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Le fait du jour est l'approche de l’échéance.
Quand on parle d’échéance, on parle presque toujours de coût et c'est la que le bat blesse.
Les vassaux renâclent à mettre encore et toujours la main à la poche, pour les gamineries de la maison blanche.
Le vrai hic c'est que Poutine, encore lui, semble bien décidé à empêcher l'empire de refaire une autre Libye.
Le carburant augmente et si le gaz en faisait autant, nos marionnettes euro machin seraient bien embarrassées.
On aimerait beaucoup dans les chancelleries, ranger les instruments, démonter les lampions et garder un bon souvenir de la fête. Mais aller jusqu'au bout, ça c'est moins rigolo. Ça coûte beaucoup d'argent qu'il faudra emprunter, et fera des victimes qu'il faudra enterrer au sus et vues de tous.
En fait tous ces minables gugusses refusent sans cesse de se confronter à la moindre réalité.
Ils préfèrent leurs petits jeux électroniques, la ils peuvent se prendre pour de vraies terreurs.
Portez vous bien !
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