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vendredi 13 novembre 2009

Révisionnisme et information,

Révisionnisme et information.

Dans le post précédant j'écrivais; Y a t'il quelque incroyable en matière d'holocauste ????

L'information officielle est la suivante; 6 millions de juifs assassinés dans les camps.

Là ou l'information cafouille c'est sur le nombre, or les chiffres devraient n'avoir aucune importance. Seul le fait est important, il y a eu des victimes, deux seraient déjà beaucoup trop.
Mais dans notre monde médiatique deux victimes n'intéressent personne, il faut du sang à la une c'est bien connu, alors on donne des chiffres. Millions de victimes fait bien plus froid dans le dos, que trop de victimes. A partir du constat il faut des chiffres, on entre dans le flou contrairement à ce qu'on pourrait croire.

A Auschwitz après la guerre fut posé une plaque commémorative à la mémoire des 4 million de juifs martyrisés dans ce camp. En lisant Peter Weiss qu'on ne peut accuser de révisionnisme, il donne dans les années soixante, 3 millions de juifs assassinés dans le camp. Enfin il y a quelques années Lech Walesa président démocratiquement élu de Pologne, à inauguré une nouvelle plaque remplaçant la précédente, portant 1,5 million de juifs morts à Auschwitz. Bien sur tout le monde maintient le chiffre global de 6 million de victimes, ce qui ne simplifie pas l'arithmétique.

Voilà un exemple parfait de ce qu'est l'information et son dogme.

Ou et comment trouver une information fiable, c'est affaire de mode, si le sujet est dans le vent il y a des informations en pagaille, sinon il faut jouer les rats de bibliothèque.
Sur les tours jumelles il y a tout et son contraire. Sur les camps le sujet étant tabou, il y a peu de documents contradictoires. Attention contradiction n'est pas nier le fait, mais nier les quantitatifs officiels du dit fait, c'est tout à fait différent.

Combien de gens ont réellement été massacrés dans les camps ???
Tout comme vous je n'en sais rien.
Parmi ces victimes combien y avait il de:
Juifs ???
Gitans romanichels ???
Noirs ???
Résistants ???
Communistes ???
Soldats soviétiques ???
Homosexuels ???
Etc ???
Aucun chiffre solide à mettre en face d'une ligne, des milliers d'écrits, des forets entières passées en pâte à papier, des mois de commentaires et d'images, pour zéro chiffre incontestable. C'est la réalité médiatique de notre époque. Le pire c'est que même les historiens sérieux tombent dans le piège et donnent des chiffres immédiatement remis en cause par les autres, les associations, etc.
Le pire c'est que la guerre des chiffres occulte la réalité, plus personne ne s'intéresse au martyr de ces gens, seul compte leur nombre, ici ou la.

mercredi 21 octobre 2009

Negationnisme

Une chose me chiffonne, dans le dogme médiatique hexagonal.

Chaque fois que quelqu'un, quel qu'il soit, émet un doute sur les conclusions de l'enquête sur le 11/09/2001, nos ayatollahs médiatiques hurlent au négationnisme. L'amalgame est systématique, on l'a vu avec M Cotillard, avec J M Bigart, T Messian et les trop rares journalistes ayant fait leur métier.

Tout un chacun a une idée de ce qu'est le négationisme, pour faire court; (remise en cause du fait historique de l'élimination des juifs par les nazis).
Wikipedia, que je ne veux pas recopier entièrement, termine l'article par les mots suivants.
La démarche négationniste a ceci de particulier qu'elle use d'une méthodologie partiale et malhonnête, opérant la sélection, la dissimulation, le détournement ou la destruction d'informations corroborant l'existence du crime (voire la création de fausses preuves «impliquant» l'inexistence des évènements passés). On peut légitimement parler de négationnisme lorsque de telles méthodes sont employées, lorsque les motivations ne sont pas exclusivement la recherche de la factualité historique...

Au dit de cette affirmation, il semble bien que les négationnistes ne soient pas les gens qui ayant le bon sens de croire leurs yeux, ont vu s'effondrer les tours de manière contrôlée, (la démolition contrôlée permettant l'élimination d'un bâtiment de grande hauteur dans sa surface de construction en quelques secondes). Mais bien plutôt les censeurs qui s'appuyant sur la bible de l'administration us, amalgament au négationnisme, toute interrogation sur le dogme bushien. Tous ceux qui ont parcouru les conclusions de l'enquête ont pu constater le peu de cohérence du dit dogme.
Voir; http://www.reopen911.info/News/ pour se faire une idée de l'ampleur du mensonge officiel.

Alors posons clairement la question du négationnisme.
Si le tamtam médiatique exige de nous une foi aveugle dans l'incroyable en matière de tours, y a t-il «quelque incroyable» en matière d'holocauste.
Je précise ma pensée, le bordel médiatique est au service d'intérêts inavouables (les tours on a une idée).
Qu'en est il pour l'holocauste ? Y a t-il des groupes, puissances, états, pouvoirs, qui ont intérêt à ce qu'on remette l'holocauste sur le tapis avec une telle régularité depuis 65 ans ????
Voilà une question que l'on doit légitimement se poser, lorsqu'on constate que les médias s'acharnent à cacher la vérité.
Je crois utile de rappeler aux baveux qui prétendent représenter la morale, le bon droit, l'histoire, etc, qu'ils servent sur un plateau d'argent des arguments massue aux négationnistes. Amalgamer la vérité officielle sur les tours avec celle sur l'holocauste, c'est ouvrir une brèche dans la conviction de beaucoup de gens, sur la vérité des camps.

Pissent copies, il va falloir faire votre boulot correctement, si vous ne voulez pas un jour, vous retrouver inculpé pour propagation de thèses négationnistes.

Sans salutations.

dimanche 28 juin 2009

De la sempiternelle démocratie.

Derrière ce mot dénué de sens on voit juste une classe qui a conquis le pouvoir.

Tout l'occident suivant l'Angleterre est passée petit à petit sous le contrôle de la bourgeoisie. C'est depuis la City à Londres qu'a commencé le dictât de cette classe, donc celui des manieurs d'argent. Bourgeoisie de gauche ou de droite, mais toujours bourgeoisie.

Si on ne retient pas cela on ne peux pas comprendre notre époque et les surprenants comportements de nos dirigeants.
Ceci explique pourquoi deux chefs d'état Sarkosy de droite et Zapatero de gauche, volent tous deux au secours des banquiers. Si nous étions en régime «populaire» on aurait de suite pendu cette racaille et on en aurait plus parlé.
La bourgeoisie gère ses intérêts de classe, les banquiers sont des bourgeois qu'importe leur gestion la classe est solidaire. Depuis qu'elle a le pouvoir, elle a toujours exigé des prolos qu'ils payent ses erreurs et ne voit pas de raison de changer puisque ça marche très bien comme ça.

Tout l'occident braille à tue tête "démocratie" autant de fois qu'il a de souffle.
Dès que l'on parle de roi nègre les médias sont offusqués, les intellectuelles se bouchent le nez, tout individu bien pensant est solidaire de l'indignation générale.
Pourtant si on regarde bien, dans les deux cas il y a accaparement des instruments de pouvoir au profit d'une seule caste. La seule différence réside dans la procédure d'accaparement, en démocratie il y a les urnes, chez les rois nègres c'est souvent la Kalachnikof qui fait office de bulletin de vote.
La kalach c'est relativement bruyant, les trucage au scrutin on l'a vu aux états unis avec la réélection de bush et les votes par internet, c'est pas discret non plus.

Quand le cow boy déclare une guerre injustifiable à l'Irak, que fait il exactement; il ment au bon populo ça c'est pour la forme, mais sur le fond il défend les intérêts de sa classe, les siens et ceux de ses amis en premier. Cela explique pourquoi tant de pays occidentaux ont envoyés des troufions se faire casser la gueule en Irak, «bourgeois de tous pays unissez vous» a parfaitement fonctionné.
En un mot bourgeoisie et maffia c'est tout comme, puisque ces gens ne défendent que leurs intérêts et non ceux de leurs concitoyens pour lesquels ils ont été élus.

Voila pourquoi lorsque je dis "je ne vote pas" je suis foudroyé du regard comme si je pétait à table.
Pourtant je ne vois aucune raison de cautionner tel bourgeois, plutôt que tel autre, sachant qu'ils feront tous deux la même chose, ils se contenteront de gérer leurs intérêts, pas les miens.

samedi 6 juin 2009

Toujours la Crise

Toujours la Crise;

Aujourd'hui le grand sujet, c'est la dérégulation du système bancaire américain, qui a mis l'économie mondiale dans les choux.

Que la crise soit prévue depuis longtemps, tout le monde en convient maintenant, il reste que l'homme de la rue “moi le premier” se demande pourquoi personne n'a rien fait, pour l'empêcher de prendre de telles proportions. Politiciens, financiers, traders, et tout un gros tas de magouilleur ont laissé faire y trouvant sûrement leur intérêt.

En revanche, maintenant qu'il faut mettre la main à la poche pour boucher les trous fait par ces beaux messieurs, c'est à vous et moi qu'ils font appel.

Nous vivons dans un monde virtuel, démocratie, libéralisme, et plein d'ismes, sont des sons redondants dénués de sens. Un ronron permanent comme un moteur de voiture, tant qu'on l'entend c'est que celle-ci marche.
Qui dit démocratie, dit aussi agora, loi des nombres oblige le débat se fait par le tamtam médiatique (débat est un mot mal adapté). Le monologue des ploutocrates est plus exact. Télé, presse, radio, tout ce que vous voulez nous rabâche sans cesse les mêmes slogans en nous gavant d'images.
Le virtuel c'est affaire d'image, les jeux vidéo ont permis de bien cerner le concept.
Un monde d'image auquel on participe, bien qu'il n'ait rien à voir avec le monde réel.
La ou ça coince c'est lorsque le son n'est plus en rapport avec l'image. C'est de plus en plus fréquent, et certaines fois c'est incompatible.

Le plus bel exemple est celui des tours jumelles.
Coté image, on a tous, tout vu et tout compris.
Coté son, on nous a très vite seriné que le feu en quelques minutes avait brûlé des milliers de tonnes d'acier, pour que tout ce bordel de ferraille et béton s'effondre dans sa base en quelques secondes.
Pas besoin d'être grand clerc pour constater que les images ne cadrent pas avec le commentaire.
Depuis le temps nous avons appris à décoder le tamtam, lorsqu'il émet un son incompatible avec l'image, c'est qu'il a pour fonction de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Bien que veaux chaque fois qu'il nous cache quelque chose, on se précipite pour demander; Tamtam que nous caches tu ?
Pour l'histoire des tours nous demandons qui les a démoli et pourquoi. Comme c'est l'administration américaine qui répond, il est facile de conclure que c'est elle qui a des choses à cacher. Seulement il y a un hic, les démolisseurs sont des assassins et pas de petits assassins, 3000 morts c'est pas un fait divers. Alors pour quelle raison l'exécutif américain protège les assassins d'un tel nombre de ses citoyens ?
Sans réponse, on échafaude des hypothèses, les plus folles sont les plus tentantes.

La crise fonctionne sur le même modèle, jusqu'à épuisement des combines, on nous a fait croire que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comme on nous a fait croire dans les années 90 que le capitalisme avait triomphé de la barbarie communiste. A l'époque pas une seule voix ne s'était élevée pour dire attention le système soviétique a implosé comme annoncé par Madame Carrere d'Encausse, rien n'empêche le capitalisme d'en faire autant comme prévu par Karl Marx.

Sur le web Attali nous explique que la mondialisation, les grands trafics négriers de main d'oeuvre à bas prix, ne sont pour rien dans la crise. Seul le système bancaire est responsable de la récession, toujours bien identifier et dénoncer le coupable, (souvenez vous c'était pareil pour al quaida).

Pourtant même aux usa ou les génies courent les rues, on commence à entendre quelques voix disant que peut être, un système économique devrait inclure du travail dans le pays, des salaires pour les employés, bref un partage de la richesse nationale, permettant un consommation a +/- 0% de crédit. On reprend l'idée de progrès social de la fin du dix neuvième siècle et on recommence.

L'américain moyen, autre veau sur la planète, après s'être fait piquer sa baraque, doit trouver bon de mettre quelques sous dans le nourin pour sauver les banques et organismes de crédit qui lui ont tout pris. Il faut aussi, que lui ou son fils, aille se faire casser la gueule en Irak ou Afghanistan pour que le pétrole de Bassora brûle pas dans les puits et que la drogue du gang Karsai parvienne bien jusqu'en occident (transport assuré par les avions us).

On voit que tours jumelles ou guerre économique, le sang américain n'est pas cher pour son gouvernement. Là encore il y a clash entre virtuel et réel, nous avons tous vu le président du dit gouvernement jurer le jour de sa prise de pouvoir, de veiller sur le peuple américain, d'en respecter la constitution, etc. Jusqu'où ce président peut-il être parjure dans un pays officiellement puritain ?

La crise peut nous permettre de remettre les pendules à l'heure, à condition d'organiser la résistance.
Pour couper court à ce discours imbécile et manichéen, cette manipulation, ces mensonges. Il n'y a qu'un seul et unique moyen, VIRER LA TELE, plus de fausse info, plus de films de merde. Idem pour les journaux inutile de nourrir ces fonctionnaires, peu de radio et seulement musique. Je l'ai fait, après un an on se sent vraiment mieux, on trouve l'information sur le web, j'apprends qu'un avion se casse la gueule en même temps que tout le monde.
Attention la télé c'est comme le tabac quand on a été fumeur faut jamais plus y toucher.

La ploutocratie contrôle notre univers, nous pas. Pour ce faire elle a des alliés, sa police, les oligarchies financières, et la peur. Sur la police nous n'avons aucun moyen, la peur c'est pas simple, sur les financiers c'est diffèrent. Les gens d'argent on l'a vu ont tout intérêt à soutenir le système, c'est leur ami naturel. Pourtant ce soutient indéfectible on peut le rompre, il suffit d'empêcher les gens d'argent d'en gagner. Pour ce faire il y a le boycott économique, tel jour on achète rien, on consomme à minima, la bagnole bouge pas, on sort pas, juste boulot dodo.
Selon les besoins on crée des fréquences, un jour par mois, ou un par semaine, ou plusieurs. Important on ne prépare pas ce jour en faisant le plein la veille, il faut un peu se discipliner et faire petite bouffe avec les moyens du bord. Pas question de créer des pics de consommation. D'ailleurs en s'y habituant on devient consommateur plus raisonnable et on voit vite qu'on nous fait acheter plein de trucs inutiles.
Si on coupe les ploutocrates de leurs bailleurs de fonds alors on reprend le contrôle de notre univers. En effet les manieurs de fric même protégés par le régime, ne le soutiendront plus si celui-ci gêne leur trafic. En devenant des consommateurs raisonnables nous gagneront sur deux tableaux, la maîtrise de notre environnement et de la classe qui prétend nous diriger.

Il faut également faire la grève des urnes, ne choisissons plus nos tyrans, laissons les se bouffer entre eux, que “al gore” avec plus de voix laisse “bush” ça ne nous concerne pas.

Et puis il y a une chose bien plus importante, voter c'est cautionner des gens qui soutiennent nos assassins, qui soutiennent les pilleurs de banques, qui soutiennent les voleurs de nos maisons, la liste est longues des amis de ce souteneur...
Ne vous leurrez pas, ça va pas changer avec le prochain élu. Derrière le répubicain Bush, quand le démocrate Obama arrive au pouvoir, sa première mesure est de rallonger l'enveloppe pour les banquiers, pas de les mettre hors d'état de nuire.

Vous allez me dire votre petit texte est bien gentil mais pas très positif, j'en suis bien conscient. Comme tout le monde je n'ai rien à proposer, pas de solution miracle, de système extraordinaire, moral, respectueux de la nature.
Ce qui viendra derrière celui-ci quand il se cassera la gueule, je n'en ai aucune idée. Ce que je sais c'est qu'en étant attentif on peut éviter que celui qui nous parasite en ce moment, revienne. On peut empecher qu'al capone soit de nouveau au pouvoir et nous en prison, et ce sera déjà un net progrès.

La seule chose dont je sois sur c'est qu'il faut absolument cesser d'avoir peur, peur de tout y compris du changement.
La peur on la vit tous les jours.
Pourquoi croyez vous que tous ces flics sont dans la rue à regarder passer notre bagnole.
Pourquoi la télé nous montre des horreurs tout la journée.
Pourquoi les nouvelles ne sont que des catastrophes.
C'est par ce que la peur est un moyen de contrôle mental, elle est entretenue pour nous garder en état de dépendance.
Rompre cet état de dependance relève de la sorcellerie, blague à part virer la télé y contribue un peu.

mercredi 11 mars 2009

Quelques mots sur la crise.

Il ya encore quelques années la justification du capitalisme, était: Ceux qui prennent des risques sont en droit de gagner à hauteur du risque pris.
Ceci justifiait les différences de revenus entre entrepreneurs et employés.

Aujourd'hui ce n'est plus du tout le cas.

Nous voyons des chef d'entreprise qui les conduisent à la banqueroute, des pdg incapables, et comble du truc des employés qui coutent plus qu'ils rapportent.

On appelle ça l'économie libérale de qui se moque t-on.

Ça c'est de l'économie marxiste appliquée, c'est le triomphe du brejnevisme.
On réalise le plan avec des ouvriers en surnombre, des directeurs irresponsables, et un chiffre d'affaire virtuel.

Et bien c'est ce qui se passe chez nous depuis la chute du mur.
PDG incapable de toulouse, demande une prime pharamineuse à l'incompétence pour aller faire des dégâts plus loin. Et la nouvelle direction annonce on va être obligé de faire des sacrifices en personnel, pour payer le parachute doré de l'autre voyou.
Qui fait quoi dans ce bordel, qu'on nous présente comme un fleuron industriel.

Dans une logique capitaliste on aurait entendu, les ouvriers devront faire plus d'heures pour payer le départ ruineux de l'autre salaud. Produire plus, mieux, moins cher, pour vendre plus, etc, c'est ça la logique capitaliste.
Pas produire moins, réduire la gestion, paralyser les avoirs et attendre que ça passe, ça c'est du mercantilisme petit bourgeois frileux, on se croirait dans un bled du moyen âge, à l'annonce d'une bande de routard.

Le sommet c'est les banques, aujourd'hui les seuls habilités à piller légalement les banques, ce sont les directeurs. Le tout sans la moindre responsabilité, si Alcapone vivait encore il serait maitre du monde.

Les chefs d'état tous en choeur avec un bel ensemble, nous disent mettez la main à la poche, pour boucher des trous pas évalués, causés par les directeurs de banque, pas une seule voix pour dire on les pendra.
Et on nous parle de capitalisme, de morale de l'effort, du gout du risque, etc.

Et nous comme des vaches regardant passer les trains, on prie, pour que ça nous coute pas trop cher.

On a bien que le système que nous meritons.