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Médias mensonges, c'est quasi un pléonasme.
De bobards en canulars, les professionnels du mensonge ont réussi à nous convaincre que; Quel que soit le sujet qu'ils traitent, la vérité est ailleurs que dans leurs mots.
Nous sommes tous des complotistes, puisque toujours prêt a chercher une vérité autre, que celle assénée.
Depuis les tours jumelles, goûte d'eau qui fit déborder le vase, chaque événement narré est sujet à caution. Sur le fond comme sur la forme tout est épluché et décortiqué à la virgule près.
L'histoire d'Oslo ne fait pas exception à la règle.
La forme journalistique ayant été respectée, on est immédiatement sur la défensive.
Le tueur est bien entendu d'extrême droite, où pourrait on lire socialiste ou mondialiste?
Il est catholique, ils ont omis pédophile qui va souvent avec, sans doute le sens de la mesure propre à la profession.
La voiture piégée, donc islamiste comme celle qui a tué le premier ministre libanais.
Il est à noter qu'elle a été mise à feux un jour férié, comme les tours jumelles un instant de faible fréquentation. D’où j'en conclue que lorsque le nombre de victime dépasse un certain seuil, l'indignation des foules est telle que l’enquête ne peut plus être manipulée.
Sur Internet ces quelques faits sont amplement suffisant, pour qu'on y parle uniquement de faux drapeau.
Toujours sur Internet:
Le tueur, puisqu'il n'y en a qu'un, a tiré sur des gens réclamant le boycott d’Israël.
Sur Facebook il se présente comme franc-maçon, ce qui n'est guère compatible avec l’intégrisme catho auquel notre presse prétend le faire appartenir.
Il y a même des tas de gens qui n’hésitent pas à mettre les attentats d'Oslo sur le compte d’Israël. Il faut dire que ce dernier mène le monde avec une telle arrogance, que plus ça ira et plus on lui prêtera, ce qui lui revient peut être. Le coup des aéroports d’Europe a été de trop.
En attendant de voir un peu plus clair, une chose est certaine.
Nous sommes, devenus chair à canon dans nos propres pays. Et les instances qui nous gouvernent ne feront rien pour y remédier. Avec de la chance elles ne nous passeront pas tous au four crématoire. Il va nous falloir ruser pour survivre.
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