Ira, ira pas ?

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Les vassaux de l'empire tenu par la dette, s'agitent beaucoup.
La Chine sans dette, peut s'opposer à toute intervention militaire en Syrie. C'est sans doute elle qui fera la différence.

Je rappelle que si Chine et Russie se désengagent des bons du trésor Us, ou cessent d'en acheter, le dollar vaudra moins que le papier sur lequel il est imprimé.
On retrouvera à l'envers la blague des années 90.
Qu'elle différence y a t il entre un rouble et un dollar ? Avec cette fois comme réponse il y a un rouble.

Poutine tient il un double langage ?
Ou a t il la certitude que les armes chimiques, ont été utilisées par les terroristes impériaux.
Car dit il, s'il était avéré qu'Assad a utilisé les gaz, il rejoindrait les pères fouettards.

Tout ce bordel monstrueux pour balancer quelques bombes sur ce qui n'est pas encore démoli en Syrie.
Le rêve us c'est un monde aligné sur Dresde 1945.

Tandis que notre collabo number one lui, pleure sur Oradour. Qu'attend il, pour aller se recueillir sur les victimes des colonnes infernales de la convention ?
Pour une fois qu'il s'occupe des français, il a choisi les morts.
C'est peut être ça son rêve, les indigènes à l’état de cadavres, et plein de diversité bien portante partout.

Venezuela, une panne électrique paralyse une grande partie du pays.
L'an dernier, l'Inde subit la même catastrophe, identifiée comme émanant de l'empire.
L'inde a pu répondre, sur le plan informatique elle a les moyens, le Venezuela  ???

On dit que le gouvernement ne fait rien, c'est faux !
Il a fait 84 nouveaux impôts en deux ans, soit trois et demie par mois.
Un record jamais égalé dans aucun pays. Et c'est pas fini, parti comme ils sont, on peut s'attendre à mieux.
La encore on comprend pourquoi on enseigne plus l'histoire à l’école.
Il serait mignon le con ripoublicain à dénoncer les affreux tyrans avec leur taille et leur gabelle.
La tyrannie c'était 2 impôts, qui dit mieux.

Portez vous bien !

P.S. Assad en a profité pour faire des promesses aux français. Nous avons choisi le guignol de l'Elysée, il nous reste à l'assumer jusqu'au bout.
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