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Comme toujours, on sait pas grand-chose. Il semble, que "le calumet de la paix" ait été à l’ordre du jour. Ça, c’est déjà énorme !
- Xinhuanet, Trump avoue une rencontre très productive, bien qu’aucun accord n’ait été conclu !
- Reuters, se fend d’une video, montrant une entente qu'on peut qualifier de "cordiale".
- Un analyste burkinabé, fait un constat géopolitique intéressant. Les européens, ne font plus l’histoire. Ils se contentent de regarder les autres, la faire. Ils sont comme les vaches, qui regardent passer les trains. Quant on est con... Chantait Brassens.
- Belle photo du groupe des laissés pour compte, qui justement ne comptent plus. Ou comptent pour du beurre, disait les enfants quand je l’étais.
- James Howard Kunstler, un bon article, je suis moins convaincu par sa conclusion. Le procès de Nuremberg, pour l’élégance on repassera. Je constate là encore, que plus personne ne prend le moindre gant, pour parler de le Chienlit Européenne.
Chez les neuneus, qui regardent passer les trains, on oublie le ; bon vivre. On y meurt, de mort violente, plus que de rire. Mais la junte et ses multiples parasites, cachent ça sous le tapis. Il ne se sentent pas encore assez visés. Bien que le maire de l’autre jour, soit un signe.
Même les buveurs d’eau, se mobilisent, pour Gaza.
- Les fumiers d’anglais toujours vaillants à protéger leur City. Le bankstérisme raciste, ne veut pas de pro-Gaza en liberté, sur son île.
- Thomas Boussion, sur la nouvelle narration américaine, du sionisme. J’avais fait le même constat, il y a quelques jours. En voyant certains commentaires sur le merdiatisme yankee. Commentaires qui dénoncaient froidement les crimes de l’entité. Ce qui pour la presse Us est un exploit, inimaginable il y a seulement quelques mois. Son explication par le repositionnement américain, est tout à fait sensée. D’autant qu’en Europe et Moyen Orient, c’est la catastrophe, l’échec avec un grand E.
La Chine est maîtresse dans la fabrication de fusées.
Moon of Alabama, les Russes après avoir épuisé les forces Otano-Kiéviennes. Peuvent avancer à grands pas, face à un adversaire qui fond comme neige au soleil. C’est le principe de la guerre d’attrition. Ce qui a été annoncé, juste après l’échec de l’attaque mal préparée, sur Kiev. Démilitarisation, dénazification, les Russes obligés d'économiser leurs soldats, ça a été un peu long. Mais maintenant, ils touchent au but. Les forces roulant pour Kiev, roulent surtout vers Kiev et non plus vers la Russie.
Peter Turchin, une étude sur les phases paix et de violences.
Portez-vous bien !
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