Iran
Je ne sais comment vous réagissez, moi chaque fois que notre tamtam national sort une soit disant horreur iranienne, je me méfie.
Il s'agit aujourd'hui d'un ex-tolar pour lequel se sont mobilisés intellectuels et médias français.
Intellectuels, toujours les mêmes, 4 ou 5 plumitifs que personne ne lit.
Les journalistes, toujours les mêmes ténors de la boite à bruit.
Ce beau monde bien habillé, rasé de frais, passe son temps à nous conter les turpitudes de l'exécrable gouvernement iranien, qui n'a pas su trouver grâce aux yeux du si vertueux gouvernement israélien.
Ah ne parlez pas à ces mignons des américains, vous les facheriez et leur teint s'en gâterait.
Si par malheur vous évoquez la liste des crimes des différents gouvernements américains depuis la fondations de l'état. Vous aurez droit à des crises de nerfs et une volée de bois vert.
Pourtant c'est aux Usa que sont violés tous les jours les « Droits de l'homme ». C'est aux Usa que l'on polue le plus la planête. C'est aux Usa que l'on vole les citoyens, C'est aux Usa que l'on fait la guerre pour des intérêts immédiats. C'est aux Usa que les présidents ont les mains couvertes de sang, celui de leur peuple et des peuples des autres pays.
Mais ça, nos intellectuels sont incapable de le voir, leur cécité gràve ne les empèche pourtant pas de voir des armes de destruction massive en Irak ou des bombes atomiques en Iran. Toutes choses bien vues et longuement expliquées, qui cécité oblige n'ont jamais existées.
Lafontaine dont nos élites ont surement oui causer ; « qui veut noyer son chien l'accuse de la rage »
Tous ces beaux messieurs, parmi lesquels on trouve ici ou l'a, un ex Lheman brothers boy, un sayan, un flic de la Cia ou autre, devraient servir mieux leur cause, s'il en est encore temps.
Aujourd'hui de plus en plus de gens pensent que les Usa et leur satellite israélien, sont deux pays pourris, sont les deux seuls fouteur de bordel sur la planête.
Je, et suis surement pas seul, souhaite que les Usa se cassent la gueule le plus tôt pssible et fais des voeux pour l'hégémonie de la Chine dans les plus brefs délais.
J'en ai ras le bol des fausses morales, des fausses vertues, des fausses associations, des fausses ong, beaucoup trop de vrais salauds dans ce fatra.
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mardi 21 décembre 2010
lundi 13 décembre 2010
flics juges flics ou voyous
Les flics,
S'il y a dans notre société des gens pour lesquels je n'ai pas de respect, c'est bien ceux la.
Je leur reproche entre autre d'avoir accepté sous Degaulle de devenir la milice du pouvoir et non plus des gardiens de la paix. En guise de paix ils nous tapent sur la gueule des qu'on à quelque chose à dire. Passons sur les prunes et autres turpitudes, auxquelles nous sommes confrontés, quand on les croise.
Seulement voila ils représentent la loi républicaine ; dura lex sed lex.
Lorsqu'ils font signe à un automobiliste de s'arrêter celui-ci a obligation de s'exécuter.
Aucune raison de s'enfuir ne doit pouvoir être invoquée.
Délit de fuite est la sentence.
Dans l'ensemble heureusement les citoyens s'exécutent, une minorité de voyous issus de no mans land n'y consent pas. C'est la que ça coince. Quand un flic poursuit un automobiliste qui a refusé de s'arrêter, il est légalement à la poursuite d'un malfaiteur « terme tout à fait désuet aujourd'hui ».
Or chaque fois qu'il arrive un emmerde au dit malfaiteur, se cache dans un transfo se casse la gueule en bagnole, les banlieues s'enflamment. Chaque poursuite qui tourne mal, les flics sont au banc des accusés.
Pas un seul de ces cons de juges, pour dire le malfaiteur avait obligation de s'arrêter.
Non seulement ce n'est pas ce que dit le juge, mais à chaque fois il trouve un biais pour le flic soit coupable. Culpabilité immédiatement orchestrée par le tamtam médiatique.
Depuis des années que ça dure, on assiste à des sentences de plus en plus abracadabrantes.
Le juge dit ; peine très lourde à un récidiviste, un mois ferme mais vous rentrez chez vous pour pas mettre votre quartier à feu et à sang. Ou bien, il relâche le jour ou il est présenté au parquet, un type dangereux, j'en passe et des meilleures.
En revanche s'il s'agit d'un flic ayant menti ce dernier écope du maximum.
Quand il s'agit d'un gendarme assassin la il est blanchi, comprenne qui peut.
La France, est devenue un pays de merde, on y rencontre plus que des assassins des voleurs et des mendiants, c'est la raison pour laquelle je l'ai quittée. Seulement même loin ça reste mon pays et j'aimerais bien ne pas rougir chaque fois qu'on en parle.
Si cette saloperie qui se prétend justice, voulait bien faire un petit effort pour ne pas tout le temps transformer un fait divers en fait de société, je lui en serait reconnaissant. Ça m'éviterais de devoir expliquer à mes voisins que notre pays n'est plus que l'ombre de lui même, que les flics sont majoritairement syndiqués à droite et les juges majoritairement syndiqués à gauche et pour beaucoup franc-maçons. Que ces luttes entre bourgeois de gauche et de droite, on conduit notre pays dans le gouffre ou il se traine. Qu'en deux siècle ça nous a valu d'être occupés 4 fois, chaque bourgeois convaincu que c'est la faute de l'autre, alors que c'est bien celle des deux.
Pour les faits divers, que les flics se démerdent, ils n'ont qu'a pendre les juges ça leur vaudra enfin un peu de sympathie de leur concitoyens.
Quand aux juges, s'ils ne veulent pas gouter aux joies de la lanterne lors de la prochaine, il serait temps qu'ils mettent un peu d'ordre dans leur foutoir.
Parce que cette fois je rappellerais à tous, que ce sont les mêmes juges qui après avoir condamnés les résistants et déportés des juifs, se faisaient intraitable avec les collabos pour se refaire une virginité.
Ras le bol de cette république.
S'il y a dans notre société des gens pour lesquels je n'ai pas de respect, c'est bien ceux la.
Je leur reproche entre autre d'avoir accepté sous Degaulle de devenir la milice du pouvoir et non plus des gardiens de la paix. En guise de paix ils nous tapent sur la gueule des qu'on à quelque chose à dire. Passons sur les prunes et autres turpitudes, auxquelles nous sommes confrontés, quand on les croise.
Seulement voila ils représentent la loi républicaine ; dura lex sed lex.
Lorsqu'ils font signe à un automobiliste de s'arrêter celui-ci a obligation de s'exécuter.
Aucune raison de s'enfuir ne doit pouvoir être invoquée.
Délit de fuite est la sentence.
Dans l'ensemble heureusement les citoyens s'exécutent, une minorité de voyous issus de no mans land n'y consent pas. C'est la que ça coince. Quand un flic poursuit un automobiliste qui a refusé de s'arrêter, il est légalement à la poursuite d'un malfaiteur « terme tout à fait désuet aujourd'hui ».
Or chaque fois qu'il arrive un emmerde au dit malfaiteur, se cache dans un transfo se casse la gueule en bagnole, les banlieues s'enflamment. Chaque poursuite qui tourne mal, les flics sont au banc des accusés.
Pas un seul de ces cons de juges, pour dire le malfaiteur avait obligation de s'arrêter.
Non seulement ce n'est pas ce que dit le juge, mais à chaque fois il trouve un biais pour le flic soit coupable. Culpabilité immédiatement orchestrée par le tamtam médiatique.
Depuis des années que ça dure, on assiste à des sentences de plus en plus abracadabrantes.
Le juge dit ; peine très lourde à un récidiviste, un mois ferme mais vous rentrez chez vous pour pas mettre votre quartier à feu et à sang. Ou bien, il relâche le jour ou il est présenté au parquet, un type dangereux, j'en passe et des meilleures.
En revanche s'il s'agit d'un flic ayant menti ce dernier écope du maximum.
Quand il s'agit d'un gendarme assassin la il est blanchi, comprenne qui peut.
La France, est devenue un pays de merde, on y rencontre plus que des assassins des voleurs et des mendiants, c'est la raison pour laquelle je l'ai quittée. Seulement même loin ça reste mon pays et j'aimerais bien ne pas rougir chaque fois qu'on en parle.
Si cette saloperie qui se prétend justice, voulait bien faire un petit effort pour ne pas tout le temps transformer un fait divers en fait de société, je lui en serait reconnaissant. Ça m'éviterais de devoir expliquer à mes voisins que notre pays n'est plus que l'ombre de lui même, que les flics sont majoritairement syndiqués à droite et les juges majoritairement syndiqués à gauche et pour beaucoup franc-maçons. Que ces luttes entre bourgeois de gauche et de droite, on conduit notre pays dans le gouffre ou il se traine. Qu'en deux siècle ça nous a valu d'être occupés 4 fois, chaque bourgeois convaincu que c'est la faute de l'autre, alors que c'est bien celle des deux.
Pour les faits divers, que les flics se démerdent, ils n'ont qu'a pendre les juges ça leur vaudra enfin un peu de sympathie de leur concitoyens.
Quand aux juges, s'ils ne veulent pas gouter aux joies de la lanterne lors de la prochaine, il serait temps qu'ils mettent un peu d'ordre dans leur foutoir.
Parce que cette fois je rappellerais à tous, que ce sont les mêmes juges qui après avoir condamnés les résistants et déportés des juifs, se faisaient intraitable avec les collabos pour se refaire une virginité.
Ras le bol de cette république.
dimanche 12 décembre 2010
Les banquiers, la seule vraie racaille
Les banquiers.
Vaste sujet, en France en tous cas ils sont l'archétype du faux capitaliste. Fonctionnaires nommés par l'état à la tète d'institutions financières, qui se prétendent privées.
Le seul fait qu'ils soient fonctionnaires les décharge de toute responsabilité. Ils peuvent bouffer la grenouille, truquer leur compatibilité, se distribuer des salaires hors de proportion avec leur rôle, tout ça, sans la moindre inquiétude.
Ah parlez moi des épiciers de quartier qui ont 50 euros d'immobilisation non justifiés, là le fisc est intraitable, amende et tutti quanti.
Mais les banquiers, rien, pas même la visite d'un polyvalent, pas d'audit de la cour des comptes, rien, le club med à vie.
Ils ont juste eu un peu peur pour leur devenir par la faute d'Eric Cantonna, lequel aura sans doute du mal à trouver un prêt à taux favorable.
Primo; jamais Canto n'a invité le peuple à faire la révolution le 7 décembre, ce sont des jeunes qui ont saisi l'occasion de faire parler d'eux.
Secundo; ni la ministre lagarde, ni les couillons interviewés devant les distributeurs ne sont eux mêmes des économistes. Je rappelle pour citer Pierre Jovanovic, que les Us ont 5 prix Nobel d'économie, on voit ou conduisent ces brillants sujets.
D'après ce que je lis (je n'ai aucune prétention a jouer les expert en économie ou trafic financier). D'après ce que je lis disais-je, il y aurait 50 000 milliards de dollar virtuel dans le système bancaire mondial.
Qu'est-ce que des dollars virtuels ? C'est de l'argent qui n'existe pas, la société générale nous en a fourni un bel exemple avec l'affaire Kerviel.
Petit historique; Il y a */- une dizaine d'années les banques allemandes avaient trop de dépôts, et pas de débouchés pour les faire fructifier, elles ont demandées aux banques américaines de créer de nouveau produits financiers pour que ce trop de fric travaille, jusque la on suit,
Le hic c'est que l'économie mondiale est tellement sclérosée, que de nouveau produits financiers étaient impossibles à fabriquer. Alors ils ont bricolé des bulles de crédit, Pierre Jovanovic raconte que des démarcheurs proposaient des prêts aux automobilistes Us dans les stations service.
Achetez une maison on s'occupe de tout, ça a très bien marché, ils ont fixés des populations plutôt volatiles grâce aux maisons, tout le monde s'y retrouvait.
C'est l'histoire des surprimes, mais les américains ont une sale manie, ils vivent dans des cabanes en aglos, pulpe de bois et colle dans du carton plus ou moins bien plastifié, vous allez voir plus loin que ça nous concerne.
Comme les banques allemandes avaient un produit qui faisait tourner leur fric tout le monde était content, Dès qu'un truc marche les sans imagination se précipitent et nos banquiers ont fait de même, ils ont acheté des surprimes (il paraît que plusieurs sociétés d'Hlm ont fait de même). Seulement l'économie américaine étant poussive, plein de propriétaires de cabanes sont devenus insolvables et la pompe à fric s'est enrayée. Du coup les banques sont devenues propriétaires du bien hypothéqué. Cabane en aggloméré pas entretenue, valeur = zero $ invendable.
La vraie question est, qui est propriétaire de ces zero $, qu'évidemment plus personne ne va acheter.
La réponse est simple c'est votre banque, et cette cabane de plus value en plus value a été payée avec votre petit pognon, le prix d'une maison en granit. Alors les gens qui disent Cantona est un irresponsable sont simplement des imbéciles, ou des salauds.
Donc votre banque, a perdu vos dépôts, ça, il faut que ce soit bien clair dans votre esprit.
Ce qui fait que pour vous rendre votre argent quand vous le demandez, elle est obligée d'emprunter, d'ou un délai pour vous rendre votre bien.
Le plus fou c'est que, pour que votre banque ait encore la lumière allumée quand vous entrez, l'état s'est empressé de vous piquer encore un peu de pognon, pour lui permettre de payer Edf.
Voilà schématiquement ou on en est de notre brillant système financier.
Vous en concluez vous même, que si vous continuez à faire confiance à votre banquier, c'est que vous avez perdu la raison.
Ça se complique encore, car non seulement nos banques sont insolvables, mais l'argent dont nous nous servons perd de sa valeur tous les jours. Suffit de connaitre le prix du M2 à Paris pour s'en convaincre, le wc du coin vaut déjà 8000 € et va encore grimper.
Du Jour au lendemain on peut être amené à payer un milliard d'euro pour un pain, c'est arrivé aux allemands au début des années trente, ça a largement contribué à la montée d'Hitler au pouvoir.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on a de bonnes raisons de pas trouver la situation très rigolote.
Vaste sujet, en France en tous cas ils sont l'archétype du faux capitaliste. Fonctionnaires nommés par l'état à la tète d'institutions financières, qui se prétendent privées.
Le seul fait qu'ils soient fonctionnaires les décharge de toute responsabilité. Ils peuvent bouffer la grenouille, truquer leur compatibilité, se distribuer des salaires hors de proportion avec leur rôle, tout ça, sans la moindre inquiétude.
Ah parlez moi des épiciers de quartier qui ont 50 euros d'immobilisation non justifiés, là le fisc est intraitable, amende et tutti quanti.
Mais les banquiers, rien, pas même la visite d'un polyvalent, pas d'audit de la cour des comptes, rien, le club med à vie.
Ils ont juste eu un peu peur pour leur devenir par la faute d'Eric Cantonna, lequel aura sans doute du mal à trouver un prêt à taux favorable.
Primo; jamais Canto n'a invité le peuple à faire la révolution le 7 décembre, ce sont des jeunes qui ont saisi l'occasion de faire parler d'eux.
Secundo; ni la ministre lagarde, ni les couillons interviewés devant les distributeurs ne sont eux mêmes des économistes. Je rappelle pour citer Pierre Jovanovic, que les Us ont 5 prix Nobel d'économie, on voit ou conduisent ces brillants sujets.
D'après ce que je lis (je n'ai aucune prétention a jouer les expert en économie ou trafic financier). D'après ce que je lis disais-je, il y aurait 50 000 milliards de dollar virtuel dans le système bancaire mondial.
Qu'est-ce que des dollars virtuels ? C'est de l'argent qui n'existe pas, la société générale nous en a fourni un bel exemple avec l'affaire Kerviel.
Petit historique; Il y a */- une dizaine d'années les banques allemandes avaient trop de dépôts, et pas de débouchés pour les faire fructifier, elles ont demandées aux banques américaines de créer de nouveau produits financiers pour que ce trop de fric travaille, jusque la on suit,
Le hic c'est que l'économie mondiale est tellement sclérosée, que de nouveau produits financiers étaient impossibles à fabriquer. Alors ils ont bricolé des bulles de crédit, Pierre Jovanovic raconte que des démarcheurs proposaient des prêts aux automobilistes Us dans les stations service.
Achetez une maison on s'occupe de tout, ça a très bien marché, ils ont fixés des populations plutôt volatiles grâce aux maisons, tout le monde s'y retrouvait.
C'est l'histoire des surprimes, mais les américains ont une sale manie, ils vivent dans des cabanes en aglos, pulpe de bois et colle dans du carton plus ou moins bien plastifié, vous allez voir plus loin que ça nous concerne.
Comme les banques allemandes avaient un produit qui faisait tourner leur fric tout le monde était content, Dès qu'un truc marche les sans imagination se précipitent et nos banquiers ont fait de même, ils ont acheté des surprimes (il paraît que plusieurs sociétés d'Hlm ont fait de même). Seulement l'économie américaine étant poussive, plein de propriétaires de cabanes sont devenus insolvables et la pompe à fric s'est enrayée. Du coup les banques sont devenues propriétaires du bien hypothéqué. Cabane en aggloméré pas entretenue, valeur = zero $ invendable.
La vraie question est, qui est propriétaire de ces zero $, qu'évidemment plus personne ne va acheter.
La réponse est simple c'est votre banque, et cette cabane de plus value en plus value a été payée avec votre petit pognon, le prix d'une maison en granit. Alors les gens qui disent Cantona est un irresponsable sont simplement des imbéciles, ou des salauds.
Donc votre banque, a perdu vos dépôts, ça, il faut que ce soit bien clair dans votre esprit.
Ce qui fait que pour vous rendre votre argent quand vous le demandez, elle est obligée d'emprunter, d'ou un délai pour vous rendre votre bien.
Le plus fou c'est que, pour que votre banque ait encore la lumière allumée quand vous entrez, l'état s'est empressé de vous piquer encore un peu de pognon, pour lui permettre de payer Edf.
Voilà schématiquement ou on en est de notre brillant système financier.
Vous en concluez vous même, que si vous continuez à faire confiance à votre banquier, c'est que vous avez perdu la raison.
Ça se complique encore, car non seulement nos banques sont insolvables, mais l'argent dont nous nous servons perd de sa valeur tous les jours. Suffit de connaitre le prix du M2 à Paris pour s'en convaincre, le wc du coin vaut déjà 8000 € et va encore grimper.
Du Jour au lendemain on peut être amené à payer un milliard d'euro pour un pain, c'est arrivé aux allemands au début des années trente, ça a largement contribué à la montée d'Hitler au pouvoir.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on a de bonnes raisons de pas trouver la situation très rigolote.
samedi 11 décembre 2010
Encore un peu la crise
Le système s'écroule, on l'a tous compris.
Pourtant aucune voix, aucune instance, ne veut designer vraiment les coupables, pas plus le procureur de la république, que les journaux, ou les politiques, preuve que tout ce beau monde bouffe dans la même gamelle.
Gauche droite, continue son train train quotidien, pas un pour dire « mort aux banquiers ».
Pour que vous compreniez bien mon point de vue sur la classe politique permettez moi une image de tous les jours.
Nous faisons nos courses dans les grandes surfaces, c'est pratique on met tout dans le chariot. Quand on est proche d'une ville on dispose de plusieurs grandes enseignes, carrefour continent auchan et quelques autres on va pas tous les nommer.
Comme beaucoup de consommateurs vous êtes attentif aux prix pratiqués et passez d'une enseigne à l'autre, car les promo sont plus avantageuse une semaine chez l'un que chez l'autre. Savez vous que la plus part des enseignes de super marché, appartiennent au même groupe, à la même holding.
Surtout ne croyez pas plus futé d'acheter ici plutôt que la, c'est juste du marketing, de la poudre aux yeux pour vous faire croire que vous êtes un consommateur averti. Les seuls intérêts pris en compte dans ce jeux de chaise tournante, sont ceux de la holding.
En politique c'est exactement la même chose, gauche droite malgré leurs promos, c'est toujours la holding qui gagne, jamais nous.
En 2012 notre pays sera ruiné ou très prêt de l'être, Notre pécule sera réduit en peau de chagrin, et pour se venger des salauds qui nous auront réduit à cet état, beaucoup penseront à voter pour l'opposition.
DSK sera « pour l'instant c'est le meilleur cheval » le candidat de la gauche, il a une bonne tète et parle assez bien, mieux c'est pas difficile que pimprenelle. D'ici la beaucoup auront oublié que DSK est un des pires banquiers du monde, le patron du fmi, le fossoyeur de la Grèce de l'Irlande et d'autres pays, pas encore ravagés par ses soins à l'heure ou j'écris. Et encore une fois on sera devant le choix entre deux enseignes de la holding, la peste et le choléra.
Quelle holding pensez vous ???
Il gonfle avec ses mots franglais.
La holding dont il s'agit, qui conduit le monde à sa perte, c'est la grande maffia financière. Qui comprend les banques et sociétés de crédit Us principalement, mais qui contrôle quasi toutes les banques de la planète et par ce moyen tous les politiques des pseudos démocraties.
Voilà pourquoi j'insiste toujours pour dire ne votons pas, il ne faut plus élire personne, vacance du pouvoir comme en Belgique, est le seul moyen d'arrêter le système, pour peut être construire une société humaine, ça c'est une autre histoire.
Bien sûr, aucun politique, aucun journaliste, vous dira ; Votez pas !!!! Ce serait scier la branche sur laquelle ils ronflent.
Pourtant dites vous bien, que ce putain de bulletin vous mène directement à la charrette. Quand vous grimperez les marches, peut être vous rappellerez vous bien tard, que je vous criais ; fais pas le con, va á la pèche !
Pourtant aucune voix, aucune instance, ne veut designer vraiment les coupables, pas plus le procureur de la république, que les journaux, ou les politiques, preuve que tout ce beau monde bouffe dans la même gamelle.
Gauche droite, continue son train train quotidien, pas un pour dire « mort aux banquiers ».
Pour que vous compreniez bien mon point de vue sur la classe politique permettez moi une image de tous les jours.
Nous faisons nos courses dans les grandes surfaces, c'est pratique on met tout dans le chariot. Quand on est proche d'une ville on dispose de plusieurs grandes enseignes, carrefour continent auchan et quelques autres on va pas tous les nommer.
Comme beaucoup de consommateurs vous êtes attentif aux prix pratiqués et passez d'une enseigne à l'autre, car les promo sont plus avantageuse une semaine chez l'un que chez l'autre. Savez vous que la plus part des enseignes de super marché, appartiennent au même groupe, à la même holding.
Surtout ne croyez pas plus futé d'acheter ici plutôt que la, c'est juste du marketing, de la poudre aux yeux pour vous faire croire que vous êtes un consommateur averti. Les seuls intérêts pris en compte dans ce jeux de chaise tournante, sont ceux de la holding.
En politique c'est exactement la même chose, gauche droite malgré leurs promos, c'est toujours la holding qui gagne, jamais nous.
En 2012 notre pays sera ruiné ou très prêt de l'être, Notre pécule sera réduit en peau de chagrin, et pour se venger des salauds qui nous auront réduit à cet état, beaucoup penseront à voter pour l'opposition.
DSK sera « pour l'instant c'est le meilleur cheval » le candidat de la gauche, il a une bonne tète et parle assez bien, mieux c'est pas difficile que pimprenelle. D'ici la beaucoup auront oublié que DSK est un des pires banquiers du monde, le patron du fmi, le fossoyeur de la Grèce de l'Irlande et d'autres pays, pas encore ravagés par ses soins à l'heure ou j'écris. Et encore une fois on sera devant le choix entre deux enseignes de la holding, la peste et le choléra.
Quelle holding pensez vous ???
Il gonfle avec ses mots franglais.
La holding dont il s'agit, qui conduit le monde à sa perte, c'est la grande maffia financière. Qui comprend les banques et sociétés de crédit Us principalement, mais qui contrôle quasi toutes les banques de la planète et par ce moyen tous les politiques des pseudos démocraties.
Voilà pourquoi j'insiste toujours pour dire ne votons pas, il ne faut plus élire personne, vacance du pouvoir comme en Belgique, est le seul moyen d'arrêter le système, pour peut être construire une société humaine, ça c'est une autre histoire.
Bien sûr, aucun politique, aucun journaliste, vous dira ; Votez pas !!!! Ce serait scier la branche sur laquelle ils ronflent.
Pourtant dites vous bien, que ce putain de bulletin vous mène directement à la charrette. Quand vous grimperez les marches, peut être vous rappellerez vous bien tard, que je vous criais ; fais pas le con, va á la pèche !
mardi 7 décembre 2010
Cantona et les banques
Aujourd'hui Cantona et les banques.
La classe politique dans son bel ensemble dit : Cantona est fou il pousse au suicide.
Les économistes nous expliquent que le bankrun aura des effets catastrophiques.
Ces mêmes économistes nous expliquent qu'il vaut mieux laisser les banques se casser la gueule toute seule que de les y aider.
Je vois pas la différence, je vois seulement que dans le second cas on crachera au bassinet plus longtemps.
Le système économique mondial est mort cliniquement, qu'on le veuille ou non, il est en réanimation artificielle et ne tient que par la perfusion. Le problème c'est que la perfusion sort de notre poche à vous et moi.
Alors que faire ; soutenir le cadavre en le faisant bouger avec des fils pour se convaincre qu'il vit encore et casquer sans fin, ou le jeter a la poubelle sa vraie place.
Moi je pense qu'il faut s'en débarrasser le plus vite possible, la contamination de l'économie est déjà très avancée, plus on attend et moins il restera d'entreprise sauvable.
Bien sur les banques au tapis ça va pas nous simplifier la vie, il va falloir faire preuve d'imagination. Ceci dit les politiciens cette fois seront bien forcés de bouger leur cul, ça va drôlement les changer. S'ils se contentent de blablater, ils risquent de se retrouver la corde au coup, comme les banquiers qui courent pas assez vite. Parce que la, il faudra pas faire semblant. C'est la révolution, il faut des têtes, pas celle de l'épicier du coin, mais celles des gros salopards qui nous ont mené à la catastrophe. Si on en pend pas quelques uns, ils recommenceront à la première occasion. Si on sévit très fort, politiciens et banquiers, feront plus attention après sachant que leur tète est en jeux.
Bonne journée a tous.
La classe politique dans son bel ensemble dit : Cantona est fou il pousse au suicide.
Les économistes nous expliquent que le bankrun aura des effets catastrophiques.
Ces mêmes économistes nous expliquent qu'il vaut mieux laisser les banques se casser la gueule toute seule que de les y aider.
Je vois pas la différence, je vois seulement que dans le second cas on crachera au bassinet plus longtemps.
Le système économique mondial est mort cliniquement, qu'on le veuille ou non, il est en réanimation artificielle et ne tient que par la perfusion. Le problème c'est que la perfusion sort de notre poche à vous et moi.
Alors que faire ; soutenir le cadavre en le faisant bouger avec des fils pour se convaincre qu'il vit encore et casquer sans fin, ou le jeter a la poubelle sa vraie place.
Moi je pense qu'il faut s'en débarrasser le plus vite possible, la contamination de l'économie est déjà très avancée, plus on attend et moins il restera d'entreprise sauvable.
Bien sur les banques au tapis ça va pas nous simplifier la vie, il va falloir faire preuve d'imagination. Ceci dit les politiciens cette fois seront bien forcés de bouger leur cul, ça va drôlement les changer. S'ils se contentent de blablater, ils risquent de se retrouver la corde au coup, comme les banquiers qui courent pas assez vite. Parce que la, il faudra pas faire semblant. C'est la révolution, il faut des têtes, pas celle de l'épicier du coin, mais celles des gros salopards qui nous ont mené à la catastrophe. Si on en pend pas quelques uns, ils recommenceront à la première occasion. Si on sévit très fort, politiciens et banquiers, feront plus attention après sachant que leur tète est en jeux.
Bonne journée a tous.
Glass-Steagall
Solidarite & Progres (http://www.solidariteetprogres.org/article6594.html)
C’est l’un des instruments clés du dispositif de Franklin Roosevelt, qui permit de castrer légalement Wall Street et d’ouvrir la voie à une relance massive de l’économie physique américaine. Dès sa victoire présidentielle de novembre 1932, Franklin Roosevelt donna son appui à la Commission bancaire du Sénat pour faire juger Wall Street sur la place publique. En missionnant auprès de la commission le procureur de New-York Ferdinand Pecora, les représentants du peuple disposaient soudain des pouvoirs judiciaires nécessaires à une investigation méticuleuse. Les révélations furent stupéfiantes : les banques new-yorkaises s’étaient infiltrées au plus haut niveau de l’Etat, elles finançaient les régimes fascistes en Europe et leurs pratiques financières avaient délibérément provoqué le krach de 1929 et la misère et la faim qui s’abattaient sur le peuple américain. Ce fut un pari gagnant pour Roosevelt : en faisant connaître la vérité au peuple, il avait désormais la pleine légitimité pour remettre Wall Street à sa place. Promulguée le 16 juin 1933, la loi Glass-Steagall permit de briser les oligopoles bancaires et de dresser un coupe-feu entre activités de banque et spéculation. Elle établit une séparation stricte entre les banques d’affaires et les banques de dépôt.
1945, le Glass-Steagall français
« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine » , le gouvernement provisoire avait les coudées franches pour mettre à bas la « dictature professionnelle » qui avait dominé l’économie, donc la politique française. Le 2 décembre 1945, la loi 45-15 relative à la nationalisation de la Banque de France et des grandes banques et à l’organisation du crédit, venait concrétiser les résolutions prises sous l’occupation par le Conseil national de la Résistance. [*]
Cette loi définit clairement « trois catégories de banques : les banques de dépôt, les banques d’affaires, les banques de crédit à long terme et à moyen terme » ; institue un Conseil national du Crédit, représentatif des forces vives de la nation, aux pouvoirs réglementaires et non simplement consultatifs ; établit un dispositif sérieux de « contrôle des banques d’affaires » en nommant pour chacune d’elles un commissaire du gouvernement, muni de pouvoirs d’investigation et chargé de veiller à la régularité de leurs opérations et à leur conformité avec « l’intérêt national ». Ce Glass-Steagall français est à l’opposé de ce qu’on appelle aujourd’hui « régulation ». Il ne s’agit pas d’une simple surveillance a posteriori des organismes de crédit, comme il est d’usage aujourd’hui, mais d’une réglementation intégrale des activités bancaires afin que l’allocation du crédit privé s’adapte aux lignes fixées par le Plan.
Les pouvoirs magiques du Glass-Steagall
Pris comme une simple mesure technique, séparer les banques ne sert à rien. Si le dispositif créé par la loi du 2 décembre 1945 a pu engendrer les Trente Glorieuses, c’est qu’il a créé les conditions d’un véritable système de crédit productif, implicitement anti-monétariste. En nationalisant la Banque de France, le gouvernement a pu déclencher une politique de crédit public sans précédent, en utilisant pour l’équipement à long terme la capacité du Trésor public de présenter ses effets à l’escompte de la Banque de France à des taux préférentiels. Il s’agit pour le Trésor (au nom du gouvernement), dans le cadre de la planification et d’une politique cohérente de développement du territoire, d’obtenir en création monétaire auprès de la Banque de France, l’équivalent des richesses futures que créera l’utilisation de ce crédit. Pour la première fois dans notre histoire, l’Etat put devancer le développement économique, assurant ainsi un cycle long de croissance physique.
D’ailleurs, nous devons bien avoir conscience que ce mécanisme vertueux ne pouvait avoir lieu que dans le cadre du système de taux de change fixe établi à la conférence de Bretton Woods, en juillet 1944. Des taux de changes flottant au bon gré des spéculateurs ne permettent pas de politique d’investissement à long terme. Le Glass-Steagall global de demain ne peut qu’aller de pair avec un nouveau Bretton Woods protégeant les systèmes de crédit au sein de chaque économie nationale.
L’esbroufe de la banque « universelle »
Aux Etats-Unis, la loi Glass-Steagall fut abrogée en 1999, par l’entremise du secrétaire au Trésor de l’époque Larry Summers (aujourd’hui conseiller économique en chef de Barack Obama), avec les conséquences que l’on connaît. La France, quant à elle, avait déréglementé bien plus tôt. C’est sous l’égide de Jacques Delors, ministre de l’Economie et des Finances de François Mitterrand, que la loi bancaire 84-46 du 24 janvier 1984 (dite de « modernisation » !) abrogea la loi du 2 décembre 1945. Elle fit disparaître la distinction fondamentale des activités bancaires sous un titre unique, les « établissements de crédit » , les libérant ainsi de toute contrainte sur l’origine et l’investissement de leurs ressources. C’est ce qu’ils nomment fièrement « banque universelle » . A la tribune de l’Assemblée nationale, Delors avait prétexté la nécessité de s’adapter à l’environnement international pour justifier la création d’une véritable « communauté bancaire » au nom de « la liberté d’association » (sic) . La séparation « entrave le développement d’une saine concurrence » , disait-il. On a vu le résultat. Aujourd’hui, la banque française est devenue un véritable oligopole contrôlé par les « quatre gros » (ils ont tout avalé) : BNP-Paribas, Société générale, Crédit agricole et Caisse d’épargne-Banque populaire.
Investigation et mise en règlement judiciaire
Le premier scandale de la banque universelle fut probablement l’affaire du Crédit lyonnais. Ses activités financières hasardeuses entre 1988 et 1993 la menèrent à une faillite retentissante qui aurait vu disparaître les dépôts des épargnants si l’Etat n’avait injecté 130 milliards de francs (20 milliards d’euros). L’obsession financière et anti-économique de la banque universelle s’est encore affichée au grand jour depuis deux ans : des dizaines de milliards d’euros d’actifs dépréciés avec la crise des subprimes, le vacillement de la SG après l’affaire Kerviel (5,5 milliards de perte sèche), la très « familiale » Caisse d’épargne qui perd 700 millions sur des paris spéculatifs, etc. Nos prestigieuses banques « universelles » ne doivent leur salut qu’à l’aide accordée en 2008 par l’Elysée, au recyclage des actifs toxiques organisé par la BCE, au contribuable américain (elles ont touché 25 milliards dans le renflouement d’AIG organisé par Goldman Sachs) et à une comptabilité probablement très créative. Aujourd’hui encore, le mystère demeure sur l’état réel de leurs comptes. En février, Société générale a évacué vers une structure de défaisance (fosse septique) près de 45 milliards d’euros de titres toxiques.
Les partisans de la « régulation » n’ont plus le choix. Nous devons mobiliser l’opinion en constituant une commission d’enquête parlementaire sur la crise financière, dotée de pouvoirs judiciaires. L’on pourra réquisitionner temporairement les banques pour aller librement éplucher leurs comptes et leur bilan. Fort des vérités qui auront été dites, il faudra profiter de l’élan pour rétablir un système de crédit productif, seul capable de servir le travail et l’équipement du territoire. Sans cela, les niveaux de vie continueront de baisser, durement et sûrement, et nous n’aurons plus qu’à planter des bananiers sur ce qui a failli être une république.
bertrand(at)solidariteetprogres.org
C’est l’un des instruments clés du dispositif de Franklin Roosevelt, qui permit de castrer légalement Wall Street et d’ouvrir la voie à une relance massive de l’économie physique américaine. Dès sa victoire présidentielle de novembre 1932, Franklin Roosevelt donna son appui à la Commission bancaire du Sénat pour faire juger Wall Street sur la place publique. En missionnant auprès de la commission le procureur de New-York Ferdinand Pecora, les représentants du peuple disposaient soudain des pouvoirs judiciaires nécessaires à une investigation méticuleuse. Les révélations furent stupéfiantes : les banques new-yorkaises s’étaient infiltrées au plus haut niveau de l’Etat, elles finançaient les régimes fascistes en Europe et leurs pratiques financières avaient délibérément provoqué le krach de 1929 et la misère et la faim qui s’abattaient sur le peuple américain. Ce fut un pari gagnant pour Roosevelt : en faisant connaître la vérité au peuple, il avait désormais la pleine légitimité pour remettre Wall Street à sa place. Promulguée le 16 juin 1933, la loi Glass-Steagall permit de briser les oligopoles bancaires et de dresser un coupe-feu entre activités de banque et spéculation. Elle établit une séparation stricte entre les banques d’affaires et les banques de dépôt.
1945, le Glass-Steagall français
« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine » , le gouvernement provisoire avait les coudées franches pour mettre à bas la « dictature professionnelle » qui avait dominé l’économie, donc la politique française. Le 2 décembre 1945, la loi 45-15 relative à la nationalisation de la Banque de France et des grandes banques et à l’organisation du crédit, venait concrétiser les résolutions prises sous l’occupation par le Conseil national de la Résistance. [*]
Cette loi définit clairement « trois catégories de banques : les banques de dépôt, les banques d’affaires, les banques de crédit à long terme et à moyen terme » ; institue un Conseil national du Crédit, représentatif des forces vives de la nation, aux pouvoirs réglementaires et non simplement consultatifs ; établit un dispositif sérieux de « contrôle des banques d’affaires » en nommant pour chacune d’elles un commissaire du gouvernement, muni de pouvoirs d’investigation et chargé de veiller à la régularité de leurs opérations et à leur conformité avec « l’intérêt national ». Ce Glass-Steagall français est à l’opposé de ce qu’on appelle aujourd’hui « régulation ». Il ne s’agit pas d’une simple surveillance a posteriori des organismes de crédit, comme il est d’usage aujourd’hui, mais d’une réglementation intégrale des activités bancaires afin que l’allocation du crédit privé s’adapte aux lignes fixées par le Plan.
Les pouvoirs magiques du Glass-Steagall
Pris comme une simple mesure technique, séparer les banques ne sert à rien. Si le dispositif créé par la loi du 2 décembre 1945 a pu engendrer les Trente Glorieuses, c’est qu’il a créé les conditions d’un véritable système de crédit productif, implicitement anti-monétariste. En nationalisant la Banque de France, le gouvernement a pu déclencher une politique de crédit public sans précédent, en utilisant pour l’équipement à long terme la capacité du Trésor public de présenter ses effets à l’escompte de la Banque de France à des taux préférentiels. Il s’agit pour le Trésor (au nom du gouvernement), dans le cadre de la planification et d’une politique cohérente de développement du territoire, d’obtenir en création monétaire auprès de la Banque de France, l’équivalent des richesses futures que créera l’utilisation de ce crédit. Pour la première fois dans notre histoire, l’Etat put devancer le développement économique, assurant ainsi un cycle long de croissance physique.
D’ailleurs, nous devons bien avoir conscience que ce mécanisme vertueux ne pouvait avoir lieu que dans le cadre du système de taux de change fixe établi à la conférence de Bretton Woods, en juillet 1944. Des taux de changes flottant au bon gré des spéculateurs ne permettent pas de politique d’investissement à long terme. Le Glass-Steagall global de demain ne peut qu’aller de pair avec un nouveau Bretton Woods protégeant les systèmes de crédit au sein de chaque économie nationale.
L’esbroufe de la banque « universelle »
Aux Etats-Unis, la loi Glass-Steagall fut abrogée en 1999, par l’entremise du secrétaire au Trésor de l’époque Larry Summers (aujourd’hui conseiller économique en chef de Barack Obama), avec les conséquences que l’on connaît. La France, quant à elle, avait déréglementé bien plus tôt. C’est sous l’égide de Jacques Delors, ministre de l’Economie et des Finances de François Mitterrand, que la loi bancaire 84-46 du 24 janvier 1984 (dite de « modernisation » !) abrogea la loi du 2 décembre 1945. Elle fit disparaître la distinction fondamentale des activités bancaires sous un titre unique, les « établissements de crédit » , les libérant ainsi de toute contrainte sur l’origine et l’investissement de leurs ressources. C’est ce qu’ils nomment fièrement « banque universelle » . A la tribune de l’Assemblée nationale, Delors avait prétexté la nécessité de s’adapter à l’environnement international pour justifier la création d’une véritable « communauté bancaire » au nom de « la liberté d’association » (sic) . La séparation « entrave le développement d’une saine concurrence » , disait-il. On a vu le résultat. Aujourd’hui, la banque française est devenue un véritable oligopole contrôlé par les « quatre gros » (ils ont tout avalé) : BNP-Paribas, Société générale, Crédit agricole et Caisse d’épargne-Banque populaire.
Investigation et mise en règlement judiciaire
Le premier scandale de la banque universelle fut probablement l’affaire du Crédit lyonnais. Ses activités financières hasardeuses entre 1988 et 1993 la menèrent à une faillite retentissante qui aurait vu disparaître les dépôts des épargnants si l’Etat n’avait injecté 130 milliards de francs (20 milliards d’euros). L’obsession financière et anti-économique de la banque universelle s’est encore affichée au grand jour depuis deux ans : des dizaines de milliards d’euros d’actifs dépréciés avec la crise des subprimes, le vacillement de la SG après l’affaire Kerviel (5,5 milliards de perte sèche), la très « familiale » Caisse d’épargne qui perd 700 millions sur des paris spéculatifs, etc. Nos prestigieuses banques « universelles » ne doivent leur salut qu’à l’aide accordée en 2008 par l’Elysée, au recyclage des actifs toxiques organisé par la BCE, au contribuable américain (elles ont touché 25 milliards dans le renflouement d’AIG organisé par Goldman Sachs) et à une comptabilité probablement très créative. Aujourd’hui encore, le mystère demeure sur l’état réel de leurs comptes. En février, Société générale a évacué vers une structure de défaisance (fosse septique) près de 45 milliards d’euros de titres toxiques.
Les partisans de la « régulation » n’ont plus le choix. Nous devons mobiliser l’opinion en constituant une commission d’enquête parlementaire sur la crise financière, dotée de pouvoirs judiciaires. L’on pourra réquisitionner temporairement les banques pour aller librement éplucher leurs comptes et leur bilan. Fort des vérités qui auront été dites, il faudra profiter de l’élan pour rétablir un système de crédit productif, seul capable de servir le travail et l’équipement du territoire. Sans cela, les niveaux de vie continueront de baisser, durement et sûrement, et nous n’aurons plus qu’à planter des bananiers sur ce qui a failli être une république.
bertrand(at)solidariteetprogres.org
Islande
Si cet article est fondé ???
Pourquoi les autres pays européens ne suivent-ils pas cet exemple.
Mediapart (http://www.mediapart.fr)
Le Président Islandais : « On a laissé les banques tomber et on ne s’en porte que mieux »
03 Décembre 2010 Par Jean REX
Le président islandais : « on a laissé les banques tomber et on ne s’en porte que mieux »
2 décembre 2010 - 16:00
2 décembre 2010 (Nouvelle Solidarité) – Alors que le peuple irlandais est aux prises avec le monstre financier qui menace de le dévorer, le président d’Islande, pays qui a lui aussi dû faire face à l’effondrement de son système bancaire, a déclaré qu’il valait mieux laisser les banques faire faillite pour préserver l’intérêt général. Pour l’instant, les dirigeants européens persistent à croire que pour rétablir l’économie, on ne peut pas se débarrasser des banques parasites, à l’opposé de la seule alternative qui nous reste : établir un Glass-Steagall global pour liquider les activités spéculatives et rétablir un système de crédit pour alimenter l’économie réelle.
Dans une interview avec l’agence d’information financière Bloomberg, Olafur Grimsson a dit : « La différence [avec l’Irlande] c’est qu’en Islande nous avons permis aux banques de faire faillite. C’étaient des banques privées et on n’y a pas injecté d’argent pour les maintenir ; l’Etat n’a pas porté la responsabilité de la faillite des banques privées. »
Début 2010, lorsque le gouvernement islandais a négocié avec les intérêts financiers un renflouement draconien qui fut ensuite approuvé par le Parlement, le Président Grimsson décida de soumettre cette décision à un référendum. Le peuple rejeta unanimement (93%) le plan de renflouement.
« L’Islande se porte bien mieux qu’attendu », a déclaré Grimsson. « Peut-on demander aux gens ordinaires – les agriculteurs et les pêcheurs, les enseignants, les docteurs et les infirmières – d’assumer la responsabilité de la faillite des banques privées ? Cette question, qui fut au cœur du débat dans le cas de la banque islandaise Icesave, va être la question brûlante dans de nombreux pays européens. »
En Islande, les activités en faillite furent séparées du reste des banques, ce qui permet aujourd’hui d’avoir un système bancaire au service de l’économie nationale.
Pourquoi les autres pays européens ne suivent-ils pas cet exemple.
Mediapart (http://www.mediapart.fr)
Le Président Islandais : « On a laissé les banques tomber et on ne s’en porte que mieux »
03 Décembre 2010 Par Jean REX
Le président islandais : « on a laissé les banques tomber et on ne s’en porte que mieux »
2 décembre 2010 - 16:00
2 décembre 2010 (Nouvelle Solidarité) – Alors que le peuple irlandais est aux prises avec le monstre financier qui menace de le dévorer, le président d’Islande, pays qui a lui aussi dû faire face à l’effondrement de son système bancaire, a déclaré qu’il valait mieux laisser les banques faire faillite pour préserver l’intérêt général. Pour l’instant, les dirigeants européens persistent à croire que pour rétablir l’économie, on ne peut pas se débarrasser des banques parasites, à l’opposé de la seule alternative qui nous reste : établir un Glass-Steagall global pour liquider les activités spéculatives et rétablir un système de crédit pour alimenter l’économie réelle.
Dans une interview avec l’agence d’information financière Bloomberg, Olafur Grimsson a dit : « La différence [avec l’Irlande] c’est qu’en Islande nous avons permis aux banques de faire faillite. C’étaient des banques privées et on n’y a pas injecté d’argent pour les maintenir ; l’Etat n’a pas porté la responsabilité de la faillite des banques privées. »
Début 2010, lorsque le gouvernement islandais a négocié avec les intérêts financiers un renflouement draconien qui fut ensuite approuvé par le Parlement, le Président Grimsson décida de soumettre cette décision à un référendum. Le peuple rejeta unanimement (93%) le plan de renflouement.
« L’Islande se porte bien mieux qu’attendu », a déclaré Grimsson. « Peut-on demander aux gens ordinaires – les agriculteurs et les pêcheurs, les enseignants, les docteurs et les infirmières – d’assumer la responsabilité de la faillite des banques privées ? Cette question, qui fut au cœur du débat dans le cas de la banque islandaise Icesave, va être la question brûlante dans de nombreux pays européens. »
En Islande, les activités en faillite furent séparées du reste des banques, ce qui permet aujourd’hui d’avoir un système bancaire au service de l’économie nationale.
lundi 6 décembre 2010
Medias nationaux
Propos sur nos médias hexagonaux.
Le tamtam décerne des bons points, à qui répète après lui bien sagement, ses idioties.
En revanche, il voue aux gémonies quiconque s'écarte de la ligne.
C'est le néo-stalinisme, la pensée unique, pensée est un grand mot, bruit monotone me semble plus correcte.
Les tours jumelles sont un bon exemple, seuls sont habilités à s'étendre sur le sujet, les tenants de la version officielle. Si par malheur vous sortez de la ligne, gare aux foudres des soit disant journalistes, vous devenez immédiatement ; complotiste, révisionniste, etc, donc antisémite.
Antisémite, c'est le crime par excellence. Vous êtes immédiatement bourreau de 6 million de gens dans les camps nazis, bon pour le tribunal de Nuremberg, n'argumentez pas, ne dites pas je suis né après la guerre, c'est un sophisme, si vous étiez né à temps vous seriez au rang des condamnés.
On l'a vu avec Dieudonné qui a été fustigé, par des hordes d'ayant droit de tuer du palestinien.
Parce que la morale chez nous n'est pas la vie ou la mort des gens, ça basiquement tout le monde s'en fout. Ce qui compte c'est la vie de qui, la mort de qui ???
Prenons un juge français dans l'exercice de ses fonctions, condamnant un assassin.
Dupont qui a tué Ahmed, la sentence est vingt ans non compressible, réclamé par bhl et autre grand magasin de la morale toute prête.
Si c'est Ahmed qui a tué Dupont la sentence est douze ans compressible, parce que sous entendu Dupont était raciste.
L'antisémitisme c'est la même chose, si un palestinien tue un juif, il est antisémite donc criminel, si c'est un juif qui tue un palestinien comme c'est à la mode, tout le monde regarde ailleurs.
Pas un seul « père la morale » pour rappeler que les palestiniens sont des sémites, ce qui fait des juifs les principaux antisémites de la planète.
Mon propos est pas de trouver bien ou mal, tel ou tel meurtre.
Mon propos est de dire ; Si il y a une morale, elle a obligation d'être universelle, de s'appliquer à tous sans aucune exception et de la même façon dans tous les cas. Et pas « selon que vous serez puissants ou misérable etc.... »
Il faut dire que notre tamtam a peu de références à Jean de Lafontaine, il regarde vers les philosophes modernes surtout ceux qui se trompent jamais. Je vais pas les citer pour pas passer pour antisémite, mais vous pouvez facilement deviner de qui il s'agit, des gens qui soutiennent la licra le mrap et plein d'associations au but avoué de faire taire tout le monde. But parfaitement atteint en ce qui concerne notre tamtam national.
A force de promouvoir deux poids deux mesures, on franchi un cap, aujourd'hui plein de sites pas seulement arabes, disent les juifs ceci, les juifs cela. Il reste bien des associations pour essayer de faire scandale, sans grand succès, sans éveiller l'intérêt des masses. On nous l'a trop entendu, ce n'est plus qu'un ronron comme un vieux moteur.
Le tamtam décerne des bons points, à qui répète après lui bien sagement, ses idioties.
En revanche, il voue aux gémonies quiconque s'écarte de la ligne.
C'est le néo-stalinisme, la pensée unique, pensée est un grand mot, bruit monotone me semble plus correcte.
Les tours jumelles sont un bon exemple, seuls sont habilités à s'étendre sur le sujet, les tenants de la version officielle. Si par malheur vous sortez de la ligne, gare aux foudres des soit disant journalistes, vous devenez immédiatement ; complotiste, révisionniste, etc, donc antisémite.
Antisémite, c'est le crime par excellence. Vous êtes immédiatement bourreau de 6 million de gens dans les camps nazis, bon pour le tribunal de Nuremberg, n'argumentez pas, ne dites pas je suis né après la guerre, c'est un sophisme, si vous étiez né à temps vous seriez au rang des condamnés.
On l'a vu avec Dieudonné qui a été fustigé, par des hordes d'ayant droit de tuer du palestinien.
Parce que la morale chez nous n'est pas la vie ou la mort des gens, ça basiquement tout le monde s'en fout. Ce qui compte c'est la vie de qui, la mort de qui ???
Prenons un juge français dans l'exercice de ses fonctions, condamnant un assassin.
Dupont qui a tué Ahmed, la sentence est vingt ans non compressible, réclamé par bhl et autre grand magasin de la morale toute prête.
Si c'est Ahmed qui a tué Dupont la sentence est douze ans compressible, parce que sous entendu Dupont était raciste.
L'antisémitisme c'est la même chose, si un palestinien tue un juif, il est antisémite donc criminel, si c'est un juif qui tue un palestinien comme c'est à la mode, tout le monde regarde ailleurs.
Pas un seul « père la morale » pour rappeler que les palestiniens sont des sémites, ce qui fait des juifs les principaux antisémites de la planète.
Mon propos est pas de trouver bien ou mal, tel ou tel meurtre.
Mon propos est de dire ; Si il y a une morale, elle a obligation d'être universelle, de s'appliquer à tous sans aucune exception et de la même façon dans tous les cas. Et pas « selon que vous serez puissants ou misérable etc.... »
Il faut dire que notre tamtam a peu de références à Jean de Lafontaine, il regarde vers les philosophes modernes surtout ceux qui se trompent jamais. Je vais pas les citer pour pas passer pour antisémite, mais vous pouvez facilement deviner de qui il s'agit, des gens qui soutiennent la licra le mrap et plein d'associations au but avoué de faire taire tout le monde. But parfaitement atteint en ce qui concerne notre tamtam national.
A force de promouvoir deux poids deux mesures, on franchi un cap, aujourd'hui plein de sites pas seulement arabes, disent les juifs ceci, les juifs cela. Il reste bien des associations pour essayer de faire scandale, sans grand succès, sans éveiller l'intérêt des masses. On nous l'a trop entendu, ce n'est plus qu'un ronron comme un vieux moteur.
samedi 27 novembre 2010
Crise encore et toujours
Après la Grèce l'Irlande, tout va, tout va bien madame l'union européenne.
On sait que le Portugal pédale pour y arriver et l'Espagne risque fort de s'échapper du peloton.
Les médias français, cet inutile tamtam, font l'impasse sur les autres coureurs.
La France est dans le peloton, l'Angleterre légèrement devant.
-------------WASHINGTON, 23 novembre (Reuters) - Les économies européennes les plus fragiles telles que l'Irlande et le Portugal devront sans doute quitter la zone euro mais pas avant d'avoir restructuré leur dette, a déclaré mardi l'économiste Nouriel Roubini.
"Cela a commencé avec de la dette privée, on l'a socialisée et c'est devenu de la dette publique. A présent, des pays souverains sont en difficultés et doivent être renfloués, essentiellement par des 'super-souverains', le FMI, la zone euro, l'Union européenne", a-t-il dit à Reuters Insiders.
"Mais personne ne va venir de mars ou de la lune pour renflouer le FMI ou la zone euro."
Professeur d'économie à l'Université de New York, Nouriel Roubini a accédé à la notoriété en prédisant, avec quelques autres, l'éclatement de la crise du crédit avant 2007.
Interrogé sur la pertinence de l'hypothèse d'un éclatement de la zone euro, il a répondu: "En fin de compte, c'est probable."
Selon lui, ce processus ne se fera pas sans douleurs. "Le risque, c'est que l'on commence avec un et ensuite tout s'effiloche", a-t-il dit.
(Pedro Nicolaci da Costa, Nicolas Delame pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)--------------
Qui sauvera ses billes dans le naufrages du capitalisme ?????????
Les Us pas sur, eux aussi sont dedans jusqu'au cou.
Les conséquences pour nous sont logiquement la fin de la zone euro, effondrement des monnaies de la dite zone, plus les dettes, un beau merdier en perspective.
Les Us même s'ils survivent à force de contorsion, perdent du même coup leur allié et client l'Europe.
Il leur restera le clientélisme émergeant, sur lequel ils seront en concurrence avec les chinois, inutile de dire qu'il va leur falloir de l'imagination.
Au regard de l'histoire tous les empires se sont effondres de leur seul fait. Mais ce coup ci, ça surpasse tout ce qu'on a pu observer dans le passé. Les Us se prenant pour des géants, ont réussi a n'être que des nains ridicules.
Le capitalisme, système des tripatouilleurs de tous poils phare de la pensée occidentale, aura réussi le plus joli suicide de l'histoire de l'humanité.
Ces cons de banquiers et leur larbins politiques, ont offert a la Chine qui leur rapporte pas un sous, le leadership de l'économie planétaire.
Ça aura quelques conséquences les sionistes grands patrons de la finance vont l'avoir dans le baba, ça permettra aux palestiniens de souffler. Chez nous les grands bavards des droits de l'homme et autres associations bien "pensantes" vont devoir fermer leur gueule. Ça nous rendra pas plus malins mais ça fera moins de bruit, c'est toujours ça de gagné.
En projetant sur les 2 ou 3 décennies à venir, l'Europe retourne aux états, avec des économies en ruine, à l'exception peut être de l'Allemagne. On revient aux frontières et recadre chaque économie dans celles-ci, pas simple. On pourra alors chiffrer ce que nous aura couté à nous citoyens, l'aventure européenne. Avec la certitude de jamais plus y retourner, nous devenons des micros pays à la merci de l'incontournable géant chinois. Anglais et français ont pas fini de regretter l'affaire de Shanghai au début du 20º siècle.
Tout ça parce que au lieu de pendre ces putains de banquiers on a singé les yankees. Bien sur au pays des droits de l'homme une dizaine de banquier se balançant aux réverbères, ça aurait pas fait joli au jt.
La retraite même à 70 ans faut plus y compter, y aura pas un rond dans les caisses avant longtemps, pour payer quoi que ce soit. Vu l'état de notre appareil industriel, pas de boulot pour les jeunes, les vieux, les autres.
Pour boucher le trou, on va nous demander de mettre la main a la poche, tous les jours, a tous les coins de rue.
On se prépare de belles années, je suis bien tranquille mes chers compatriotes que vous irez voter pour que ça change dès les prochaines élections. Je peux dores et déjà, vous informer que gauche ou droite, vous passerez à la casserole et ce sera chaud bouillant. La dette nationale est loin d'être une blague et il est pas certain que les chiffres qui se murmurent, soit les bons.
Il est grand temps de se trouver une occupation lucrative, s'il en existe encore, ou de foutre cette saloperie de république par terre. On peut pour ce faire utiliser le système Cantona pour éviter le bain de sang.
Derniers potins de la commère, après quelques jours tous les commentateurs semblent d'accord pour mettre l'Euro dans la case souvenirs.
Grande nouvelle la "France tout va bien" emprunte pour payer ses fonctionnaires, pour un pays en plein retour a la croissance on fait pas mieux.
Je crois qu'il va falloir ajouter des trous à nos ceintures.
PS: Juste un mot sur le prix du m2 a Paris, 7000€. Pour ceux qui ont quelques notions d'histoire, ça a un petit gout de l'Allemagne années 30. A quand la baguette de pain a 1000€.
Les riches se debarassent de leur monnaie de singe, ils achetent de la pierre, des metaux precieux et des matieres premieres, a n'importe quel prix, c'est pas bon signe.
On sait que le Portugal pédale pour y arriver et l'Espagne risque fort de s'échapper du peloton.
Les médias français, cet inutile tamtam, font l'impasse sur les autres coureurs.
La France est dans le peloton, l'Angleterre légèrement devant.
-------------WASHINGTON, 23 novembre (Reuters) - Les économies européennes les plus fragiles telles que l'Irlande et le Portugal devront sans doute quitter la zone euro mais pas avant d'avoir restructuré leur dette, a déclaré mardi l'économiste Nouriel Roubini.
"Cela a commencé avec de la dette privée, on l'a socialisée et c'est devenu de la dette publique. A présent, des pays souverains sont en difficultés et doivent être renfloués, essentiellement par des 'super-souverains', le FMI, la zone euro, l'Union européenne", a-t-il dit à Reuters Insiders.
"Mais personne ne va venir de mars ou de la lune pour renflouer le FMI ou la zone euro."
Professeur d'économie à l'Université de New York, Nouriel Roubini a accédé à la notoriété en prédisant, avec quelques autres, l'éclatement de la crise du crédit avant 2007.
Interrogé sur la pertinence de l'hypothèse d'un éclatement de la zone euro, il a répondu: "En fin de compte, c'est probable."
Selon lui, ce processus ne se fera pas sans douleurs. "Le risque, c'est que l'on commence avec un et ensuite tout s'effiloche", a-t-il dit.
(Pedro Nicolaci da Costa, Nicolas Delame pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)--------------
Qui sauvera ses billes dans le naufrages du capitalisme ?????????
Les Us pas sur, eux aussi sont dedans jusqu'au cou.
Les conséquences pour nous sont logiquement la fin de la zone euro, effondrement des monnaies de la dite zone, plus les dettes, un beau merdier en perspective.
Les Us même s'ils survivent à force de contorsion, perdent du même coup leur allié et client l'Europe.
Il leur restera le clientélisme émergeant, sur lequel ils seront en concurrence avec les chinois, inutile de dire qu'il va leur falloir de l'imagination.
Au regard de l'histoire tous les empires se sont effondres de leur seul fait. Mais ce coup ci, ça surpasse tout ce qu'on a pu observer dans le passé. Les Us se prenant pour des géants, ont réussi a n'être que des nains ridicules.
Le capitalisme, système des tripatouilleurs de tous poils phare de la pensée occidentale, aura réussi le plus joli suicide de l'histoire de l'humanité.
Ces cons de banquiers et leur larbins politiques, ont offert a la Chine qui leur rapporte pas un sous, le leadership de l'économie planétaire.
Ça aura quelques conséquences les sionistes grands patrons de la finance vont l'avoir dans le baba, ça permettra aux palestiniens de souffler. Chez nous les grands bavards des droits de l'homme et autres associations bien "pensantes" vont devoir fermer leur gueule. Ça nous rendra pas plus malins mais ça fera moins de bruit, c'est toujours ça de gagné.
En projetant sur les 2 ou 3 décennies à venir, l'Europe retourne aux états, avec des économies en ruine, à l'exception peut être de l'Allemagne. On revient aux frontières et recadre chaque économie dans celles-ci, pas simple. On pourra alors chiffrer ce que nous aura couté à nous citoyens, l'aventure européenne. Avec la certitude de jamais plus y retourner, nous devenons des micros pays à la merci de l'incontournable géant chinois. Anglais et français ont pas fini de regretter l'affaire de Shanghai au début du 20º siècle.
Tout ça parce que au lieu de pendre ces putains de banquiers on a singé les yankees. Bien sur au pays des droits de l'homme une dizaine de banquier se balançant aux réverbères, ça aurait pas fait joli au jt.
La retraite même à 70 ans faut plus y compter, y aura pas un rond dans les caisses avant longtemps, pour payer quoi que ce soit. Vu l'état de notre appareil industriel, pas de boulot pour les jeunes, les vieux, les autres.
Pour boucher le trou, on va nous demander de mettre la main a la poche, tous les jours, a tous les coins de rue.
On se prépare de belles années, je suis bien tranquille mes chers compatriotes que vous irez voter pour que ça change dès les prochaines élections. Je peux dores et déjà, vous informer que gauche ou droite, vous passerez à la casserole et ce sera chaud bouillant. La dette nationale est loin d'être une blague et il est pas certain que les chiffres qui se murmurent, soit les bons.
Il est grand temps de se trouver une occupation lucrative, s'il en existe encore, ou de foutre cette saloperie de république par terre. On peut pour ce faire utiliser le système Cantona pour éviter le bain de sang.
Derniers potins de la commère, après quelques jours tous les commentateurs semblent d'accord pour mettre l'Euro dans la case souvenirs.
Grande nouvelle la "France tout va bien" emprunte pour payer ses fonctionnaires, pour un pays en plein retour a la croissance on fait pas mieux.
Je crois qu'il va falloir ajouter des trous à nos ceintures.
PS: Juste un mot sur le prix du m2 a Paris, 7000€. Pour ceux qui ont quelques notions d'histoire, ça a un petit gout de l'Allemagne années 30. A quand la baguette de pain a 1000€.
Les riches se debarassent de leur monnaie de singe, ils achetent de la pierre, des metaux precieux et des matieres premieres, a n'importe quel prix, c'est pas bon signe.
samedi 23 octobre 2010
Democratie ou Dictaure
Sur internet on peut trouver de saines lectures.
On y lit fréquemment que nous avons cessé d'être en démocratie.
On y explique que « patriot act » ou pas, nous élisons nos tyrans.
Nos tyrans, de petits ploutocrates au service de plus grands qu'eux.
La réflexion sur ces sites porte sur : Comment changer cet état de chose.
Nous savons qu'affronter le système est voué à l'échec, il est trop bien protégé.
Soljenitsyne disait quelque chose comme : Ne craignez pas le système, ignorez le.
Cela a contribué à l'effondrement d'une dictature autrement solide que la notre.
Ignorer le système qu'est-ce a dire ?
Ne le votons pas, ne l'écoutons pas, ne le regardons pas, ne le craignons pas.
Où l'écoute-on ? La réponse vient toute seule à la télé, ou le lit on ? Dans la presse dite d'information.
Imaginez la gueule de la junte au pouvoir, si demain elle apprend que tous les citoyens ont jeté leur télé à la décharge. Et bien c'est ça la solution. Afficher clairement que nous ne nous laisserons plus manipuler « big brother go home ».
Digression.
Pourquoi votez vous ???
Parce que vous pensez que c'est votre devoir et qu'en l'accomplissant vous allez changer le désordre des choses.
Les médias du pouvoir nous font croire au bi partisme, de ce fait nous pensons que ce qu'une majorité a raté l'autre peut le réussir. C'est la que nous sommes totalement aliénés.
Aucun des deux groupes se partageant le pouvoir n'a l'intention de faire quoi que ce soit pour vous et moi. Pour s'en convaincre juste un petit un retour de quelques décennies.
Quand giscard a ravi le pouvoir, on nous a bassiné avec le chaumage. Ça a été le grand sujet de la campagne miteux, ça a encore servi pour chirac. Aujourd'hui qui se soucie du chaumage, lequel, regardez bien les chiffres n'a fait qu'augmenter depuis 1974. Cqfd a aucun moment depuis 36 ans, gauche droite réunie (GDR), a solutionné le chaumage. Il en va de même pour n'importe quel sujet, les seuls améliorations des gouvernements (GDR) portent sur leurs salaires, sur l'isf et autres combines qui ne nous concernent pas.
Pourtant la grande majorité de nos compatriotes continue à croire, qu'en votant pour l'opposition ça va changer. Or cette croyance est entretenue par les médias. Ce sont eux qui nous mènent par le bout du nez jusqu'aux urnes.
Si, comme moi, vous voulez un retour à la démocratie, vous devez cesser certaines pratiques. Comme pour cesser de fumer il faut changer de comportement, c'est pas de tout repos, mais on se sent si bien après.
Virer la télé, ça c'est incontournable, ça n'a que des aspects positifs.
Cessez d'acheter le journal, aucune raison de nourrir les larbins du pouvoir.
Coupé des médias officiels on a toute l'info désirée sur internet. Vous verrez en quelques mois on affronte la réalité avec les yeux grands ouverts, plus comme un télémaniac.
Lâcher votre partit politique inutile de le nourrir, souvenez vous des ténors de gauche courant se jeter dans le gouvernement de droite, si avec ça vous n'avez pas pigé, il vous reste que le gaz.
Ploutocrates, petits ou grands se soutiennent, les petits au pouvoir les grands derrière, banques, mafias financières, etc. La télé leur sert à manipuler l'electeur consommateur tout en blanchissant de l'argent. Blanchir de l'argent ??? Oui le principe étant de faire tourner l'argent pour que chacun en récupère un peu au passage, les miettes pour le fisc. Si par la fautes des petits ploutocrates, vous cessez de justifier le tourniquet à fric (la pub), les gros ploutocrates cesseront de soutenir les petits. Coupés de la base et de leurs appuis financiers, on en sera vite débarrassé.
Regardez avec attention un journal télé notez sur une feuille les sujets traités, si vous avez de la mémoire souvenez vous des images. Trois mois après faites exactement le même travail. Si après vous n'êtes pas convaincu qu'on vous vent toujours la même salade, alors adhérez au premier partit politique que vous rencontrerez, vous êtes mur.
Le rôle de la télé est de ; distraire, faire peur, générer de faux espoirs, vendre.
Distraire ; Tout sujet est traité de la même façon, le présentateur en plein écran et le reporter en fenêtre, derrière le second des images incompréhensibles et son commentaire. On fait le tour du monde évènementiel comme ça, on a rien vu, juste entendu un vague résumé d'un éventuel fait. C'est ça qu'on prend pour de l'information, attention c'est très bien fait, il faut être très attentif s'en apercevoir.
Apeurer ; Drame quotidien, fait divers sanglant doit être au programme, avec de la chance grosse catastrophe, corps déchiquetés, cadavres d'enfants etc...là les images sont claires pas de reporter devant, on voit parfaitement.
Espoirs ; Intellectuel expliquant les biens faits du progrès et proposant des solutions pour ses nuisances. Politologue distingué donnant la clé d'un futur toujours plus serein. Vous compléterez la liste, enfin le sport donc tout va très bien madame la marquise.
Vendre ; Vous faire acheter de la lessive et autres trucs inutiles. Les boites qui s'annoncent sur la télé sont d'énormes groupes procter unilever et d'autres. Ces groupes sont acteurs des mafias financières, en y touchant on touche directement au cœur de la machine à fric.
Si vous avez le courage de plus regarder la boite, vous deviendrez en quelques mois un citoyen adulte pensant par lui même, les diables médiatiques Chavez Amadinhedja Ben Laden, vous feront bien rire.
le pouvoir s’exerce dans les esprits plus que par la force. Pour gouverner les masses, une élite doit d’abord leur inculquer une idéologie qui programme leur acceptation du pouvoir qui les domine.
A vous de choisir entre la dictature actuelle ou une autre voie.
Dictature, Non pas chez nous dites vous !!!
Sortez dans la rue et regardez bien, les interdits en panneaux, en textes, en couleur, les flics partout, toujours avec de bonnes raisons, armés jusqu'au dents. Pour vous protéger ? (Demandez leur un renseignement et vous verrez s'ils sont la pour vous protéger). Ils sont la pour vous dissuader d'attaquer le système.
Si ça c'est pas de la dictature, qu'est-ce qu'il vous faut.
Trois sites que je visite régulièrement et recommande à votre attention.
http://www.scriptoblog.com
http://www.voltairenet.org/
http://www.reopen911.info/
Vous trouverez de nombreux liens sur chacun d'eux.
On y lit fréquemment que nous avons cessé d'être en démocratie.
On y explique que « patriot act » ou pas, nous élisons nos tyrans.
Nos tyrans, de petits ploutocrates au service de plus grands qu'eux.
La réflexion sur ces sites porte sur : Comment changer cet état de chose.
Nous savons qu'affronter le système est voué à l'échec, il est trop bien protégé.
Soljenitsyne disait quelque chose comme : Ne craignez pas le système, ignorez le.
Cela a contribué à l'effondrement d'une dictature autrement solide que la notre.
Ignorer le système qu'est-ce a dire ?
Ne le votons pas, ne l'écoutons pas, ne le regardons pas, ne le craignons pas.
Où l'écoute-on ? La réponse vient toute seule à la télé, ou le lit on ? Dans la presse dite d'information.
Imaginez la gueule de la junte au pouvoir, si demain elle apprend que tous les citoyens ont jeté leur télé à la décharge. Et bien c'est ça la solution. Afficher clairement que nous ne nous laisserons plus manipuler « big brother go home ».
Digression.
Pourquoi votez vous ???
Parce que vous pensez que c'est votre devoir et qu'en l'accomplissant vous allez changer le désordre des choses.
Les médias du pouvoir nous font croire au bi partisme, de ce fait nous pensons que ce qu'une majorité a raté l'autre peut le réussir. C'est la que nous sommes totalement aliénés.
Aucun des deux groupes se partageant le pouvoir n'a l'intention de faire quoi que ce soit pour vous et moi. Pour s'en convaincre juste un petit un retour de quelques décennies.
Quand giscard a ravi le pouvoir, on nous a bassiné avec le chaumage. Ça a été le grand sujet de la campagne miteux, ça a encore servi pour chirac. Aujourd'hui qui se soucie du chaumage, lequel, regardez bien les chiffres n'a fait qu'augmenter depuis 1974. Cqfd a aucun moment depuis 36 ans, gauche droite réunie (GDR), a solutionné le chaumage. Il en va de même pour n'importe quel sujet, les seuls améliorations des gouvernements (GDR) portent sur leurs salaires, sur l'isf et autres combines qui ne nous concernent pas.
Pourtant la grande majorité de nos compatriotes continue à croire, qu'en votant pour l'opposition ça va changer. Or cette croyance est entretenue par les médias. Ce sont eux qui nous mènent par le bout du nez jusqu'aux urnes.
Si, comme moi, vous voulez un retour à la démocratie, vous devez cesser certaines pratiques. Comme pour cesser de fumer il faut changer de comportement, c'est pas de tout repos, mais on se sent si bien après.
Virer la télé, ça c'est incontournable, ça n'a que des aspects positifs.
Cessez d'acheter le journal, aucune raison de nourrir les larbins du pouvoir.
Coupé des médias officiels on a toute l'info désirée sur internet. Vous verrez en quelques mois on affronte la réalité avec les yeux grands ouverts, plus comme un télémaniac.
Lâcher votre partit politique inutile de le nourrir, souvenez vous des ténors de gauche courant se jeter dans le gouvernement de droite, si avec ça vous n'avez pas pigé, il vous reste que le gaz.
Ploutocrates, petits ou grands se soutiennent, les petits au pouvoir les grands derrière, banques, mafias financières, etc. La télé leur sert à manipuler l'electeur consommateur tout en blanchissant de l'argent. Blanchir de l'argent ??? Oui le principe étant de faire tourner l'argent pour que chacun en récupère un peu au passage, les miettes pour le fisc. Si par la fautes des petits ploutocrates, vous cessez de justifier le tourniquet à fric (la pub), les gros ploutocrates cesseront de soutenir les petits. Coupés de la base et de leurs appuis financiers, on en sera vite débarrassé.
Regardez avec attention un journal télé notez sur une feuille les sujets traités, si vous avez de la mémoire souvenez vous des images. Trois mois après faites exactement le même travail. Si après vous n'êtes pas convaincu qu'on vous vent toujours la même salade, alors adhérez au premier partit politique que vous rencontrerez, vous êtes mur.
Le rôle de la télé est de ; distraire, faire peur, générer de faux espoirs, vendre.
Distraire ; Tout sujet est traité de la même façon, le présentateur en plein écran et le reporter en fenêtre, derrière le second des images incompréhensibles et son commentaire. On fait le tour du monde évènementiel comme ça, on a rien vu, juste entendu un vague résumé d'un éventuel fait. C'est ça qu'on prend pour de l'information, attention c'est très bien fait, il faut être très attentif s'en apercevoir.
Apeurer ; Drame quotidien, fait divers sanglant doit être au programme, avec de la chance grosse catastrophe, corps déchiquetés, cadavres d'enfants etc...là les images sont claires pas de reporter devant, on voit parfaitement.
Espoirs ; Intellectuel expliquant les biens faits du progrès et proposant des solutions pour ses nuisances. Politologue distingué donnant la clé d'un futur toujours plus serein. Vous compléterez la liste, enfin le sport donc tout va très bien madame la marquise.
Vendre ; Vous faire acheter de la lessive et autres trucs inutiles. Les boites qui s'annoncent sur la télé sont d'énormes groupes procter unilever et d'autres. Ces groupes sont acteurs des mafias financières, en y touchant on touche directement au cœur de la machine à fric.
Si vous avez le courage de plus regarder la boite, vous deviendrez en quelques mois un citoyen adulte pensant par lui même, les diables médiatiques Chavez Amadinhedja Ben Laden, vous feront bien rire.
le pouvoir s’exerce dans les esprits plus que par la force. Pour gouverner les masses, une élite doit d’abord leur inculquer une idéologie qui programme leur acceptation du pouvoir qui les domine.
A vous de choisir entre la dictature actuelle ou une autre voie.
Dictature, Non pas chez nous dites vous !!!
Sortez dans la rue et regardez bien, les interdits en panneaux, en textes, en couleur, les flics partout, toujours avec de bonnes raisons, armés jusqu'au dents. Pour vous protéger ? (Demandez leur un renseignement et vous verrez s'ils sont la pour vous protéger). Ils sont la pour vous dissuader d'attaquer le système.
Si ça c'est pas de la dictature, qu'est-ce qu'il vous faut.
Trois sites que je visite régulièrement et recommande à votre attention.
http://www.scriptoblog.com
http://www.voltairenet.org/
http://www.reopen911.info/
Vous trouverez de nombreux liens sur chacun d'eux.
mercredi 20 octobre 2010
Manifs
Il y a longtemps que je n'aie pas épanché ma bile sur ce truc.
Ces jours ci au cher pays de mon enfance, c'est pour varier, le bordel.
Les manifs sont présentées comme celles de 68, ce qui est un non sens.
On est beaucoup plus proche du corporatisme que de 68
Il y a plusieurs raisons a ça.
La première est que la jeunesse est totalement dépolitisée (j'ai 2 fils).
La deuxième est que les idéologies sont mortes avec le mur de Berlin.
Enfin aujourd'hui ce qu'on nomme gauche droite sont deux clans de la même classe (bourgeoisie) qui luttent pour le pouvoir, ou plus exactement pour les avantages du pouvoir. Il suffit de regarder les faits pour s'en convaincre. Chaque clan en arrivant au pouvoir améliore uniquement les conditions de sa classe.
Il était plaisant de voir dans la rue; les emplois garantis défilant derrière les gros salaires de nos élus de gauche Sego Aubry 30.000 euros chacune, avec retraite assurée à vie. Que de tels gens aient pu convaincre des gosses incultes de faire du bruit à leur coté est significatif de l'incohérence de notre époque.
Quand aux casseurs ou soit disant tels, il faut noter deux choses.
La première c'est que le système a toujours intérêt à faire trembler ses électeurs. En 68 ce sont les flics et quelques voyous qui brulaient les voitures, pas nous. On peut en conclure qu'il réutilise les bonnes vielles méthodes.
Mais il y a en plus les casseurs professionnels, connus depuis le temps qu'ils foutent les banlieues a feux et a sang. On peut remarquer que le système prend grand soin de ce petit monde, jugement, jap, le tout ridicule, ça pue la combine, juge et voyous mon cul ma chemise.
Il y a une petite phrase qui est passée inaperçue mais qui avec le temps fait tilt. C'est la chancelière allemande qui l'a sortie;
Le multiculturalisme a échoué a t elle dit, ça on avait remarqué, mais elle s'est empressée d'ajouter qu'il manquait encore 400.000 travailleurs non qualifiés à l'industrie allemande.
Cette petit phrase explique bien des choses.
Re jetons un oeil sur le capitalisme, serpent qui se mord la queue.
Depuis le 19º siècle naissance du dit capitalisme, celui-ci a; main d'oeuvre oblige, vidé nos campagnes pour donner à la machine sa dose de chair humaine. Le hic pour le capitalisme c'est que le prolétariat grâce aux idéologies s'est organisé, le prix de la chair a grimpé.
Pour les capitalistes il était impératif d'y remédier en recrutant de nouveaux bras très bon marché, il faut ajouter que dans les années 60 les états européens étaient tous +/- patrons également. Ça a donné les années triomphantes de l'immigration. Cette fois capitalisme et états ont essayé d'empêcher les immigrants de devenir à leur tour une force constituée. Il suffisait pour cela d'empêcher toute intégration, rendre la chose presque impossible. Ceux qui échappaient au moule étaient montrés par les médias pour justifier la méthode.
Pourtant encore une fois le capitalisme se fait avoir, il a oublié que l'islam dispose de moyens pour structurer une communauté issu de pays musulmans, sans contact avec la population indigène et sa langue.
Aujourd'hui réapparait une lutte des classes, mais cette fois le prolétariat n'appartient pas à la nation dont il combat la classe dominante.
D'où une violence beaucoup plus grande que dans les luttes que nous avons connu.
Le rigolo dans tout ça, c'est que c'est surtout la gauche qui a roulé à fond, sans le voir, pour le capitalisme. Elle découvre aujourd'hui qu'elle a ouvert la porte toute grande à l'islam et sa charia, pour des démocrates athées laïcs etc, c'est un beau résultat.
On a bien en France, la gauche la plus con du monde, la droite on savait déjà.
Ces jours ci au cher pays de mon enfance, c'est pour varier, le bordel.
Les manifs sont présentées comme celles de 68, ce qui est un non sens.
On est beaucoup plus proche du corporatisme que de 68
Il y a plusieurs raisons a ça.
La première est que la jeunesse est totalement dépolitisée (j'ai 2 fils).
La deuxième est que les idéologies sont mortes avec le mur de Berlin.
Enfin aujourd'hui ce qu'on nomme gauche droite sont deux clans de la même classe (bourgeoisie) qui luttent pour le pouvoir, ou plus exactement pour les avantages du pouvoir. Il suffit de regarder les faits pour s'en convaincre. Chaque clan en arrivant au pouvoir améliore uniquement les conditions de sa classe.
Il était plaisant de voir dans la rue; les emplois garantis défilant derrière les gros salaires de nos élus de gauche Sego Aubry 30.000 euros chacune, avec retraite assurée à vie. Que de tels gens aient pu convaincre des gosses incultes de faire du bruit à leur coté est significatif de l'incohérence de notre époque.
Quand aux casseurs ou soit disant tels, il faut noter deux choses.
La première c'est que le système a toujours intérêt à faire trembler ses électeurs. En 68 ce sont les flics et quelques voyous qui brulaient les voitures, pas nous. On peut en conclure qu'il réutilise les bonnes vielles méthodes.
Mais il y a en plus les casseurs professionnels, connus depuis le temps qu'ils foutent les banlieues a feux et a sang. On peut remarquer que le système prend grand soin de ce petit monde, jugement, jap, le tout ridicule, ça pue la combine, juge et voyous mon cul ma chemise.
Il y a une petite phrase qui est passée inaperçue mais qui avec le temps fait tilt. C'est la chancelière allemande qui l'a sortie;
Le multiculturalisme a échoué a t elle dit, ça on avait remarqué, mais elle s'est empressée d'ajouter qu'il manquait encore 400.000 travailleurs non qualifiés à l'industrie allemande.
Cette petit phrase explique bien des choses.
Re jetons un oeil sur le capitalisme, serpent qui se mord la queue.
Depuis le 19º siècle naissance du dit capitalisme, celui-ci a; main d'oeuvre oblige, vidé nos campagnes pour donner à la machine sa dose de chair humaine. Le hic pour le capitalisme c'est que le prolétariat grâce aux idéologies s'est organisé, le prix de la chair a grimpé.
Pour les capitalistes il était impératif d'y remédier en recrutant de nouveaux bras très bon marché, il faut ajouter que dans les années 60 les états européens étaient tous +/- patrons également. Ça a donné les années triomphantes de l'immigration. Cette fois capitalisme et états ont essayé d'empêcher les immigrants de devenir à leur tour une force constituée. Il suffisait pour cela d'empêcher toute intégration, rendre la chose presque impossible. Ceux qui échappaient au moule étaient montrés par les médias pour justifier la méthode.
Pourtant encore une fois le capitalisme se fait avoir, il a oublié que l'islam dispose de moyens pour structurer une communauté issu de pays musulmans, sans contact avec la population indigène et sa langue.
Aujourd'hui réapparait une lutte des classes, mais cette fois le prolétariat n'appartient pas à la nation dont il combat la classe dominante.
D'où une violence beaucoup plus grande que dans les luttes que nous avons connu.
Le rigolo dans tout ça, c'est que c'est surtout la gauche qui a roulé à fond, sans le voir, pour le capitalisme. Elle découvre aujourd'hui qu'elle a ouvert la porte toute grande à l'islam et sa charia, pour des démocrates athées laïcs etc, c'est un beau résultat.
On a bien en France, la gauche la plus con du monde, la droite on savait déjà.
mercredi 3 mars 2010
vodafone router adsl
Juste un mot à propos de Vodafone Router ADSL.
Il ne s'agit en aucun cas d'une solution technique, juste d'un racket.
Ce triste bordel prend un temps fou pour demarrer et quand miracle ça connecte, c'est plus lent qu'un modem 56K.
Bien entendu il faut le lancer quand l'ordi est ouvert, operation à effectuer machine par machine.
En 3 mois et une multitude d'appels, il n'ont pas trouvé le temps d'envoyer un tecno, voir pourquoi ça marchait pas. Ce qui prouve qu'ils savent fort bien que leur truc fonctionne pas.
Si vous voulez piquer des crises 10 fois par jour pour lire le courrier ou naviquer sur internet, c'est la bonne adresse.
S'il existait des pouvoirs publics digne de ce nom, les boites ne pourraient pas poposer des trucs aussi degueulasses. Que la republique cette merde, laisse toujours n'importe qui faire n'importe quoi, me fait degueuler. La seule limite du systeme, c'est la vitesse et le stationnement des bagnoles, avec ça on parle d'etat de droit.
Ceci confirme qu'on a que le systeme qu'on merite.
Il ne s'agit en aucun cas d'une solution technique, juste d'un racket.
Ce triste bordel prend un temps fou pour demarrer et quand miracle ça connecte, c'est plus lent qu'un modem 56K.
Bien entendu il faut le lancer quand l'ordi est ouvert, operation à effectuer machine par machine.
En 3 mois et une multitude d'appels, il n'ont pas trouvé le temps d'envoyer un tecno, voir pourquoi ça marchait pas. Ce qui prouve qu'ils savent fort bien que leur truc fonctionne pas.
Si vous voulez piquer des crises 10 fois par jour pour lire le courrier ou naviquer sur internet, c'est la bonne adresse.
S'il existait des pouvoirs publics digne de ce nom, les boites ne pourraient pas poposer des trucs aussi degueulasses. Que la republique cette merde, laisse toujours n'importe qui faire n'importe quoi, me fait degueuler. La seule limite du systeme, c'est la vitesse et le stationnement des bagnoles, avec ça on parle d'etat de droit.
Ceci confirme qu'on a que le systeme qu'on merite.
mercredi 17 février 2010
Encore un peu sur le Capitalisme
A propos de capitalisme.
Encore quelques commentaires acides sur le système.
VODAFONE pour ne pas le nommer fournisseur de téléphonie en tous genre, mobile adsl et fixe. Comme le mobile fonctionne, j'ai demande à cette boite de prendre en charge mon fixe et surtout adsl. Il faut dire que Telefonica me piquait pas loin de 100 € par mois pour fixe et adsl. Alors que Vodafone annonce le même service pour 34,90€. Le problème c'est que premièrement le prix n'est pas conforme à l'annonce et deuxièmement leur adsl n'en est pas une, mais un méchant modem qu'il faut mettre en route chaque fois qu'on allume l'ordi. Quand au flux inutile d'en parler c'est a peine en octet. Le jusqu'à un mega ou jusqu'à trois reste une formule creuse. Eux au moins on peut les appeler, une fois passé l'ignoble disque impératif à toute boite qui fait semblant d'être sérieuse, avec le sempiternel tous nos opérateurs sont occupés. On accède avec de la patience à des gens agréables, le problème c'est qu'ils branlent rien on peut leur expliquer ce qu'on veut, ils disent oui, oui, mais rien ne change.
Donc on re part sur ce putain de capitalisme. Que des gens gagnent cent fois plus que d'autres est fondamentalement immoral, mais qu'il les gagnent à rien foutre est carrément un scandale.
C'est la que la démocratie et sont appareil juridique, pourtant si prompt à me piquer trois sous si je vais 5 kmh trop vite, devrait intervenir. Or comme par hasard le dit système et sa farce judiciaire s'empresse de maintenir le statu quo. Le pdg parasite continuant a se masturber et le connard à bagnole continuant a payer.
Le tout avec la bénédiction de la chienlit politique, laquelle vole au secours des entreprises ou des banques dès qu'il faut, que vous ou moi, y mettions un peu d'argent. Ça pue la maffia pas d'autre mot pour qualifier un système, qui pénalise la masse pour soutenir sa classe.
En Espagne ou je vis, ce beau système a parfaitement fonctionné, nous mettant dans le mur en moins de temps qu'il en faut pour le dire. Il faut rappeler que l'Espagne est aux mains des socialistes, et on sait que ces gens ont le don de ruiner tous les pays qu'ils traversent. Se souvenir que quand Miteux est arrive en 81, la parité franc mark était autour de 1,40 quand il a enfin débarrassé le plancher on était passé à 3,40. Ils ont raison de dire qu'ils sont pas marxistes, c'est même la seule affirmation non mensongère qu'ils soient foutus de faire.
Retour au capitalisme.
Qu'un pdg sous le prétexte qu'il mouille sa chemise et ses biens, touche un salaire plus gros que celui d'un salarié, qui ses huit heures terminées peut penser à autre chose, n'est pas en soi indécent.
Ce qui l'est, c'est le smith montré par Mikael Moore.
Qu'un clampin s'installe à la tête du premier groupe industriel de la planète, pour le conduire après quelques péripéties et années, à un groupe valant juste le dollar symbolique, sans qu'aucun mécanisme de contrôle ait mis fin aux tripatouillages de ce salaud, ça c'est vraiment scandaleux. Les signes ont été visibles bien avant le crash, en licenciant des milliers de travailleurs, il avait contribué à faire baisser le pouvoir d'achat au niveau local et peut être national, ¿ des sanctions ??? Aucune !!!! Faites monsieur machin on regarde ailleurs, si c'est ça la démocratie on avait pas besoin de couper la tête du tyran. Je rappelle à ceux qui l'aurait oublié qu'en grec demos signifie peuple et cratos pouvoir. Il semble bien qu'a notre époque le PEUPLE a juste le POUVOIR DE FERMER SA GUEULE. Essayez pour voir de discuter la décision du gendarme lorsqu'il vous colle sa prune quotidienne.
Il reste l'outil des capitalistes pour rien foutre et bénéficier de l'aide de l'état (c'est notre petit pognon), c'est le chantage formulé comme suit; Si vous m'aidez pas je ferme et met tous mes employés au chaumage, c'est mauvais ça les chiffres du chaumage en hausse, pour la réélection. Avec cet argument ils pourront encore longtemps nous piquer tout ce qu'ils veulent. Si on était en démocratie le système répondrait; Etant donné que vous êtes incompétent vous êtes viré, vos comptes bloqués, votre comptabilité passée au peigne fin. Il dit bien, moins de points sur le permis de conduire, jusqu'à x temps de suspension ou repasser l'examen.
Pour quelle raison ne dit-il pas la même chose aux entrepreneurs, qu'aux conducteurs. On peut penser que c'est uniquement par ce que les entrepreneurs soutiennent financièrement les partis politiques, ce qui nous ramène aux associations mafieuses.
Et pour finir ce le sujet, contrairement à ce que disait Churchill, il semble bien que la démocratie soit le pire de tous les systèmes, à cause de sa perméabilité à toutes les maffias, oligarchies et autres groupes d'influence, maçons, clubs, etc.
Encore quelques commentaires acides sur le système.
VODAFONE pour ne pas le nommer fournisseur de téléphonie en tous genre, mobile adsl et fixe. Comme le mobile fonctionne, j'ai demande à cette boite de prendre en charge mon fixe et surtout adsl. Il faut dire que Telefonica me piquait pas loin de 100 € par mois pour fixe et adsl. Alors que Vodafone annonce le même service pour 34,90€. Le problème c'est que premièrement le prix n'est pas conforme à l'annonce et deuxièmement leur adsl n'en est pas une, mais un méchant modem qu'il faut mettre en route chaque fois qu'on allume l'ordi. Quand au flux inutile d'en parler c'est a peine en octet. Le jusqu'à un mega ou jusqu'à trois reste une formule creuse. Eux au moins on peut les appeler, une fois passé l'ignoble disque impératif à toute boite qui fait semblant d'être sérieuse, avec le sempiternel tous nos opérateurs sont occupés. On accède avec de la patience à des gens agréables, le problème c'est qu'ils branlent rien on peut leur expliquer ce qu'on veut, ils disent oui, oui, mais rien ne change.
Donc on re part sur ce putain de capitalisme. Que des gens gagnent cent fois plus que d'autres est fondamentalement immoral, mais qu'il les gagnent à rien foutre est carrément un scandale.
C'est la que la démocratie et sont appareil juridique, pourtant si prompt à me piquer trois sous si je vais 5 kmh trop vite, devrait intervenir. Or comme par hasard le dit système et sa farce judiciaire s'empresse de maintenir le statu quo. Le pdg parasite continuant a se masturber et le connard à bagnole continuant a payer.
Le tout avec la bénédiction de la chienlit politique, laquelle vole au secours des entreprises ou des banques dès qu'il faut, que vous ou moi, y mettions un peu d'argent. Ça pue la maffia pas d'autre mot pour qualifier un système, qui pénalise la masse pour soutenir sa classe.
En Espagne ou je vis, ce beau système a parfaitement fonctionné, nous mettant dans le mur en moins de temps qu'il en faut pour le dire. Il faut rappeler que l'Espagne est aux mains des socialistes, et on sait que ces gens ont le don de ruiner tous les pays qu'ils traversent. Se souvenir que quand Miteux est arrive en 81, la parité franc mark était autour de 1,40 quand il a enfin débarrassé le plancher on était passé à 3,40. Ils ont raison de dire qu'ils sont pas marxistes, c'est même la seule affirmation non mensongère qu'ils soient foutus de faire.
Retour au capitalisme.
Qu'un pdg sous le prétexte qu'il mouille sa chemise et ses biens, touche un salaire plus gros que celui d'un salarié, qui ses huit heures terminées peut penser à autre chose, n'est pas en soi indécent.
Ce qui l'est, c'est le smith montré par Mikael Moore.
Qu'un clampin s'installe à la tête du premier groupe industriel de la planète, pour le conduire après quelques péripéties et années, à un groupe valant juste le dollar symbolique, sans qu'aucun mécanisme de contrôle ait mis fin aux tripatouillages de ce salaud, ça c'est vraiment scandaleux. Les signes ont été visibles bien avant le crash, en licenciant des milliers de travailleurs, il avait contribué à faire baisser le pouvoir d'achat au niveau local et peut être national, ¿ des sanctions ??? Aucune !!!! Faites monsieur machin on regarde ailleurs, si c'est ça la démocratie on avait pas besoin de couper la tête du tyran. Je rappelle à ceux qui l'aurait oublié qu'en grec demos signifie peuple et cratos pouvoir. Il semble bien qu'a notre époque le PEUPLE a juste le POUVOIR DE FERMER SA GUEULE. Essayez pour voir de discuter la décision du gendarme lorsqu'il vous colle sa prune quotidienne.
Il reste l'outil des capitalistes pour rien foutre et bénéficier de l'aide de l'état (c'est notre petit pognon), c'est le chantage formulé comme suit; Si vous m'aidez pas je ferme et met tous mes employés au chaumage, c'est mauvais ça les chiffres du chaumage en hausse, pour la réélection. Avec cet argument ils pourront encore longtemps nous piquer tout ce qu'ils veulent. Si on était en démocratie le système répondrait; Etant donné que vous êtes incompétent vous êtes viré, vos comptes bloqués, votre comptabilité passée au peigne fin. Il dit bien, moins de points sur le permis de conduire, jusqu'à x temps de suspension ou repasser l'examen.
Pour quelle raison ne dit-il pas la même chose aux entrepreneurs, qu'aux conducteurs. On peut penser que c'est uniquement par ce que les entrepreneurs soutiennent financièrement les partis politiques, ce qui nous ramène aux associations mafieuses.
Et pour finir ce le sujet, contrairement à ce que disait Churchill, il semble bien que la démocratie soit le pire de tous les systèmes, à cause de sa perméabilité à toutes les maffias, oligarchies et autres groupes d'influence, maçons, clubs, etc.
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