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Au vingtième siècle nous eûmes droit au nazisme, fascisme et communisme, variations pour dictateur, avec +/- le même résultat.
Aujourd'hui en ex-France, on inaugure le siononationalsocialisme, dernière mode en matière de dictature.
Là, c'est un must, dictature partout, en tout, pour tous.
Ne vous avisez plus de déplaire à la Kommandantur, vous y laisserez votre peau.
Pour faire une telle connerie en pleine année électorale, faut vraiment que notre pseudo élite soit aux ordres.
La junte UMPS vient de s'offrir tous les ingrédients d'une déculottée, dont elle se souviendra.
On a déjà la liste des élus locaux inféodés, ayant pris l'interdit sur la rigolade dans leur commune.
Au lieux de se demander, si leurs électeurs vont pas en profiter pour les foutre dehors, en se marrant.
Newsweek pour lequel je n'ai aucun respect particulier, fait un portrait répété de notre pays.
Lequel devrait pas nous attirer des masses de touristes cette année.
Evidemment merdia hexagonal, toujours brossant dans le sens du poil, essaye de nous convaincre que ces cons d'US etc...
Le même merdia, qui nous vent à longueur d’année, la grandeur US et son merveilleux président.
Nous vivons, pour notre malchance, dans une époque extraordinaire, qui est celle de la chute de l'Empire.
Le géant déboulonné, la statue abattue, c'est pas très agréable à vivre mais passionnant à observer.
Comme un énorme bâtiment désaffecté, qui s’écroule par bouts de tailles différentes, un grand ici, un petit là.
L’économie ;
Le grand bout par excellence de notre époque vouée au fric, fond comme neige au soleil.
Le bellicisme lui, survit tant bien que mal, tout en perdant de son brillant.
La langue se dilue, dans un volapük incompréhensible, du au sens perdu des mots.
Les institutions, de plus en plus loin des réalités et des citoyens.
Font semblant d'avoir un rôle, pourtant nous voyons ses acteurs trembler, quand un taulard grecque prend des vacances.
Pour l'instant seule tient encore un peu, la violence d’état exercée par la junte sur ses sujets.
Pourtant là encore il y a des failles, en Italie où des flics ont posé les armes devant la foule, la BAC démissionne à Kourou, etc..
Tous ces signes grands ou petits, qui montrent que l’édifice se désagrège lentement mais sûrement.
On voit les banksters grands maîtres du jeux, mettre tout en œuvre pour nous tondre, alors qu'ils ne nous volent que des assignats.
Que feront ils de leur montagne de papier, quand Dollar et Euro ne vaudront plus rien ?
Portez vous bien !
Surtout rions, nous sommes au pays "du rire est le propre de l'homme".
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