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dimanche 24 juin 2012

Unissons nos forces !

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Prolétaires de chaque pays battez vous entre vous ! Hymne des banksters !

Les hordes d'affamés déferlant sur wallstreet, ça ferait désordre sur les moquettes feutrées de Manhattan ou de la City.
Tout est fait pour empêcher le célèbre appel à l'union de Karl Marx, de prendre effet.

Le communautarisme, le ségrégationnisme, le tribalisme, le sexisme, etc... si bien ciblé de nos merdias. Tout, absolument tout, pour que les prolos se foutent sur la gueule, plutôt que s'unir.

Prolos de gauche irréconciliable avec les prolos de droite, chacun votant pour des bourgeois de la même classe, aux discours à peine différents.
Hollande élu par les prolos de gauche fera la politique des banksters, qui eux sont les seuls vrais maîtres du jeu, exactement comme Sarko le mandat précédent.

Mais ça permet aux prolos de gauche d’être heureux et a ceux de droite d’être  frustrés. Un siècle d’éducation nationale pour arriver à ce beau résultat. On comprend pourquoi les politiciens rendent hommage à Jules Ferry, lequel n'a pas inventé l’école mais le moyen de l'utiliser. Avant J.F les jésuites, les maristes et tant d'autres, apprenaient aux gamins à devenir des hommes, autonomes, pensant par eux même, disciples de Descartes pour les intellectuels.
Depuis que la république à pris la relève on a des imbéciles croyant penser lorsqu'ils répètent les propos de Cujadas. Diplômés incapable de lire un texte et d'en comprendre le sens, faisant d'excellents chômeurs.
50 % des jeunes diplômés français sont sans emploi.

Or nous approchons de la vraie crise, bien qu'elle existe depuis 2008, le paroxysme est pour demain.
Dans quelques jours ou semaines, les choses sérieuses vont démarrer. En Grèce ou la troïka de merde va saigner le peuple, en Espagne, en Italie et en France, tous pays ou les laissés pour compte vont occuper l'espace publique. Occupation qui, on peut leur faire confiance, sera réprimée comme dans les pays du Maghreb, dont les images ont servi à fabriquer chez nous un réflexe de Pavlov.
Dans quelques jours, nous serons dans une plus ou moins guerre civile, permanente.
Mais aussi dans une guerre mondiale, qui monte tout autour de nous.
L’échec sur l'Iran, l'avion turque pue la combine impériale pour tester les réactions de l'autre camps. Réaction qui, si elle gêne, permet en même temps de gravir un échelon dans l'escalade des communiqués.
Tout semble se mettre en place pour nous faire plonger la tête la première dans le bain de sang à venir. Bain de sang qui semble être du goût de notre président. On voit bien que la Syrie le grattouille ou le chatouille. Les turcs aussi aimeraient bien rejouer à la sublime porte. Bref plein de nostalgiques des marche militaires et des cantinières.

Les voyous du golf ont trouvé le moyen d'envoyer des musulmans de Ceuta ville espagnole, dans la saloperie syrienne. Bien sur dans le camp asl, celui qui bénéficie des pétrodollars.

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