. 
Bien sur ils ont des drones et d'autres gadgets, mais les drones ne contrôlent pas un pays. Ils sont en revanche parfait, pour faire passer leurs utilisateurs pour les derniers des assassin, ce qui est une évidence. Sur le plan communication on peut espérer mieux. 

Revenons à Israël, comment les américains peuvent-ils se débarrasser du boulet. 
Sachant que pour être élu, un américain doit faire allégeance à l'AIPAC pour financer sa campagne. Pas de fric, pas d’élection, c'est la pognon-democratie Us. 
On sait au regard de l'histoire, qu'un politicien n'est jamais à un mensonge près. Mais de là à promettre monts et merveilles et faire le contraire, il y a un grand pas. Les bailleurs de fonds, banksters ou pas, exigent des garanties. Et puis il y a Lee Harvey Oswald, que n'importe quel élu peut rencontrer n'importe où, JFK l'a prouvé. 

Alors comment les Us peuvent-ils reprendre la main chez eux. 
L'intervention du général Dempsey est peut être un test de la maison blanche. 
La seule vraie façon de reprendre son indépendance politique, serait de stopper la course au fric, pour l'obtention de mandat. Tout candidat désigné, bénéficiant d'une campagne à coût fixe, à la charge de l’état. Tout manquement entraînant l'annulation de l’élection et l'interdiction pour le tricheur. On en est pas encore là en Amérique, pas plus qu'en Europe. 

Ce qui me fait beaucoup rire, c'est l'idée que si Us lâchaient Israël.
On verrait alors, bhl et les autres merdiateux mondialistes, chanter "'Us go home". Les tours jumelles devenir le fait de l'administration bush, les anticomplotiste nous jurer, leurs grands Dieux, qu'ils n'ont jamais dit-ça. L'élu de la maison blanche taxé d'antisémite négationniste, ou dans l'autre sens je sais jamais, "le confort intellectuel" c'est pas de la tarte. 

Ça viendra peut être, mais pas demain, ils sont encore bien tenus par les "cojones", comme disent mes voisins.

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