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Bien que l’économie ne soit pas enseignée à l’école, on finit par se faire une idée de la chose.
La crise est tout, sauf la crise de la dette.
Elle est le fruit de l'incroyable stupidité de nos élites. Petits bourgeois ventrus, contents d'eux, idiots inutiles, auto-proclamés experts, au non de vagues diplômes. Or cette ignoble clique a monopolisé le pouvoir en occident, grâce à la pseudo démocratie.
Monopole d'autant plus facile à conserver que derrière nos marionnettes se tenait en embuscade la pieuvre financière. La grande mafia, pas la petite de Palerme qui échange job contre service, non, la grande celle des banksters aux nez et doigts crochus.
C'est le banksterisme qui a rongé notre système et ses acteurs, acteurs qui il faut le dire ne demandaient que ça. De corruptions en magouilles, de combines en saloperies, les banksters on kidnappé la monnaie, ne laissant aux états que l'illusion de sa maîtrise.
Aujourd'hui le dollar ne vaut plus rien, c'est devenu une monnaie virtuelle. Son équivalent européen a la même absence de valeur. C'est le triomphe de l'assignat la monnaie bidon par excellence. Or une monnaie sans valeur ne peut servir à relancer une économie. Economie dont la base est l'échange de produit contre valeur égale (troc ou monnaie).
Produit contre papier, nous somme dans l'arnaque plus dans l'économie.
Autre point, l’espoir enfantin du retour de la croissance.
La croissance repose sur; Une capacité de PRODUCTION exponentielle, liée à une capacité de CONSOMMATION également exponentielle.
Pour qu'il y ait croissance.
Il faut produire soi-même et non faire produire.
Il faut de l’énergie, au prorata de l'augmentation de la production.
Il faut des consommateurs, toujours plus nombreux et ou plus riches.
Il ne peut y avoir de croissance sans réunir ces paramètres.
Or aujourd'hui tous les guignols au pourvoir en occident, sont bien incapable de réunir un seul de ces paramètres. De plus nous savons tous maintenant que le fameux pic du pétrole est dépassé ou en passe de l’être, d'où l’impossibilité jusqu'à nouvelle énergie, de générer une vraie croissance.
On ferme le ban ; les banksters savent qu'ils ne peuvent plus exercer un racket lucratif sur une économie stagnante ou en récession. Il ne leur reste plus qu'a jongler sur les dettes d’état, d'autant mieux qu'ils ont préparé le terrain en obligeant ces mêmes états à emprunter avec intérêt sur les banques.
Maintenant je lis ici ou la le nom de goldman sachs ou autre. Dénoncer une banque c'est exactement comme dénoncer la gare St Lazare. Toutes les banques on une page avec la sale gueule de leurs bandits, ce sont ces salauds qu'il faut dénoncer à la vindicte publique.
C'est cette sale engeance qu'il faut éliminer, leur pourrir la vie en attendant de les buter.
Nous devons nous réveiller et vite; Regardez Grèce Italie ces de bandits ont déjà mis un des leurs à la tête de ces pays. Demain la France, l'Allemagne verront à leur tour arriver le même nervi bankster et là il sera trop tard pour bouger. Tout bruit dans la rue sera traité par des rafales de mitraillettes
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