jeudi 22 septembre 2011
Il y a longtemps que je n'ai pas déchargé ma bile sur l'ignoble Amérique et son bouffon sioniste.
Le sinistre petit valet d’Israël a encore laissé faire une saloperie dans son funeste paradis.
La encore la justice nous ébloui par sa malhonnêteté.
Il faut dire que Troy Davis comme Nafitassou Dialo, est un sous homme au pays des faucons.
Le grand pays des droits de l'homme blanc, White only, un dollar pour scalp d'indien c'est ça l'humanisme franc-maçon en action.
Un état qui massacre 3000 concitoyens pour ses sales manigances guerrières, a peu à faire de la vie d'un black, si en plus il faut se soucier de savoir s'il est innocent ou pas.
En revanche ce bel état se pose en donneur de leçons de démocraties à la planète entière. Leçons qui sont données à coups de canon, bombe, et autre missile, tous bien estampillés made in usa.
Il faut bien que les vilains tripatouilleurs frico-bombardiers de Wall-sreet gagnent un petit quelque chose sur l'enseignement de la démocratie.
Il est tout de même étonnant qu'un peuple nourri de morale judéo-chrétienne comme le notre, accepte de recevoir des leçons d'un état aussi pourri, amoral, assassin voleur, menteur, que l’état yankee.
Il serait bon que notre peuple exige de ses élus un positionnement clair vis à vis d'Usraël.
Chaque candidat doit se situer sur ses affinités en politique internationale, cela doit faire partie intégrante de son programme. Nous n'avons pas à voter pour des gens qui nous surprennent en servant les intérêts de tel ou tel pays. Sarko et son histoire avec l'OTAN est totalement inadmissible, c'est de la haute trahison et mérite la cour martiale.
Cela doit être dit sans équivoque pendant les campagnes et tout manquement à cet engagement considéré comme une haute trahison entraînant invalidation et poursuites.
Pour cela il faut savoir qui pense quoi ? Qui baise qui ? Qui roule pour qui ?
Nous devons pour ce faire botter le cul des pseudo journalistes, afin que l'ignoble petit monde politico-voyous soit transparent. Ça c'est à notre portée, ne plus acheter de journaux jusqu'à ce que les affreux informent et non déforment.