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mardi 17 avril 2012

Presse de merde = démocratie de merde !

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Nous sommes les heureux bénéficiaires d'une presse qui se fout de notre gueule avec un aplomb digne de tous les charlatans de tous les temps.

Sarkozi le traître, aurait mis en place hier une nouvelle combine pour nous piquer nos derniers pions
"à partir du 16 avril. En effet, le président Nicolas Sarkozy via l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) vont permettre d’ouvrir sur l’Eurex, le marché des dérivés, un contrat à terme sur les emprunts d’Etat français, l’autorisation des ventes à découverts".

Histoire de boursicoteurs donc sordide, bien sur les pisse copie n'ont rien vu ni entendu comme toujours.
Autre cécité notable, l'Islande qui modifie sa constitution vers la démocratie directe, dans l’indifférence des grands chantre de la dite démocratie et autres défenseurs des droits de l’homme, merdiatiques.

Déontologie journalistique, les trois petits singes sourd muet aveugle, sauf pour le chèque de fin de mois.

Je rappelle que si nous avons cette presse, c'est de notre faute.
Nous n'avons jamais eu la moindre obligation d'acheter des journaux, pas plus que de regarder la télévision.
Nous n'avons pas obligation de justifier le salaire de cette racaille. Si le monde merdiatique est si sur de lui c'est que nous donnons dans le panneau.
Si demain chaque citoyen, cesse d'acheter le journal et de regarder la putain de télé, tous ce monde de mange merde est mort.
Branle bas de combat dans les rédactions, plus de ronron, les mougeotte et autre levaï, seront envoyés à l’abattoir par leur financiers.
Si les merdias ne vendent plus de lessive, ça va faire du bruit chez les ploutocrates. Or chez ces gens la Monsieur, le bruit est très mal perçu.

Enfin au réveil ce mardi, les médias font le point crucial entre Vincennes et Concorde. Les deux canassons de tête dans la course à faire la même politique, voilà qui est motivant. Il reste la croix pour se distinguer en parlant de la croissance nouvel objectif européen. C'est pas encore la lune mais on y va.

L'enjeu de ces élections c'est ; mondialisme ou souverainisme, ça n'a pas fait une ligne dans un canard.

Lorsque nous serons ruinés, nous cesseront enfin (bien obligés) de nourrir cette vermine, laquelle aura largement contribue à cet état.
Marrant comme dans l'histoire ce sont toujours les proches du pouvoir, qui scient la branche sur laquelle ils dorment.

Votez ! Votez, Wall-street y tient beaucoup.


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