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Quelques mots sur le shutdown US et ses conséquences.
Cette analyse de Monsieur Sapir, montre que le monde mafieu-boursicoteux n'est pas plus en phase avec le réel, que la racaille politicienne.
Voila un phénomène étrange, comme si tous ces décideurs participaient au même jeu de rôle.
On peut nous les européens, s’attendre à des lendemains qui déchantent.
Le sauvetage du Dollar passera par nos poches. La monnaie de réserve va en prendre un coup très dur. Il ne lui reste que deux faire valoir l’Euro et le pétrodollar.
On voit bien que le jeu avec l’Iran, a pour but de faire revenir ce dernier dans le pétrodollar. En effet grâce aux idioties US, l’Iran est obligé de vendre son pétrole en or à ses voisins. Or vu la situation du billet vert, il est probable que dans pas longtemps, les fournisseurs des US demandent autre chose que du papier sans valeur, pour leurs matières premières. Il ne restera alors au dit billet vert, que sa parité avec l’Euro comme valeur. Cette parité sortira de notre poche, on peut faire confiance à notre jute de collabos, pour ce faire.
En hexagone rien de bien neuf, valls doit regretter que les promoteurs aient rasé le Veld’hiv. La chasse aux Roms continue à faire la première page. Voila du beau cinéma, je suis partout éternelle pravda.
Quelques mots sur l’immobilier à Paris
Avoir un appartement parisien est une folie, d’autant que la junte veut en réquisitionner, pour y coller les Roms qu’elle n’a pas viré. Le propriétaire a les charges à payer, plus la dégradation de son bien, le placement pierre à Paris un cauchemar.
Délires ;
le Mur des cons condamne un père pour avoir fessée son fils.
Les cathos qui se tenaient tranquille, font parler d’eux avec une reforme à la Bokanovsky.
Une poignée de péquenaud râle pour rien. Le remembrement n’a pas été inventé pour faire joli. Sur 44,3 million électeurs inscrits, il n’y a plus que 1 800 000 employeurs et employés, représentant les 348 000 exploitations agricoles encore existantes. Le poids de la ruralité en politique n’est plus rien.
Les élus de provinces sont des fonctionnaires et non plus des paysans.
On lit ici ou la que le suicide chez les derniers paysans, avoisine un tous les deux jours, soit + de 180 par an.
Le petit patron peut encore se barrer avec sa boite, mais le cul terreux lui, est condamnés à crever sur son champ.
Jusqu’à ce qu’ils sortent les fusils, il n’y aura pas de changement de ce coté. Flanby peut continuer à dormir sur ses deux oreilles.
Portez vous bien !
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