Faire du neuf avec des vieux !

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L'Italie n'a pas l'intention de cesser d’être italienne.
Le nouveau président est l'homme du premier ministre, qui a juste oublié de consulter sa coalition.
Combinazione first ! reste la règle de ce très ancien pays.

L'espoir en Espagne aussi !
Les peuples ne supportent plus les technocrates vendus aux ploutocrates.
L'UE devrait se réformer vite, si elle ne veut pas disparaître.

La Tchéquie est elle le premier maillon faible ?
Pour une fois qu'un gouvernement défend les intérêts de son peuple, ça tombe pile poil à l’opposé de ceux des banksters.
De quoi embarrasser bombama, dans son larbinage pour wallstreet.

Hexagone la "Très Laïque Inquisition", s'installe à grands renforts de flonflons merdiatique.
L'administration dans son intégralité, est invitée à délater jusqu'aux nourissons récalcitrants.
La délation au cher pays de mon enfance, du comité de salut public à valls, en passant par la Kommandantur...
C'est pratique pour gravir les échelons, agrandir le champ ou la boutique...
A quand les bûchers en place publique ?
A quand le fouet et les lapidations, pour monter que le coran est sujet de moquerie chez nous. 
Quand les plus petits des bourgeois prennent le pouvoir, on obtient ce que nous vivons aujourd'hui.
Leur servilité envers le sommet de leur classe, leur aspiration à un ascenseur sans limite, les conduits à toutes les bassesses.
Mais c'est pas la première fois, que la vermine petit bourgeois prend le pouvoir, dans notre malheureux pays.
Pour vous en convaincre, je vous invite à lire ou relire Léon Daudet, la grande plume de l'Action Française de l'entre deux guerres.
La similitude des faits décrits dans ses textes, avec ce que nous vivons est incroyable.
Jamais j'aurais cru possible le retour, vers un dogmatisme aussi rétrograde.
L'entre deux guerres, a été le dark-age de notre histoire.
Les congés payés n'y changent rien, les emplois perdus et la propagande ont été comme aujourd'hui, le non-pain quotidien de l’époque.

En lui le bitcoin ne m’intéresse pas du tout.
Mais je remarque que c'est un sujet récurrent ces temps-ci.
Pour qu'il revienne sans cesse sur le devant de la scène, il y a une raison.
C'est la perte de confiance dans la monnaie papier.
Monnaie que chacun assimile de plus en plus aux assignats de sinistre mémoire.
Comme quoi l’apprentissage de l'histoire est une nécessité.

Portez vous bien !

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