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La farce, des banksters. Farce, théâtre burlesque joué sur des tréteaux en place publique pendant le moyen-age, se joue aujourd'hui toujours en publique mais par médias interposés.
Benanke, Geithner, les duettistes de la main sur le cœur.
Nous promettent qu'ils vont régler le problème du Libor, problème qu'ils s'empressent comme un seul homme, de coller sur le dos de la seule Barclay's.
Tous deux patron à tour de rôle de la Fed, ont très certainement les cuisses aussi propres que Marcus Agius patron démissionnaire de Barclay's.
La Fed est une association de banksters, ayant un représentant au gouvernement US. Lequel se fait pompeusement appeler patron de la Fed. Ce n'est en réalité qu'un employé du syndicat du crime. Toutes les banques qui composent la Fed ont pignon sur rue à Londres, chacune ayant largement participé au trafique du Libor. Car pour que le Libor donne des informations favorables aux banksters, il faut que toutes les banques du BBA s'adonnent au même trafic.
Wikipedia nous donne pour le Libor la définition suivante.
Il s'agit, pour une devise considérée et pour une échéance donnée, d'un indice de taux calculé chaque jour ouvré à 11h (heure de Londres) et publié par la British Bankers' Association (BBA), devant en principe refléter le taux moyen auquel un échantillon de grandes banques établies à Londres prête "en blanc" (c’est-à-dire sans que le prêt soit gagé par des titres) à d'autres grandes banques (voir IBOR).
L'échantillon des banques choisies est connu à l'avance et plutôt stable dans le temps. Les taux les plus extrêmes relevés sont écartés du calcul, afin de protéger l'indice d'éventuelles erreurs ou d'une crise de liquidité qui affecterait telle ou telle banque de l'échantillon.
Coté Cameron, on a créé une commission, qui va créer des sous commissions et dans un peu de temps on sortira Dimon et un ou deux autres du chapeau.
Coté Bombama, on va prendre les choses en main, Laurel et Hardy vont mettre en place des mesures très efficaces, pour que les marchés reprennent confiance.
Toujours le même processus, la banskterocratie produit ses propres mesures de contrôle, on sait ce que ça a donné et va donner. Mais ça prouve le mépris et la suffisance de cette mafia, y compris pour les marchés dont pourtant elle se nourrit.
On va laisser les banksters continuer à faire ce qu'ils veulent, activité consistant surtout à voler leurs clients. Plus besoins de gangsters les banquiers s'en chargent.
Vu l’état de notre appareil judiciaire c'est toujours ça de pris. Il faut reconnaître aux banksters, que leurs méthodes sont moins brutales, que celles de leurs homologues gangsters. De plus n'allant jamais en prison, ça évite aux putains de juges, de relâcher des criminels sans jugement.
On perd beaucoup d'un coté, mais on a des petites compensations.
Amusez vous bien.
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