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lundi 17 février 2014

Ce qu'on montre, pour cacher quoi ?

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un vrai dictateur, massacre son peuple avec la bénédiction des instances impériales, depuis bientôt trois ans.
Dans ce vilain réduit US, les contras de la mafia sont au service du pouvoir.
Ce qui explique le silence impérial, puisque ce sont ses assassins qui tuent le peuple, pour préserver l'inutile allié.
L'importance de soutenir le poussah puant d'un carré de sable, me dépasse.

Lavrov ;
Rappelle le droit international aux donneurs de leçons, l'aide humanitaire se fait avec l'accord du pouvoir du pays dans lequel le besoin est reconnu.
Sinon c'est une agression pure et simple.
Ce que j’écrivais hier, l'humanitaire cheval de Troyes du terrorisme.
Syrie toujours, ça grenouille en coulisses !

Italie ; Nos voisin se prennent un beau spécimen de professionnel de la chose politicarde.
Wikipedia ne le donne pas comme un ex-goldman sach's, ce qui devrait pas l’empêcher d’être un voyou quand même !

Nul n’étant prophète en son pays, quelques médailles et les photos des heureux vainqueurs, en pleine page de merdia-de-cambrousse.

Cocorico un sauteur à la perche passe les 6 metres, superbe mais est-ce bien utile.

Kiev ; Le feux dort sous la cendre, vu le nombre de souffleurs, ça peut repartir à tout moment.

Portez vous bien !
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