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Ukraine l'empire à l’œuvre, Bombama tient à empêcher Poutine de dormir.
Il faut dire que celui-ci a marqué beaucoup de points ces derniers temps.
Bien sur la racaille de Bruxelles, va se démener pour empêcher le feux de mourrir.
Les nouveaux Balkans sont arrivés.
Merdia hexagonal, comme d'habitude se regarde le nombril.
Je citerais bien l'Immonde, mais je suis saturé de cette horreur.
Chine ; La voie de la réunion s'ouvre avec Taiwan.
Petite aparté dont la première partie vient du site de Blanrue.
Monsieur Jean François Gayrault interviewé pour son livre ; Le capitalisme criminel.
Pour un flic grosse surprise, il parle simplement et les mots pour le dire lui viennent aisément.
On a perdu l'habitude d'entendre des gens s'exprimer aussi clairement, disant des choses intéressantes, sur un sujet maîtrisé.
Dans cette interview il parle entre autre, du trading haute fréquence.
Il précise que ce business s'effectue en nanosconde, (milliardième de seconde).
Il en résulte que la Bourse n'est plus accessible à Monsieur tout le monde.
Ça rejoint ce que dénonce régulièrement Olivier Delamarche, les bourses ne sont plus représentatives du marché.
Ce qui signifie que la bourse n'est plus que le champ de foire de quelques zombis, qui plument les bonnes pommes qui croient soutenir et l’économie et leurs intérêts.
En un mot, il y a le même risque de se faire plumer sur la bourse qu'au casino, loto, etc.
Pour les banksters il n'en va pas de même, ils peuvent jouer baissier ou haussier, sauf erreur de leur part, ils touchent à tous les coups.
Quand ils touchent ils se votent des bonus, s'ils font une erreur ils exigent de l’état, qu'il nous mette à contribution.
Là on touche à ce foutu mot de démocratie, cette poubelle dans laquelle se trouve tout et son contraire.
La démocratie c'est direct, le peuple propose et vote ses lois.
Quand le peuple désigne ses représentants, on est déjà dans le déni de démocratie.
On nous a fait avaler, que pour des raisons d’efficacité dans un pays peuplé, il est plus simple de réunir 600 personne que 65 millions.
Puis on nous a fait avaler, qu'il était préférable que les lois soient le fait de législateurs, plutôt que de simples citoyens.
Résultat nous n'avons plus aucun contrôle sur la loi.
Nous sommes donc en Tyrannie, cette fois c'est le mot exact, tyrannie élective à durée déterminée.
Durée ne concerne que le Tyran, pas le système, qui lui est permanent comme le cinéma, jusqu'à la prochaine révolution.
Cette pseudo démocratie a sombré, dans le bipartisme, qui est le meilleur moyen pour bankster de bien contrôler la situation.
Comme haussier baissier en jouant les deux, il gagne à tous les coups.
En faisant monter les enchères, en l'occurrence le coût des campagnes, le recours au crédit est devenu incontournable.
Le crédit c'est la banque et la boucle est bouclée.
Si l’élu fait bien ce qui lui est demandé, la petite note dort sous la pile des dossiers, impossible de prendre le pouvoir de manière plus simple.
Chaque campagne coûtant plus chère que la précédente, on a toujours besoin de ce bon monsieur crédit.
C'est ainsi que le bankstérisme a pris le contrôle de la chose politique.
Il lui restait à le prendre sur la globalité de l’économie.
Le capitalisme de grand papa reposait sur le capitaliste crée de la richesse.
Il est obligé de partager pour produire, ce qui génère la croissance.
La population ayant un niveau de vie ascendant, consomme de plus en plus augmentant au pro rata la production.
C'est l'histoire du way of life des 30 glorieuses.
Seulement tapi dans l'ombre bankster veillait, il a inventé le crédit à la consommation.
Crédit, dette, usure, comme il tenait les politiques, ceux ci n'ont pas pu, ou voulu, freiner l'usure.
Ils ont laissé le bankster développer à l'infini sa gourmandise.
Au final on a des citoyens esclaves de la banque.
Autre fois l'entreprise valait ce que son bilan montrait.
La financiarisation globale de l’économie a changé la donne.
Aujourd'hui la valeur de l'entreprise, est fonction de ce que les algorithmes décident.
Ceci explique que les boites qui le peuvent encore, rachètent leurs titres pour éviter le crash.
Donc plus de trésorerie disponible, pas d'investissement, corollaire pas de création d'emploi.
Bankster en a cure, il a inventé l’économie virtuelle.
L'argent n'a plus de valeur, ce que les pro nomment les fondamentaux.
Il n'est plus indexé sur rien, le dollar constitutionnel à 30 $ l'once, n'est plus qu'un souvenir.
Bankster peut faire de l'argent, sur tout y compris la dette, donc + de dette + d'argent.
Enfin il reste les emprunts d’état, les fameux bons du trésor.
Ce sont eux qui permettent de voler l’économie des états, payez ou vendez.
Le patrimoine des états, sera volé aux citoyens, quand l’état n'est plus solvable.
Bankster a l'imprimante et tous les droits, on est pas près de l’arrêter.
Il ne lui reste qu'un pas à franchir, c'est celui de l'argent électronique.
Le fameux e-curency, après il sera le maître du monde.
Bankster est bien le grand satan.
Il y a une petite bonne nouvelle, dans la coupole banksters.
Il en meurt de plus en plus et de drôle de manière.
Syndicat du crime, les aigres fins s’éliminent entre eux.
Quand il n'en restera qu'un, il nous sera facile de le détruire.
Portez vous bien !
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