Les temps difficiles

Ici en Espagne il y a maintenant un crime de sang tous les trois jours.
Nous devenons de plus en plus moderne.

Nous allons ici comme ailleurs dans le futur, etre de plus en plus condamne a nourrir des assassins de tous poils, de tous ages puisque la mode est aux mineurs tueurs. Le travail et les salaires se rarefiant cela va representer une charge qui sera difficilement supportable.

D'ou on reparle de l'abolition de la peine de mort et des derapages qui en decoulent.
Aujourd'hui en Europe tout le monde est offusque quand un assassin us passe a la trappe. Comme si l'abolition avait eu pour fonction de proteger les assassins.

Pour memoire je rappelle que la genese de l'abolition repose sur les erreurs judiciares et les assasinats d'innocents. La justice n'ayant jamais ete infaillible, on sait que des gens non coupables furent condamnes et executes par la justice de leur pays. D'ou le fameux n'ajoutons pas un crime au crime.
En aucun cas les abolitionistes avait pour intention, en tous cas au debut, d'offrir des annees de club med aux coupables.

Or aujourd'hui le systeme dont la mission est de proteger les citoyens, depense l'argent de ces derniers pour heberger leurs meurtriers, c'est le monde a l'envers.
N'importe qui peut demain se faire flinguer, les parents de la victime auront a fournir un foyer a l'assassin. Apres le medecin, le notaire et le cure, on a enfin l'assassin de famille.

Assassin bien difficile a gerer puisque le nombre croit plus vite que les cellules, ceci fait que l'on a maintenant des juges "d'application des peines".
On pourrait penser qu'il y a jugement, sentence, et execution de la sentence. Eh bien ce serait trop simple ou trop couteux. Alors on applique la peine de telle ou telle maniere cela depend du JAP, c'est comme ça que certains assassins sont recidivistes pendant leur temps d'incarceration, ils beneficiaient au moment du enieme meurtre d'une petite permission.

On a d'un cote des citoyens desarmes c'est la loi (duralex sed lex), de l'autre des assassins ayant le choix des armes.
A cote de ça des hordes de flics qui s'occupent uniquement de la vitesse a laquelle nous roulons et suivant de ce qu'ils peuvent nous piquer comme fric. Enfin cerise sur le gateaux des juges qui bichonnenent nos futurs tueurs.
On est en droit de se demander s'il est bien indispensable de nourrir ce syteme.

Pour conclure nous sommes arrives au dernier stade de la decadence comme dirait Lepen, les juges etant les principaux acteur du pourrissement de notre societe.


P.S. La securite et la vitesse, facile : Les voitures ne doivent pas pouvoir depasser la vitesse legale, tout le reste ne sert qu'a justifier le racket.