Derrière ce mot dénué de sens on voit juste une classe qui a conquis le pouvoir.
Tout l'occident suivant l'Angleterre est passée petit à petit sous le contrôle de la bourgeoisie. C'est depuis la City à Londres qu'a commencé le dictât de cette classe, donc celui des manieurs d'argent. Bourgeoisie de gauche ou de droite, mais toujours bourgeoisie.
Si on ne retient pas cela on ne peux pas comprendre notre époque et les surprenants comportements de nos dirigeants.
Ceci explique pourquoi deux chefs d'état Sarkosy de droite et Zapatero de gauche, volent tous deux au secours des banquiers. Si nous étions en régime «populaire» on aurait de suite pendu cette racaille et on en aurait plus parlé.
La bourgeoisie gère ses intérêts de classe, les banquiers sont des bourgeois qu'importe leur gestion la classe est solidaire. Depuis qu'elle a le pouvoir, elle a toujours exigé des prolos qu'ils payent ses erreurs et ne voit pas de raison de changer puisque ça marche très bien comme ça.
Tout l'occident braille à tue tête "démocratie" autant de fois qu'il a de souffle.
Dès que l'on parle de roi nègre les médias sont offusqués, les intellectuelles se bouchent le nez, tout individu bien pensant est solidaire de l'indignation générale.
Pourtant si on regarde bien, dans les deux cas il y a accaparement des instruments de pouvoir au profit d'une seule caste. La seule différence réside dans la procédure d'accaparement, en démocratie il y a les urnes, chez les rois nègres c'est souvent la Kalachnikof qui fait office de bulletin de vote.
La kalach c'est relativement bruyant, les trucage au scrutin on l'a vu aux états unis avec la réélection de bush et les votes par internet, c'est pas discret non plus.
Quand le cow boy déclare une guerre injustifiable à l'Irak, que fait il exactement; il ment au bon populo ça c'est pour la forme, mais sur le fond il défend les intérêts de sa classe, les siens et ceux de ses amis en premier. Cela explique pourquoi tant de pays occidentaux ont envoyés des troufions se faire casser la gueule en Irak, «bourgeois de tous pays unissez vous» a parfaitement fonctionné.
En un mot bourgeoisie et maffia c'est tout comme, puisque ces gens ne défendent que leurs intérêts et non ceux de leurs concitoyens pour lesquels ils ont été élus.
Voila pourquoi lorsque je dis "je ne vote pas" je suis foudroyé du regard comme si je pétait à table.
Pourtant je ne vois aucune raison de cautionner tel bourgeois, plutôt que tel autre, sachant qu'ils feront tous deux la même chose, ils se contenteront de gérer leurs intérêts, pas les miens.
dimanche 28 juin 2009
samedi 6 juin 2009
Toujours la Crise
Toujours la Crise;
Aujourd'hui le grand sujet, c'est la dérégulation du système bancaire américain, qui a mis l'économie mondiale dans les choux.
Que la crise soit prévue depuis longtemps, tout le monde en convient maintenant, il reste que l'homme de la rue “moi le premier” se demande pourquoi personne n'a rien fait, pour l'empêcher de prendre de telles proportions. Politiciens, financiers, traders, et tout un gros tas de magouilleur ont laissé faire y trouvant sûrement leur intérêt.
En revanche, maintenant qu'il faut mettre la main à la poche pour boucher les trous fait par ces beaux messieurs, c'est à vous et moi qu'ils font appel.
Nous vivons dans un monde virtuel, démocratie, libéralisme, et plein d'ismes, sont des sons redondants dénués de sens. Un ronron permanent comme un moteur de voiture, tant qu'on l'entend c'est que celle-ci marche.
Qui dit démocratie, dit aussi agora, loi des nombres oblige le débat se fait par le tamtam médiatique (débat est un mot mal adapté). Le monologue des ploutocrates est plus exact. Télé, presse, radio, tout ce que vous voulez nous rabâche sans cesse les mêmes slogans en nous gavant d'images.
Le virtuel c'est affaire d'image, les jeux vidéo ont permis de bien cerner le concept.
Un monde d'image auquel on participe, bien qu'il n'ait rien à voir avec le monde réel.
La ou ça coince c'est lorsque le son n'est plus en rapport avec l'image. C'est de plus en plus fréquent, et certaines fois c'est incompatible.
Le plus bel exemple est celui des tours jumelles.
Coté image, on a tous, tout vu et tout compris.
Coté son, on nous a très vite seriné que le feu en quelques minutes avait brûlé des milliers de tonnes d'acier, pour que tout ce bordel de ferraille et béton s'effondre dans sa base en quelques secondes.
Pas besoin d'être grand clerc pour constater que les images ne cadrent pas avec le commentaire.
Depuis le temps nous avons appris à décoder le tamtam, lorsqu'il émet un son incompatible avec l'image, c'est qu'il a pour fonction de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Bien que veaux chaque fois qu'il nous cache quelque chose, on se précipite pour demander; Tamtam que nous caches tu ?
Pour l'histoire des tours nous demandons qui les a démoli et pourquoi. Comme c'est l'administration américaine qui répond, il est facile de conclure que c'est elle qui a des choses à cacher. Seulement il y a un hic, les démolisseurs sont des assassins et pas de petits assassins, 3000 morts c'est pas un fait divers. Alors pour quelle raison l'exécutif américain protège les assassins d'un tel nombre de ses citoyens ?
Sans réponse, on échafaude des hypothèses, les plus folles sont les plus tentantes.
La crise fonctionne sur le même modèle, jusqu'à épuisement des combines, on nous a fait croire que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comme on nous a fait croire dans les années 90 que le capitalisme avait triomphé de la barbarie communiste. A l'époque pas une seule voix ne s'était élevée pour dire attention le système soviétique a implosé comme annoncé par Madame Carrere d'Encausse, rien n'empêche le capitalisme d'en faire autant comme prévu par Karl Marx.
Sur le web Attali nous explique que la mondialisation, les grands trafics négriers de main d'oeuvre à bas prix, ne sont pour rien dans la crise. Seul le système bancaire est responsable de la récession, toujours bien identifier et dénoncer le coupable, (souvenez vous c'était pareil pour al quaida).
Pourtant même aux usa ou les génies courent les rues, on commence à entendre quelques voix disant que peut être, un système économique devrait inclure du travail dans le pays, des salaires pour les employés, bref un partage de la richesse nationale, permettant un consommation a +/- 0% de crédit. On reprend l'idée de progrès social de la fin du dix neuvième siècle et on recommence.
L'américain moyen, autre veau sur la planète, après s'être fait piquer sa baraque, doit trouver bon de mettre quelques sous dans le nourin pour sauver les banques et organismes de crédit qui lui ont tout pris. Il faut aussi, que lui ou son fils, aille se faire casser la gueule en Irak ou Afghanistan pour que le pétrole de Bassora brûle pas dans les puits et que la drogue du gang Karsai parvienne bien jusqu'en occident (transport assuré par les avions us).
On voit que tours jumelles ou guerre économique, le sang américain n'est pas cher pour son gouvernement. Là encore il y a clash entre virtuel et réel, nous avons tous vu le président du dit gouvernement jurer le jour de sa prise de pouvoir, de veiller sur le peuple américain, d'en respecter la constitution, etc. Jusqu'où ce président peut-il être parjure dans un pays officiellement puritain ?
La crise peut nous permettre de remettre les pendules à l'heure, à condition d'organiser la résistance.
Pour couper court à ce discours imbécile et manichéen, cette manipulation, ces mensonges. Il n'y a qu'un seul et unique moyen, VIRER LA TELE, plus de fausse info, plus de films de merde. Idem pour les journaux inutile de nourrir ces fonctionnaires, peu de radio et seulement musique. Je l'ai fait, après un an on se sent vraiment mieux, on trouve l'information sur le web, j'apprends qu'un avion se casse la gueule en même temps que tout le monde.
Attention la télé c'est comme le tabac quand on a été fumeur faut jamais plus y toucher.
La ploutocratie contrôle notre univers, nous pas. Pour ce faire elle a des alliés, sa police, les oligarchies financières, et la peur. Sur la police nous n'avons aucun moyen, la peur c'est pas simple, sur les financiers c'est diffèrent. Les gens d'argent on l'a vu ont tout intérêt à soutenir le système, c'est leur ami naturel. Pourtant ce soutient indéfectible on peut le rompre, il suffit d'empêcher les gens d'argent d'en gagner. Pour ce faire il y a le boycott économique, tel jour on achète rien, on consomme à minima, la bagnole bouge pas, on sort pas, juste boulot dodo.
Selon les besoins on crée des fréquences, un jour par mois, ou un par semaine, ou plusieurs. Important on ne prépare pas ce jour en faisant le plein la veille, il faut un peu se discipliner et faire petite bouffe avec les moyens du bord. Pas question de créer des pics de consommation. D'ailleurs en s'y habituant on devient consommateur plus raisonnable et on voit vite qu'on nous fait acheter plein de trucs inutiles.
Si on coupe les ploutocrates de leurs bailleurs de fonds alors on reprend le contrôle de notre univers. En effet les manieurs de fric même protégés par le régime, ne le soutiendront plus si celui-ci gêne leur trafic. En devenant des consommateurs raisonnables nous gagneront sur deux tableaux, la maîtrise de notre environnement et de la classe qui prétend nous diriger.
Il faut également faire la grève des urnes, ne choisissons plus nos tyrans, laissons les se bouffer entre eux, que “al gore” avec plus de voix laisse “bush” ça ne nous concerne pas.
Et puis il y a une chose bien plus importante, voter c'est cautionner des gens qui soutiennent nos assassins, qui soutiennent les pilleurs de banques, qui soutiennent les voleurs de nos maisons, la liste est longues des amis de ce souteneur...
Ne vous leurrez pas, ça va pas changer avec le prochain élu. Derrière le répubicain Bush, quand le démocrate Obama arrive au pouvoir, sa première mesure est de rallonger l'enveloppe pour les banquiers, pas de les mettre hors d'état de nuire.
Vous allez me dire votre petit texte est bien gentil mais pas très positif, j'en suis bien conscient. Comme tout le monde je n'ai rien à proposer, pas de solution miracle, de système extraordinaire, moral, respectueux de la nature.
Ce qui viendra derrière celui-ci quand il se cassera la gueule, je n'en ai aucune idée. Ce que je sais c'est qu'en étant attentif on peut éviter que celui qui nous parasite en ce moment, revienne. On peut empecher qu'al capone soit de nouveau au pouvoir et nous en prison, et ce sera déjà un net progrès.
La seule chose dont je sois sur c'est qu'il faut absolument cesser d'avoir peur, peur de tout y compris du changement.
La peur on la vit tous les jours.
Pourquoi croyez vous que tous ces flics sont dans la rue à regarder passer notre bagnole.
Pourquoi la télé nous montre des horreurs tout la journée.
Pourquoi les nouvelles ne sont que des catastrophes.
C'est par ce que la peur est un moyen de contrôle mental, elle est entretenue pour nous garder en état de dépendance.
Rompre cet état de dependance relève de la sorcellerie, blague à part virer la télé y contribue un peu.
Aujourd'hui le grand sujet, c'est la dérégulation du système bancaire américain, qui a mis l'économie mondiale dans les choux.
Que la crise soit prévue depuis longtemps, tout le monde en convient maintenant, il reste que l'homme de la rue “moi le premier” se demande pourquoi personne n'a rien fait, pour l'empêcher de prendre de telles proportions. Politiciens, financiers, traders, et tout un gros tas de magouilleur ont laissé faire y trouvant sûrement leur intérêt.
En revanche, maintenant qu'il faut mettre la main à la poche pour boucher les trous fait par ces beaux messieurs, c'est à vous et moi qu'ils font appel.
Nous vivons dans un monde virtuel, démocratie, libéralisme, et plein d'ismes, sont des sons redondants dénués de sens. Un ronron permanent comme un moteur de voiture, tant qu'on l'entend c'est que celle-ci marche.
Qui dit démocratie, dit aussi agora, loi des nombres oblige le débat se fait par le tamtam médiatique (débat est un mot mal adapté). Le monologue des ploutocrates est plus exact. Télé, presse, radio, tout ce que vous voulez nous rabâche sans cesse les mêmes slogans en nous gavant d'images.
Le virtuel c'est affaire d'image, les jeux vidéo ont permis de bien cerner le concept.
Un monde d'image auquel on participe, bien qu'il n'ait rien à voir avec le monde réel.
La ou ça coince c'est lorsque le son n'est plus en rapport avec l'image. C'est de plus en plus fréquent, et certaines fois c'est incompatible.
Le plus bel exemple est celui des tours jumelles.
Coté image, on a tous, tout vu et tout compris.
Coté son, on nous a très vite seriné que le feu en quelques minutes avait brûlé des milliers de tonnes d'acier, pour que tout ce bordel de ferraille et béton s'effondre dans sa base en quelques secondes.
Pas besoin d'être grand clerc pour constater que les images ne cadrent pas avec le commentaire.
Depuis le temps nous avons appris à décoder le tamtam, lorsqu'il émet un son incompatible avec l'image, c'est qu'il a pour fonction de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Bien que veaux chaque fois qu'il nous cache quelque chose, on se précipite pour demander; Tamtam que nous caches tu ?
Pour l'histoire des tours nous demandons qui les a démoli et pourquoi. Comme c'est l'administration américaine qui répond, il est facile de conclure que c'est elle qui a des choses à cacher. Seulement il y a un hic, les démolisseurs sont des assassins et pas de petits assassins, 3000 morts c'est pas un fait divers. Alors pour quelle raison l'exécutif américain protège les assassins d'un tel nombre de ses citoyens ?
Sans réponse, on échafaude des hypothèses, les plus folles sont les plus tentantes.
La crise fonctionne sur le même modèle, jusqu'à épuisement des combines, on nous a fait croire que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Comme on nous a fait croire dans les années 90 que le capitalisme avait triomphé de la barbarie communiste. A l'époque pas une seule voix ne s'était élevée pour dire attention le système soviétique a implosé comme annoncé par Madame Carrere d'Encausse, rien n'empêche le capitalisme d'en faire autant comme prévu par Karl Marx.
Sur le web Attali nous explique que la mondialisation, les grands trafics négriers de main d'oeuvre à bas prix, ne sont pour rien dans la crise. Seul le système bancaire est responsable de la récession, toujours bien identifier et dénoncer le coupable, (souvenez vous c'était pareil pour al quaida).
Pourtant même aux usa ou les génies courent les rues, on commence à entendre quelques voix disant que peut être, un système économique devrait inclure du travail dans le pays, des salaires pour les employés, bref un partage de la richesse nationale, permettant un consommation a +/- 0% de crédit. On reprend l'idée de progrès social de la fin du dix neuvième siècle et on recommence.
L'américain moyen, autre veau sur la planète, après s'être fait piquer sa baraque, doit trouver bon de mettre quelques sous dans le nourin pour sauver les banques et organismes de crédit qui lui ont tout pris. Il faut aussi, que lui ou son fils, aille se faire casser la gueule en Irak ou Afghanistan pour que le pétrole de Bassora brûle pas dans les puits et que la drogue du gang Karsai parvienne bien jusqu'en occident (transport assuré par les avions us).
On voit que tours jumelles ou guerre économique, le sang américain n'est pas cher pour son gouvernement. Là encore il y a clash entre virtuel et réel, nous avons tous vu le président du dit gouvernement jurer le jour de sa prise de pouvoir, de veiller sur le peuple américain, d'en respecter la constitution, etc. Jusqu'où ce président peut-il être parjure dans un pays officiellement puritain ?
La crise peut nous permettre de remettre les pendules à l'heure, à condition d'organiser la résistance.
Pour couper court à ce discours imbécile et manichéen, cette manipulation, ces mensonges. Il n'y a qu'un seul et unique moyen, VIRER LA TELE, plus de fausse info, plus de films de merde. Idem pour les journaux inutile de nourrir ces fonctionnaires, peu de radio et seulement musique. Je l'ai fait, après un an on se sent vraiment mieux, on trouve l'information sur le web, j'apprends qu'un avion se casse la gueule en même temps que tout le monde.
Attention la télé c'est comme le tabac quand on a été fumeur faut jamais plus y toucher.
La ploutocratie contrôle notre univers, nous pas. Pour ce faire elle a des alliés, sa police, les oligarchies financières, et la peur. Sur la police nous n'avons aucun moyen, la peur c'est pas simple, sur les financiers c'est diffèrent. Les gens d'argent on l'a vu ont tout intérêt à soutenir le système, c'est leur ami naturel. Pourtant ce soutient indéfectible on peut le rompre, il suffit d'empêcher les gens d'argent d'en gagner. Pour ce faire il y a le boycott économique, tel jour on achète rien, on consomme à minima, la bagnole bouge pas, on sort pas, juste boulot dodo.
Selon les besoins on crée des fréquences, un jour par mois, ou un par semaine, ou plusieurs. Important on ne prépare pas ce jour en faisant le plein la veille, il faut un peu se discipliner et faire petite bouffe avec les moyens du bord. Pas question de créer des pics de consommation. D'ailleurs en s'y habituant on devient consommateur plus raisonnable et on voit vite qu'on nous fait acheter plein de trucs inutiles.
Si on coupe les ploutocrates de leurs bailleurs de fonds alors on reprend le contrôle de notre univers. En effet les manieurs de fric même protégés par le régime, ne le soutiendront plus si celui-ci gêne leur trafic. En devenant des consommateurs raisonnables nous gagneront sur deux tableaux, la maîtrise de notre environnement et de la classe qui prétend nous diriger.
Il faut également faire la grève des urnes, ne choisissons plus nos tyrans, laissons les se bouffer entre eux, que “al gore” avec plus de voix laisse “bush” ça ne nous concerne pas.
Et puis il y a une chose bien plus importante, voter c'est cautionner des gens qui soutiennent nos assassins, qui soutiennent les pilleurs de banques, qui soutiennent les voleurs de nos maisons, la liste est longues des amis de ce souteneur...
Ne vous leurrez pas, ça va pas changer avec le prochain élu. Derrière le répubicain Bush, quand le démocrate Obama arrive au pouvoir, sa première mesure est de rallonger l'enveloppe pour les banquiers, pas de les mettre hors d'état de nuire.
Vous allez me dire votre petit texte est bien gentil mais pas très positif, j'en suis bien conscient. Comme tout le monde je n'ai rien à proposer, pas de solution miracle, de système extraordinaire, moral, respectueux de la nature.
Ce qui viendra derrière celui-ci quand il se cassera la gueule, je n'en ai aucune idée. Ce que je sais c'est qu'en étant attentif on peut éviter que celui qui nous parasite en ce moment, revienne. On peut empecher qu'al capone soit de nouveau au pouvoir et nous en prison, et ce sera déjà un net progrès.
La seule chose dont je sois sur c'est qu'il faut absolument cesser d'avoir peur, peur de tout y compris du changement.
La peur on la vit tous les jours.
Pourquoi croyez vous que tous ces flics sont dans la rue à regarder passer notre bagnole.
Pourquoi la télé nous montre des horreurs tout la journée.
Pourquoi les nouvelles ne sont que des catastrophes.
C'est par ce que la peur est un moyen de contrôle mental, elle est entretenue pour nous garder en état de dépendance.
Rompre cet état de dependance relève de la sorcellerie, blague à part virer la télé y contribue un peu.
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