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Les banksters, je me vautre dans la boue.
Des banksters, des politiciens vendus, des journalistes menteurs, et des flics pourris, vive la république.
Revenons à nos prédateurs les banksters;
D'abord ne pas tout confondre, jamie dimon ou bob diamond sont des crapules, tout le monde est d'accord, mais ils ne sont que des prolos doré sur tranche.
Les vrais banksters, ce sont les salopards discrets, qui siègent au conseil d'administration de chaque banque. Les vrais ploutocrates, ce sont les administrateurs, tous ceux qu'on nous montre sont leurs employés. Le plus surprenant et qui explique sans doute l'homogénéité du système bancaire, c'est que beaucoup de ces administrateurs, le sont de plusieurs banques. Sans oublier qu'ils sont également, directement ou par employé interposé, administrateurs de quantités d’entreprises. Ceci explique pourquoi les entreprises des deux cotés de l'Atlantique ont les mêmes pratiques.
Ce sont eux qui font les politiciens pour qu'ils fassent leur politique, eux les maîtres de la dette.
Ce sont ces parasites dont il est urgent de se débarrasser, eux, leurs femmes et leurs gosses.
Il faut éliminer ces dynasties de buveurs de sang.
Car pour satisfaire leur insatiable appétit, ils obligent leurs employés à leur fournir x % sur leurs actions de chaque banque. Aux salaires qu'ils accordent à ces employés, ceux ci sont tout à fait d'accord pour faire n'importe quelle saloperie.
Exemple ;
http://www.capital.fr/bourse/actualites/enfreindre-les-regles-cle-du-succes-a-wall-street-739715
Un quart des cadres de Wall Street et de la City considèrent que la malhonnêteté est une clé du succès financier, à en croire une étude réalisée par un cabinet d'avocats américain.
Sur 500 cadres dirigeants du secteur interrogés aux Etats-Unis et au Royaume-Uni par le cabinet Labaton Sucharow, 24% se disent convaincus que les professionnels de la finance peuvent être conduits à mettre en oeuvre des pratiques illégales ou contraires à l'éthique pour atteindre leurs objectifs.
Soixante pour cent des répondants déclarent qu'ils commettraient un délit d'initié s'ils ne risquaient pas de sanctions et 30% affirment que leurs programmes de rémunérations variables les incitent à violer la loi ou les principes éthiques.
"Quand la mauvaise conduite est commune et acceptée par les professionnels des services financiers, c'est toute l'intégrité de notre système financier global qui est en danger", estime Jordan Thomas, qui dirige la section "whistleblower" ("lanceur d'alerte") de Labaton Sucharow, spécialisée dans la dénonciation de mauvaises pratiques.
Lauren Tara LaCapra; Jean-Stéphane Brosse pour le service français
Ceci explique l'histoire du Libor et autres canailleries, qui devrait conduire tout ce vilain monde sur la paille humides cachots, avant exécution.
On en est pas encore là, les politico-voyous ont la pétoche et la justice est pas prête à bouger ses énormes fesses.
Dans notre vie de tous les jours, c'est aux banksters que nous devons le coût du panier de la ménagère. C'est aux banksters que nous devons les licenciements. C'est aux banksters que nous devons les sempiternelles augmentations d’impôts. Bref ce sont eux qui nous pourrissent la vie.
Nous avons le choix, plier l’échine, ou réinstaller la guillotine sur la place de gréve. Et qu'on ne vienne pas nous parler d’antisémitisme, une canaille n'a ni religion ni race. Un bankster, wasp, juif, ou autre, n'est qu'un parasite dont il faut se débarrasser d'urgence.
Portez vous bien !
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