Prolétaires de tous les pays, méfiez vous !!!

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Quand syndicats et patronat sont officiellement d'accord, les prolos ont du mouron à se faire.
Il est vrai qu'historiquement, les syndicats sont les ennemis du peuple.
Cependant en général, ils s'en cachent.
Ils jurent même le contraire, à tout bout de champ !

Les ploucs râlent, comme tout le monde en hexagone.
Ils râlent pour des raison financières !
Mais je suis pas sur qu'ils aient bien compris, qu'ils vivent leurs derniers jours.
Le Tafta va les sortir du paysage, juste après signature.

La saoudie un pays exclusivement, pour les cons.
Interdit de faire preuve d'un peu d'intelligence, ou d'esprit d'initiative.
Le jeu d'échecs, c'est très au dessus du QI, du grand mufti local.

La démocrassouiille c'est partout.
Si on remettait le vocabulaire en phase avec le sens, on y gagnerait.
Notre système est la Tyrannie et non la Démocratie, laquelle n'a d'ailleurs jamais vraiment existé.

Où on constate que la diplomatie chinoise, travaille ses dossiers, elle.
C'est surprenant, car on s'est habitué à la fainéantise occidentale, type fafa kerry.
Du coup on reste sans voix, à la lecture d'un texte aussi précis.

Merkel a pris ses nouveaux ordres, de bombama.
Elle a pas fini d’être dans les ennuis, la pauvre grosse.
Il y a pourtant un moment déjà, qu'elle aurait du lui dire ; Merde !!!

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Portez vous bien !

Un peu de Francis Cousin
Juste pour le plaisir et se sentir moins idiot à la fin.

A écouter et réécouter, jusqu'à digestion complète.

Quand j’écoute Francis Cousin je retourne en 68.
Pour moi c'est ça 68, c'en est même l'essence.
Et pas les quelques vedettes, qui ont laissé un petit nom dans l'histoire.
68, contrairement aux commentaires, de gens qui ne l'ont pas vécu.
N’était ni trotskiste, ni lambertiste et autre iste, sans poids à l’époque.
Même si Ben Said de la JCR, était écouté à la Sorbonne.
68 était plus l’héritier du mouvement blouson noir universel.
Et des hippies américains, tous deux étant anti-système.
Or les deux reposaient sur la table rase et pas la gestion.
C’était le grand sujet d’incompréhension entre ma génération et la précédente.
Vous voulez tout casser et vous proposez rien, disaient les anciens.
Ce à quoi on répondait, commençons par le commencement, on verra après.

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