Un petit film bien sympa.
Ça nous montre ce que sont vraiment nos merdias,silence, mensonge, farces et attrapes, mais info rien, zéro, le néant.
On a beau le savoir, il reste encore malheureusement des gens pour s'abreuver à cette source nauséeuse, c'est la poliomyélite intellectuelle.
Humour allemand très réussi.
Le complot de Goldman Sachs por Les_Enculumines
Un peu de mauvaise humeur, pour tous !
IRIB- Le 13 novembre, le Président français, François Hollande, du Parti Socialiste (PS).....
a prononcé un discours télévisé et accordé une conférence de presse devant quelque 400 journalistes réunis au Palais de l’Elysée. Avec sa cote de popularité, qui est passée de 60 pour cent, après son élection, en mai, à, actuellement, 36 pour cent, Hollande a rassuré l’élite dirigeante, en disant qu’il continuera la politique pro-patronale de guerre et d’austérité sociale, au mépris de l’opinion publique.
L’agence AFP a remarqué que Hollande «s’était attaché à répondre aux appels pressants de Bruxelles [siège de l’UE], de l’Allemagne et des principales organisations économiques internationales». Celles-ci étaient toutes «impatientes de voir la France s’engager résolument sur le chemin des réformes structurelles [flexibilité sur le marché du travail, réductions des dépenses publiques]», a écrit l’AFP.
Hollande a proposé de réduire de 12 milliards d’euros (15,4 milliards de dollars), par an, les dépenses publiques, pour réaliser une économie de 60 milliards d’euros, d’ici la fin de son quinquennat. Ceci nécessiterait des coupes majeures dans les dépenses sociales, en concernant, notamment, celles des collectivités locales, ainsi que des réductions supplémentaires, dans les soins de santé et les retraites.
Comme en Grèce, et dans d’autres pays d’Europe méridionale, de telles coupes minent l’économie en général étant donné que les gens qui sont obligés de compenser les coupes dans des services vitaux dépensent moins pour autre chose. Hollande a carrément prédit que d’ici 2013, «nous allons avoir une hausse continue du chômage». Le taux de chômage officiel se situe, actuellement, à 10 pour cent.
Hollande a feint de s'inquiéter pour les victimes de sa politique en remarquant : «Cela va être difficile à vivre pour des familles, des territoires, des entreprises».
Il a promis d’activer les modifications réactionnaires à apporter au droit du travail et le «pacte de compétitivité» visant à réduire considérablement le coût du travail pour les employeurs français. Après avoir accepté les conclusions pro-patronales du rapport Gallois, Hollande a proposé de réduire de 20 milliards d’euros l’impôt sur les sociétés.
Hollande a, tout simplement, rejeté d'un revers de main les inquiétudes concernant l'impopularité de sa politique : «Je ne travaille pas pour une prochaine élection, je travaille pour la prochaine génération».
Il a indiqué qu’il poursuivrait l’intensification de l’intervention impérialiste – débutée sous son prédécesseur, le président conservateur Nicolas Sarkozy, avec la guerre de l’OTAN, en 2011, en Libye – au Mali et en Syrie, deux anciennes colonies françaises.
Hollande a salué la coalition de l’opposition syrienne, dominée par les Islamistes, et rassemblée par Washington pour mener sa guerre, par procuration, contre le Président Bachar al-Assad : «La France reconnaît la Coalition nationale syrienne comme la seule représentante du peuple syrien et donc comme le futur gouvernement de la Syrie démocratique, permettant d’en terminer avec le régime de Bachar al-Assad».
Il a été le premier gouvernement occidental à reconnaître cette coalition de fantoches impérialistes triés sur le volet par le gouvernement américain ; les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont, pour le moment, refusé de la reconnaître, comme un gouvernement en exil.
Hollande a ajouté qu'il serait possible de livrer, ouvertement, des armes à la Syrie «dès lors qu’il y aura un gouvernement légitime de la Syrie».
Outre la poursuite des guerres impérialistes françaises et l’intensification des attaques contre les droits sociaux des travailleurs, Hollande a maintenu l’assaut contre les droits démocratiques perpétré par Sarkozy. Il est en train d'expulser des Roms de France et de démanteler leurs campements et il applique les lois islamophobes interdisant le port du voile islamique à l’école et de la burqa, en public.
Antoine Lerougetel et Alex Lantier
Et puis si ça peut aider à faire baisser encore le peu, les 36 % restant, j'aurais la conscience plus tranquille.
Portez vous bien !
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Ça nous montre ce que sont vraiment nos merdias,silence, mensonge, farces et attrapes, mais info rien, zéro, le néant.
On a beau le savoir, il reste encore malheureusement des gens pour s'abreuver à cette source nauséeuse, c'est la poliomyélite intellectuelle.
Humour allemand très réussi.
Le complot de Goldman Sachs por Les_Enculumines
Un peu de mauvaise humeur, pour tous !
IRIB- Le 13 novembre, le Président français, François Hollande, du Parti Socialiste (PS).....
a prononcé un discours télévisé et accordé une conférence de presse devant quelque 400 journalistes réunis au Palais de l’Elysée. Avec sa cote de popularité, qui est passée de 60 pour cent, après son élection, en mai, à, actuellement, 36 pour cent, Hollande a rassuré l’élite dirigeante, en disant qu’il continuera la politique pro-patronale de guerre et d’austérité sociale, au mépris de l’opinion publique.
L’agence AFP a remarqué que Hollande «s’était attaché à répondre aux appels pressants de Bruxelles [siège de l’UE], de l’Allemagne et des principales organisations économiques internationales». Celles-ci étaient toutes «impatientes de voir la France s’engager résolument sur le chemin des réformes structurelles [flexibilité sur le marché du travail, réductions des dépenses publiques]», a écrit l’AFP.
Hollande a proposé de réduire de 12 milliards d’euros (15,4 milliards de dollars), par an, les dépenses publiques, pour réaliser une économie de 60 milliards d’euros, d’ici la fin de son quinquennat. Ceci nécessiterait des coupes majeures dans les dépenses sociales, en concernant, notamment, celles des collectivités locales, ainsi que des réductions supplémentaires, dans les soins de santé et les retraites.
Comme en Grèce, et dans d’autres pays d’Europe méridionale, de telles coupes minent l’économie en général étant donné que les gens qui sont obligés de compenser les coupes dans des services vitaux dépensent moins pour autre chose. Hollande a carrément prédit que d’ici 2013, «nous allons avoir une hausse continue du chômage». Le taux de chômage officiel se situe, actuellement, à 10 pour cent.
Hollande a feint de s'inquiéter pour les victimes de sa politique en remarquant : «Cela va être difficile à vivre pour des familles, des territoires, des entreprises».
Il a promis d’activer les modifications réactionnaires à apporter au droit du travail et le «pacte de compétitivité» visant à réduire considérablement le coût du travail pour les employeurs français. Après avoir accepté les conclusions pro-patronales du rapport Gallois, Hollande a proposé de réduire de 20 milliards d’euros l’impôt sur les sociétés.
Hollande a, tout simplement, rejeté d'un revers de main les inquiétudes concernant l'impopularité de sa politique : «Je ne travaille pas pour une prochaine élection, je travaille pour la prochaine génération».
Il a indiqué qu’il poursuivrait l’intensification de l’intervention impérialiste – débutée sous son prédécesseur, le président conservateur Nicolas Sarkozy, avec la guerre de l’OTAN, en 2011, en Libye – au Mali et en Syrie, deux anciennes colonies françaises.
Hollande a salué la coalition de l’opposition syrienne, dominée par les Islamistes, et rassemblée par Washington pour mener sa guerre, par procuration, contre le Président Bachar al-Assad : «La France reconnaît la Coalition nationale syrienne comme la seule représentante du peuple syrien et donc comme le futur gouvernement de la Syrie démocratique, permettant d’en terminer avec le régime de Bachar al-Assad».
Il a été le premier gouvernement occidental à reconnaître cette coalition de fantoches impérialistes triés sur le volet par le gouvernement américain ; les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont, pour le moment, refusé de la reconnaître, comme un gouvernement en exil.
Hollande a ajouté qu'il serait possible de livrer, ouvertement, des armes à la Syrie «dès lors qu’il y aura un gouvernement légitime de la Syrie».
Outre la poursuite des guerres impérialistes françaises et l’intensification des attaques contre les droits sociaux des travailleurs, Hollande a maintenu l’assaut contre les droits démocratiques perpétré par Sarkozy. Il est en train d'expulser des Roms de France et de démanteler leurs campements et il applique les lois islamophobes interdisant le port du voile islamique à l’école et de la burqa, en public.
Antoine Lerougetel et Alex Lantier
Et puis si ça peut aider à faire baisser encore le peu, les 36 % restant, j'aurais la conscience plus tranquille.
Portez vous bien !
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