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mardi 8 mai 2012

Berceau de la Démocratie !

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La Grèce !!!!

Grâce à Merkel, après des milliards partis en fumée, près de trois ans de souffrance pour son peuple, la Grèce va enfin recouvrer sa souveraineté monétaire.

Voila pour qui nous votons, des cons incapables, nuls à chier et prétentieux.
Evidemment ce magnifique résultat a un coût, dont l'addition nous est gentiment laissée.
Seule consolation nos crétins congénitaux font un petit tour et puis s'en vont, riches et faisant l'admiration des médias. Il faut dire que l'admiration des journalistes a un coût elle aussi. Si vous voulez que levaï et autre cujadas vous cirent les pompent, il est préférable qu'elles soient en croco.

Hollande élu, l'euro au tapis, quand j’écrivais qu'il tiendrait pas ses promesses je me trompais pas de beaucoup. Il faut dire que, en suivant les élections grecques il était facile de prévoir ce qui va se passer.

Maintenant nous allons entrer dans le vif du sujet. Comment l'Empire (pour employer une expression Soralienne) va gérer la crise dans la crise. Si l'Euro explose plus rien ne soutient le dollar. Les BRICS ont déjà consommé la rupture, il ne restera que l'Afrique et ses rois nègres, pour accepter le p.q US.

Donc l'empire ne peut qu'entrer en guerre. Mais la guerre ça nécessite un adversaire et autant que possible un seul et unique adversaire.
C'est une vieille histoire, la guerre sur un front, contre un seul ennemi.
Qui ? L'empire peut il designer comme son adversaire. Adversaire sans allié, c'est son unique chance de gagner la guerre.

Sachant que l'Iran c'est interdit, la Syrie également, le Pakistan intouchable, or la guerre devra se faire dans le golf pétrolier, sinon elle rapportera rien.
Qui va être désigné comme ennemi par l'empire usraélien.
La question doit être à l’étude en ce moment même dans le bureau ovale et va occuper le prix Nobel de la paix, pour un temps.
Moi je serais poussah énième du pétrole, je serais pas fier et ferais autre chose que couvrir d'or les pare-chocs de mes bagnoles.

Nous entrons dans un monde inconnu, dans une ère également inconnue.

Portez vous bien !


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