Les nouvelles du front.
En France; Vous votiez et bien payez maintenant!
Le gouvernent "normal" étudie des hausses d’impôts "exceptionnelles".
Les licenciements et l'augmentation des prix de l’énergie, vous allez passer de chères vacances.
Si votre banque veut bien vous laisser prendre de quoi partir.
Bref, c'est l'europe des banques, de bruxelles etc... toute la racaille de la planète.
Un belge dans l'humour, parle d'intervention militaire en Syrie, sans l'aval de l'ONU. Comment financer l’opération, avec les pots de fleurs de Charleroi ?
Plus sérieux :
Vladimir Poutine fait la tournée des popotes au moyen orient, jardin de l'empire. C'est évidemment très risqué, avec les cinglés au pouvoir en Israël, tout est envisageable. On peut penser que tout a été prévu au Kremlin et que le moindre feux d'artifice israélien, vaudra disparition de l'état voyou.
Pendant ce temps le chef de l’état major Nippon est en visite officielle à Moscou.
Loukachenko et Castro, signent des accords de coopération.
Poutine et Chavez s'entretiennent par téléphone.
Nous sommes de plus en plus en 1938, crise économique et ballet diplomatique.
Avec comme acteur principal, la Russie, qui reprend à son compte le rôle de l'ex-URSS.
A ceci prêt que les alliés de Poutine sont de plus en plus nombreux.
Les politiciens de la planète, ceux qui font de la politique pas des chaises tournantes, ont tous bien compris qu'Usrael a son avenir derrière lui.
Le soutient de la Chine, a été le signal, du déclin de la maison blanche.
Ça rappelle Stalingrad, le marqueur de la seconde guerre mondiale.
Mais même si bombama a subi son Stalingrad, il est pas encore mort et conserve une réelle capacité de nuisance. Se rappeler que de Stalingrad en décembre 1941 au bunker de Berlin le 2 mai 1945, il s'est écoulé 40 mois. Ça laisse un temps suffisant pour faire pas mal de conneries.
Nous allons doucement vers un inconnu, trop bien identifié.
Le CAC40 autre marqueur signale que la finance se délite tranquillement.
Nos banques ces institutions indispensables au bon fonctionnement de la société, empêchent celle-ci de tourner rond.
Nous marchons sur la tête, signe que nous ne l'avons pas encore perdue.
Haut les cœurs !
P.S. Je ne commente jamais ou presque la politique Espagnole.
Je considéré les espagnols comme mes hôtes.
Lorsqu’on est invité, on reste quand tout est parfait, ou on s'en va.
Mais on emmerde pas celui qui vous reçoit, en lui expliquant que ci, que ça.
Je suis pas beur en France, moi!
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