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Comme merdia est plus vide que jamais, digressons tout à notre aise.
Le foot ne m’intéressant pas, je laisse le canard à ses coin-coins.
Il y a deux faits qui m’épatent encore.
Quand Napoléon introduit dans le code ; Nul n'est sensé ignorer la loi.
Il codifie une vieille pratique du royaume de France, qui est la coutume.
A l’époque tout un chacun connaissait la coutume, conforme à la loi de l’église universelle.
Avec la Convention, on a pris la mauvaises habitude de fabriquer la Loi.
Chaque gommeux arrivant au parlement, rêve de graver nom sur sa loi, pour la postérité.
Ah être un gayssot ! Voila une belle finalité, pour péquenaud mandaté.
Depuis deux cent ans on a eu des chambres bleues, rouges, de gauche, du centre, etc.
Aujourd'hui c'est la chambre Fuca.
Elle nous chie sur lois, sur lois, au point que personne ne peut en respecter ni la lettre, ni l'esprit.
La loi, tuant la loi, notre état s'apparente à l'Anarchie Dictatoriale.
Le fait du Prince n'a jamais été aussi patent.
Le plus étonnant c'est que ce n'est pas caractéristique de notre seul pays.
Le dogme des droit de l'homme nous le démontre tous les jours.
Lorsqu'un peut-être drogadiste est condamné à mort en Indonésie, le tam-tam s'affole.
Lorsqu'un peut-être djihadiste est condamnée à mort à Boston, le tam-tam souffle.
Lorsqu'un tyran est condamné à mort en Egypte, le tam-tam bat la chamade.
Ce n'est même plus une question de poids et mesures.
C'est juste que la bien-pensance est débordée, elle perd le nord.
Son dogmatisme s’égare, dans la diversité pourtant si chère à sa pérennité.
L'autre fait qui me laisse baba
Ce sont les missiles russes S-300 pour l'Iran.
Ils ont un petit coté Mistral qui ne cesse de m'interpeller.
Depuis le temps que le contrat est signé, même fabriqués avec des outils à main !
Ils doivent avoir eu le temps de rouiller un max.
Cinq ans de blablas inutiles, les missiles sont toujours pas arrivés en Iran.
A croire que Moscou nous a piqué, la gestion flanby/valls.
C'est la dernière trace d'une idylle, à laquelle Poutine avait cru.
Lorsque cette marque aura disparue, il ne lui restera plus que les regrets.
On comprend qu'il hésite encore un peu.
Les amours mortes se chantent, mais restent lourdes à porter.
Portez vous bien !
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