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Avis aux impérialistes, la Syrie devient le casus belli, du jour.
Il n'y aura pas de seconde chance, toute erreur se transformera en guerre. L'US l'a voulait, il va l'avoir !
Nous vivons une époque étonnante.
Dieux sait que pour planter des carottes, notre temps impose des tas de diplômes. Faisant de nos élites élus des hommes à la culture encyclopédique. Des géants du savoir et de l'analyse, qui ont à leur disposition des hordes de conseillers, aussi savants qu'eux mais spécialisés. Politicards, journaleux, capitalistes, tous sortent de multiples grandes écoles, avec force peaux d’âne, masters, doctorats, agrégations, etc.
On voit les effets de cette accumulation de savoir dans l'économie mondiale. Laquelle répète inlassablement les mêmes erreurs, au nom d'un profit qui va décroissant. Le clou du système étant la planche à billet, rebaptisée quantitative easing pour donner l'illusion que le nom ayant changé, les effets changent également. Or ce sont les causes qui produisent les effets, pas le nom des causes.
On retrouve cette étrange obstination dans les sanctions, lesquelles conservent le même effet. Grâce à elles, la Russie est devenue auto-suffisante sur le plan alimentaire. Plus, elle exporte maintenant des denrées alimentaires, ce qui ne s’était vu depuis l'effondrement du communisme. Souhaitons aux Russes que l'US prenne des sanctions dans tous les domaines. Ils auront alors toutes leurs chances, pour devenir la première économie mondiale.
Merdia, cherche des poux dans la tête de Trump.
Pour ce faire il ressort de vieux enregistrements, cette campagne est vraiment en dessous de la ceinture. Si l'abstention n'est pas majoritaire, c'est que les américains sont pas facilement dégoûtés. Merdia hexagonal qui n'a pas peur d'afficher son collaborationnisme, en fait des gorges chaudes.
Difficile de trouver un métier plus répugnant que celui de journaliste.
Vous avez dit ; Nationalisation déguisée !
Le moins qu'on puisse dire, est que ça y ressemble bougrement. Avec un risque en plus, recapitalisée par l'industrie allemande, si la banque dégringole, l'effet domino sera catastrophique. Rappel c'est DB qui a investi l’épargne des Allemands, dans les produits financiers que les banksters US ont fabriqués pour elle, à sa demande. Ça nous a valu la crise mondiale des surprimes en 2008.
Dutertre un nouvel Assad !
Il semble que quiconque refuse de se plier aux exigences US, bénéficie immédiatement d'une hausse de popularité de la part de ses concitoyens. Flamby notre monsieur près de zéro devrait en prendre de la graine, au lieu de copier les rase mottes de service.
Portez vous bien !
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